La marine marchande 
 Toute une pollution en offrande 
 De la pollution, c'est le fret 
 C'est clair et net 
 60.000 bateaux dans le monde 
 30 ans de durée de vie par bateau 
 Et la pollution continue après, c'est idiot 
 Sans compter un affreux bruit qui gronde 
 Ce bruit qui fait échouer 
 Par exemple, les cétacés 
 Le coût très bas du transport maritime 
 De toutes nos addictions est la prime 
 Ainsi, le local est plus cher 
 Ainsi, l'international est moins cher 
 Pour ce que nous mangeons 
 Pour ce que nous portons 
 Tout ce que nous consommons 
 Tout cela parcourant des milliers de kilomètres 
 Et cela représente 90 pour cent 
 De l'économie politique et de son sang 
 Des cargos de plus en plus grands 
 Puis les trains, des camions, terminus Auchan 
 Et d'autres enseignes du commerce géant 
 Consommation de l'addiction 
 L'addiction de la consommation 
 40 pour cent des équipages sont philippins 
 Car ils parlent anglais, c'est pas pour rien ! 
 Chaque année meurent 2000 marins 
 Et il y a un naufrage tous les trois jours 
 Donc de la pollution qui fait son tour 
 Cela prend la mer pour moins que rien 
 Les armateurs sont des crapules, des vauriens 
 Des bateaux pas ou mal entretenus 
 Langues différentes, un équipage perdu 
 Et ainsi tous les accidents 
 Des erreurs humaines, à 60 pour cent 
 Pour le commerce maritime 
 Le bénéfice n'est pas infime 
 450 milliards d'euros par an 
 Pour les océans et les mers, tout y est malveillant 
 Et aussi le dégazage 
 Pour les espèces maritimes, une chambre à gaz 
 Comme sur terre, tout va devenir naze 
 500 millions de conteneurs par an 
 Pas seulement de la nourriture ou des vêtements 
 Objets, machines, diverses affaires 
 Mais aussi des drogues, des armes, du trafic divers 
 Le capitalisme c'est complètement dégueulasse 
 Il faut tout mettre à la casse 
 Le capitalisme privé ou étatique est à vomir 
 Il faut l'achever, il faut le finir 
 Pollution sonore partout, pollution des mentalités 
 Les jours de l'espèce humaine sont comptés ! 
 Et face à cela 
 Beaucoup de complaisance, voilà 
 Comme nous y revoilà 
 C'est le pavillon de complaisance 
 De la marine marchande, exploitation à outrance 
 De la marine marchande, pollution à outrance 
 Se fichant royalement des conséquences 
 Comme le soufre qu'elle dégage 
 Que toute espèce capitalise dans son bagage ! 
 Et chez tous les mammifères 
 L'être humain ne doit pas faire le fier 
 Le ressenti émotionnel est le même 
 Coopération, entraide, le même thème 
 Contre l'injustice, pour la morale, aussi 
 Elles se valent toutes, les vies 
 De l'animal humain 
 De l'animal non humain 
 Le rat, le chimpanzé, le loup, l'éléphant 
 Les oiseaux sont aussi malins, c'est évident 
 L'éléphant se reconnaît dans une glace 
 Bien d'autres, l'éthologie nous le dit en face 
 Et des animaux que nous mangeons 
 Pour avoir bonne conscience, nous les abêtissons 
 Les autres animaux que nous 
 Ne sont pas plus bêtes que nous 
 Leurs émotions s'expriment autrement, c'est tout ! 
 Sans la découverte des ondes gravitationnelles 
 Mais la lionne ne tue pas la lionne, elle 
 L'être humain n'est pas tué par le cochon 
 Qui fera de lui des saucissons 
 Cela dépasse largement notre fausse compassion 
 Et tout ce qui est contre la vie 
 Ne mérite aucunement la vie 
 Voilà bien le véritable défi 
 Pour l'intelligence, pour l'anarchie 
 Donc, le fascisme, le libéralisme, le stalinisme, le nationalisme 
 Toutes les variantes diverses du capitalisme 
 L'humanité 
 N'ayant pas su ou pu les éradiquer 
 C'est l'humanité qui sera éradiquée 
 Cela se passe sous nos yeux 
 L'on ne peut plus en arrêter les feux 
 Du capital c'est la rumeur 
 Comme le facteur délateur 
 Qui connaît toutes nos heures 
 Et dans chaque bureau de poste, c'est ainsi 
 Pour nous surveiller, il y a un képi 
 Et la poste qui nous épie 
 Sait si nous sommes un bon citoyen 
 C'est-à-dire pour le capitalisme 
 Sait si nous sommes un mauvais citoyen 
 C'est-à-dire contre le capitalisme 
 De part le courrier que nous recevons 
 De par nos abonnements, ce que nous lisons 
 Ce fascisme au quotidien, ordinaire 
 C'est bien cela la société réactionnaire 
 Où l'on récompense tous les reniements 
 Toutes les résignations, tout ce qui est obéissant ! 
 Comme la désinformation étudiée 
 Toute une information manipulée 
 C'est de la radio, c'est de la télé 
 Ainsi 
 6 novembre 2004, Bouaké 
 9 militaires français tués 
 39 défigurés, amputés, les blessés 
 En Côte d'Ivoire, il faut le pays, le situer 
 La base militaire du lycée Descartes 
 Avec, le pouvoir français, a joué aux cartes 
 Et cela fut bombardé 
 Par deux mercenaires biélorusses, pilotes expérimentés 
 Boris Smahin ( né en 1956 ) 
 Yuri Sushkin ( né en 1952 ) 
 Et une autorisation de tirer 
 Forcément, la France pour tout organiser 
 La Côte d'Ivoire étant sous sa totale tutelle 
 Ce pays ne pouvant rien faire sans elle 
 Il s'agissait, en fait, de remplacer un régime 
 La guerre civile avait déjà sa consigne 
 Comme d'habitude, des sacrifiés de l'Etat 
 C'est tout simple, c'est une stratégie d'Etat 
 Aucun complot 
 Sauf pour les gogos 
 Et donc la pratique d'un attentat 
 Pour préparer un futur coup d'Etat ! 
 Le système ne mérite aucune mansuétude 
 Qui fabrique de la bêtise, de l'hébétude 
 Ainsi, rien qu'en France, record d'Europe 
 Chaque année, 60.000 tonnes de pesticides, et hop 
 Sont versés, et vive la démence ! 
 Comme nos médicaments 
 Avec le plus souvent dedans 
 Du dioxyde de titane, toxique comme l'amiante 
 Et à long terme, des pathologies évidentes 
 Au capital 
 Le sens des mots y participe 
 Au capital 
 Tous les métiers, toutes les activités y participent 
 Ainsi, dans une sotte société 
 Il n'y a que des sots métiers 
 Je puis de cela, parler 
 Moi, qui du chômage, suis un retraité 
 Ce qui m'a permis de toujours étudier 
 De l'interdisciplinarité et ce sans discontinuité 
 Vrai étudiant toujours hors de l'université 
 De m'amuser, lire, écrire, méditer 
 Certes, pur autodidacte, d'aucune université 
 Peu me chaut de n'être point diplômé 
 Et beaucoup de temps, pour observer et constater ! 
 Ainsi, plus les gens sont pauvres 
 Et plus, ils vont au fascisme 
 S'ils savaient, certes, ils iraient à l'anarchisme 
 C'est l'ignorance qui fait la pensée étroite 
 Mes mains en sont toutes moites 
 Il n'y a pas de hiérarchie dans la sottise 
 Aussi chaque fascisme y a sa mise 
 Tout le monde pense 
 C'est là notre commune danse 
 " Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras " 
 Ainsi, jamais, pour l'anarchie, on ne saura 
 La peur du encore pire après 
 Nos certitudes, nos habitudes, nos routines, nos mais ! 
 Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien  ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index " 
 Merchant Marine 
 All pollution in offering 
 Pollution is freight 
 It's clear and clear 
 60,000 boats in the world 
 30 years of life per boat 
 And pollution continues after, it's silly 
 Not to mention a frightful noise that roars 
 This noise that makes it fail 
 For example, cetaceans 
 The very low cost of shipping 
 Of all our addictions is the premium 
 So, the local is more expensive 
 So, the international is cheaper 
 For what we eat 
 For what we wear 
 All we consume 
 All this traveling thousands of kilometers 
 And that's 90 percent 
 Political economy and his blood 
 Increasingly large freighters 
 Then trains, trucks, terminus Auchan 
 And other giant trade signs 
 Consumption of addiction 
 The addiction of consumption 
 40 percent of crews are Filipino 
 Because they speak English, it's not for nothing! 
 Every year die 2000 seafarers 
 And there is a shipwreck every three days 
 So pollution that is making its turn 
 It takes the sea for less than nothing 
 Shipowners are scoundrels, rascals 
 Boats not or poorly maintained 
 Different languages, a lost crew 
 And so all the accidents 
 Human errors, at 60 percent 
 For maritime trade 
 The profit is not small 
 450 billion euros per year 
 For the oceans and the seas, everything is malicious 
 And also degassing 
 For marine species, a gas chamber 
 Like on earth, everything will become naze 
 500 million containers a year 
 Not just food or clothes 
 Objects, machines, various businesses 
 But also drugs, weapons, various traffic 
 Capitalism is completely disgusting 
 We must put everything to the break 
 Private or state capitalism is to throw up 
 You have to finish it, you have to finish it 
 Noise pollution everywhere, pollution of mentalities 
 The days of the human race are numbered! 
 And in front of that 
 A lot of complacency, that's it 
 As we are back 
 This is the flag of convenience 
 From the merchant marine, excessive exploitation 
 From the merchant marine, excessive pollution 
 Royally ignoring the consequences 
 Like the sulfur it releases 
 That all species capitalize in his luggage! 
 And in all mammals 
 The human being must not be proud 
 The emotional feeling is the same 
 Cooperation, mutual help, the same theme 
 Against injustice, for morality, too 
 They are all worth, the lives 
 From the human animal 
 From the non-human animal 
 The rat, the chimpanzee, the wolf, the elephant 
 The birds are also smart, it's obvious 
 The elephant can be recognized in an ice cream 
 Many others, ethology tells us opposite 
 And animals we eat 
 In order to have a good conscience, we put them down 
 Other animals that we 
 Are not more stupid than us 
 Their emotions are expressed differently, that's all! 
 Without the discovery of gravitational waves 
 But the lioness does not kill the lioness, she 
 The human being is not killed by the pig 
 Who will make him sausages 
 This far exceeds our false compassion 
 And all that is against life 
 Does not deserve any life 
 That's the real challenge 
 For intelligence, for anarchy 
 So fascism, liberalism, Stalinism, nationalism 
 All the different variants of capitalism 
 mankind 
 Not knowing or able to eradicate them 
 It is humanity that will be eradicated 
 This is happening before our eyes 
 We can not stop the fires 
 Capital is the rumor 
 As the informer 
 Who knows all our hours 
 And in every post office, that's how 
 To watch us, there is a kepi 
 And the post that is watching us 
 Knows if we are a good citizen 
 That is to say for capitalism 
 Know if we are a bad citizen 
 That is, against capitalism 
 From the mail we receive 
 By our subscriptions, what we read 
 This everyday fascism, ordinary 
 That's the reactionary society 
 Where we reward all denials 
 All resignation, all that is obedient! 
 As the misinformation studied 
 Any information manipulated 
 It's radio, it's TV 
 So 
 November 6, 2004, Bouake 
 9 French soldiers killed 
 39 disfigured, amputees, wounded 
 In Ivory Coast, you need the country, to locate it 
 The military base of the Lycée Descartes 
 With, French power, played cards 
 And that was bombed 
 By two Belarusian mercenaries, experienced pilots 
 Boris Smahin (born in 1956) 
 Yuri Sushkin (born in 1952) 
 And an authorization to shoot 
 Of course, France to organize everything 
 Côte d'Ivoire being under its total supervision 
 This country can not do anything without it 
 It was, in fact, to replace a 
 The civil war already had its instructions 
 As usual, sacrificed state 
 It's simple, it's a state strategy 
 No plot 
 Except for the gogos 
 And so the practice of an attack 
 To prepare for a future coup! 
 The system does not deserve any leniency 
 Who makes stupidity, stupidity 
 Thus, only in France, record of Europe 
 Every year, 60,000 tons of pesticides, and hop 
 Are paid, and long live the madness! 
 Like our medicines 
 With the most often in 
 Titanium dioxide, toxic as asbestos 
 And in the long term, obvious pathologies 
 In the capial 
 The meaning of words participates 
 In the capial 
 All trades, all activities participate 
 So, in a silly society 
 There are only foolish trades 
 I can do that, talk 
 Me, who is unemployed, am a pensioner 
 Which allowed me to always study 
 Interdisciplinarity without interruption 
 True student always out of college 
 Having fun, reading, writing, meditating 
 Certainly, pure self-taught, no university 
 I do not care about not being a graduate 
 And a lot of time, to observe and see! 
 So, the poorer people are 
 And more, they go to fascism 
 If they knew, certainly, they would go to anarchism 
 It is ignorance that makes thinking narrow 
 My hands are all wet 
 There is no hierarchy in foolishness 
 So every fascism has its place 
 Everyone thinks 
 This is our common dance 
 " A bird in hand is worth two in the bush " 
 So, never, for anarchy, we will not know 
 The fear of even worse after 
 Our certainties, our habits, our routines, our but! 
 Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouete, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway