Tutelle comportementaliste

by Patrice Faubert Sunday, Jan. 20, 2019 at 9:18 AM

Du comporetment et du milieu...

La marine marchande

Toute une pollution en offrande

De la pollution, c'est le fret

C'est clair et net

60.000 bateaux dans le monde

30 ans de durée de vie par bateau

Et la pollution continue après, c'est idiot

Sans compter un affreux bruit qui gronde

Ce bruit qui fait échouer

Par exemple, les cétacés

Le coût très bas du transport maritime

De toutes nos addictions est la prime

Ainsi, le local est plus cher

Ainsi, l'international est moins cher

Pour ce que nous mangeons

Pour ce que nous portons

Tout ce que nous consommons

Tout cela parcourant des milliers de kilomètres

Et cela représente 90 pour cent

De l'économie politique et de son sang

Des cargos de plus en plus grands

Puis les trains, des camions, terminus Auchan

Et d'autres enseignes du commerce géant

Consommation de l'addiction

L'addiction de la consommation

40 pour cent des équipages sont philippins

Car ils parlent anglais, c'est pas pour rien !

Chaque année meurent 2000 marins

Et il y a un naufrage tous les trois jours

Donc de la pollution qui fait son tour

Cela prend la mer pour moins que rien

Les armateurs sont des crapules, des vauriens

Des bateaux pas ou mal entretenus

Langues différentes, un équipage perdu

Et ainsi tous les accidents

Des erreurs humaines, à 60 pour cent

Pour le commerce maritime

Le bénéfice n'est pas infime

450 milliards d'euros par an

Pour les océans et les mers, tout y est malveillant

Et aussi le dégazage

Pour les espèces maritimes, une chambre à gaz

Comme sur terre, tout va devenir naze

500 millions de conteneurs par an

Pas seulement de la nourriture ou des vêtements

Objets, machines, diverses affaires

Mais aussi des drogues, des armes, du trafic divers

Le capitalisme c'est complètement dégueulasse

Il faut tout mettre à la casse

Le capitalisme privé ou étatique est à vomir

Il faut l'achever, il faut le finir

Pollution sonore partout, pollution des mentalités

Les jours de l'espèce humaine sont comptés !

Et face à cela

Beaucoup de complaisance, voilà

Comme nous y revoilà

C'est le pavillon de complaisance

De la marine marchande, exploitation à outrance

De la marine marchande, pollution à outrance

Se fichant royalement des conséquences

Comme le soufre qu'elle dégage

Que toute espèce capitalise dans son bagage !

Et chez tous les mammifères

L'être humain ne doit pas faire le fier

Le ressenti émotionnel est le même

Coopération, entraide, le même thème

Contre l'injustice, pour la morale, aussi

Elles se valent toutes, les vies

De l'animal humain

De l'animal non humain

Le rat, le chimpanzé, le loup, l'éléphant

Les oiseaux sont aussi malins, c'est évident

L'éléphant se reconnaît dans une glace

Bien d'autres, l'éthologie nous le dit en face

Et des animaux que nous mangeons

Pour avoir bonne conscience, nous les abêtissons

Les autres animaux que nous

Ne sont pas plus bêtes que nous

Leurs émotions s'expriment autrement, c'est tout !

Sans la découverte des ondes gravitationnelles

Mais la lionne ne tue pas la lionne, elle

L'être humain n'est pas tué par le cochon

Qui fera de lui des saucissons

Cela dépasse largement notre fausse compassion

Et tout ce qui est contre la vie

Ne mérite aucunement la vie

Voilà bien le véritable défi

Pour l'intelligence, pour l'anarchie

Donc, le fascisme, le libéralisme, le stalinisme, le nationalisme

Toutes les variantes diverses du capitalisme

L'humanité

N'ayant pas su ou pu les éradiquer

C'est l'humanité qui sera éradiquée

Cela se passe sous nos yeux

L'on ne peut plus en arrêter les feux

Du capital c'est la rumeur

Comme le facteur délateur

Qui connaît toutes nos heures

Et dans chaque bureau de poste, c'est ainsi

Pour nous surveiller, il y a un képi

Et la poste qui nous épie

Sait si nous sommes un bon citoyen

C'est-à-dire pour le capitalisme

Sait si nous sommes un mauvais citoyen

C'est-à-dire contre le capitalisme

De part le courrier que nous recevons

De par nos abonnements, ce que nous lisons

Ce fascisme au quotidien, ordinaire

C'est bien cela la société réactionnaire

Où l'on récompense tous les reniements

Toutes les résignations, tout ce qui est obéissant !

Comme la désinformation étudiée

Toute une information manipulée

C'est de la radio, c'est de la télé

Ainsi

6 novembre 2004, Bouaké

9 militaires français tués

39 défigurés, amputés, les blessés

En Côte d'Ivoire, il faut le pays, le situer

La base militaire du lycée Descartes

Avec, le pouvoir français, a joué aux cartes

Et cela fut bombardé

Par deux mercenaires biélorusses, pilotes expérimentés

Boris Smahin ( né en 1956 )

Yuri Sushkin ( né en 1952 )

Et une autorisation de tirer

Forcément, la France pour tout organiser

La Côte d'Ivoire étant sous sa totale tutelle

Ce pays ne pouvant rien faire sans elle

Il s'agissait, en fait, de remplacer un régime

La guerre civile avait déjà sa consigne

Comme d'habitude, des sacrifiés de l'Etat

C'est tout simple, c'est une stratégie d'Etat

Aucun complot

Sauf pour les gogos

Et donc la pratique d'un attentat

Pour préparer un futur coup d'Etat !

Le système ne mérite aucune mansuétude

Qui fabrique de la bêtise, de l'hébétude

Ainsi, rien qu'en France, record d'Europe

Chaque année, 60.000 tonnes de pesticides, et hop

Sont versés, et vive la démence !

Comme nos médicaments

Avec le plus souvent dedans

Du dioxyde de titane, toxique comme l'amiante

Et à long terme, des pathologies évidentes

Au capital

Le sens des mots y participe

Au capital

Tous les métiers, toutes les activités y participent

Ainsi, dans une sotte société

Il n'y a que des sots métiers

Je puis de cela, parler

Moi, qui du chômage, suis un retraité

Ce qui m'a permis de toujours étudier

De l'interdisciplinarité et ce sans discontinuité

Vrai étudiant toujours hors de l'université

De m'amuser, lire, écrire, méditer

Certes, pur autodidacte, d'aucune université

Peu me chaut de n'être point diplômé

Et beaucoup de temps, pour observer et constater !

Ainsi, plus les gens sont pauvres

Et plus, ils vont au fascisme

S'ils savaient, certes, ils iraient à l'anarchisme

C'est l'ignorance qui fait la pensée étroite

Mes mains en sont toutes moites

Il n'y a pas de hiérarchie dans la sottise

Aussi chaque fascisme y a sa mise

Tout le monde pense

C'est là notre commune danse

" Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras "

Ainsi, jamais, pour l'anarchie, on ne saura

La peur du encore pire après

Nos certitudes, nos habitudes, nos routines, nos mais !



Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

Merchant Marine

All pollution in offering

Pollution is freight

It's clear and clear

60,000 boats in the world

30 years of life per boat

And pollution continues after, it's silly

Not to mention a frightful noise that roars

This noise that makes it fail

For example, cetaceans

The very low cost of shipping

Of all our addictions is the premium

So, the local is more expensive

So, the international is cheaper

For what we eat

For what we wear

All we consume

All this traveling thousands of kilometers

And that's 90 percent

Political economy and his blood

Increasingly large freighters

Then trains, trucks, terminus Auchan

And other giant trade signs

Consumption of addiction

The addiction of consumption

40 percent of crews are Filipino

Because they speak English, it's not for nothing!

Every year die 2000 seafarers

And there is a shipwreck every three days

So pollution that is making its turn

It takes the sea for less than nothing

Shipowners are scoundrels, rascals

Boats not or poorly maintained

Different languages, a lost crew

And so all the accidents

Human errors, at 60 percent

For maritime trade

The profit is not small

450 billion euros per year

For the oceans and the seas, everything is malicious

And also degassing

For marine species, a gas chamber

Like on earth, everything will become naze

500 million containers a year

Not just food or clothes

Objects, machines, various businesses

But also drugs, weapons, various traffic

Capitalism is completely disgusting

We must put everything to the break

Private or state capitalism is to throw up

You have to finish it, you have to finish it

Noise pollution everywhere, pollution of mentalities

The days of the human race are numbered!

And in front of that

A lot of complacency, that's it

As we are back

This is the flag of convenience

From the merchant marine, excessive exploitation

From the merchant marine, excessive pollution

Royally ignoring the consequences

Like the sulfur it releases

That all species capitalize in his luggage!

And in all mammals

The human being must not be proud

The emotional feeling is the same

Cooperation, mutual help, the same theme

Against injustice, for morality, too

They are all worth, the lives

From the human animal

From the non-human animal

The rat, the chimpanzee, the wolf, the elephant

The birds are also smart, it's obvious

The elephant can be recognized in an ice cream

Many others, ethology tells us opposite

And animals we eat

In order to have a good conscience, we put them down

Other animals that we

Are not more stupid than us

Their emotions are expressed differently, that's all!

Without the discovery of gravitational waves

But the lioness does not kill the lioness, she

The human being is not killed by the pig

Who will make him sausages

This far exceeds our false compassion

And all that is against life

Does not deserve any life

That's the real challenge

For intelligence, for anarchy

So fascism, liberalism, Stalinism, nationalism

All the different variants of capitalism

mankind

Not knowing or able to eradicate them

It is humanity that will be eradicated

This is happening before our eyes

We can not stop the fires

Capital is the rumor

As the informer

Who knows all our hours

And in every post office, that's how

To watch us, there is a kepi

And the post that is watching us

Knows if we are a good citizen

That is to say for capitalism

Know if we are a bad citizen

That is, against capitalism

From the mail we receive

By our subscriptions, what we read

This everyday fascism, ordinary

That's the reactionary society

Where we reward all denials

All resignation, all that is obedient!

As the misinformation studied

Any information manipulated

It's radio, it's TV

So

November 6, 2004, Bouake

9 French soldiers killed

39 disfigured, amputees, wounded

In Ivory Coast, you need the country, to locate it

The military base of the Lycée Descartes

With, French power, played cards

And that was bombed

By two Belarusian mercenaries, experienced pilots

Boris Smahin (born in 1956)

Yuri Sushkin (born in 1952)

And an authorization to shoot

Of course, France to organize everything

Côte d'Ivoire being under its total supervision

This country can not do anything without it

It was, in fact, to replace a

The civil war already had its instructions

As usual, sacrificed state

It's simple, it's a state strategy

No plot

Except for the gogos

And so the practice of an attack

To prepare for a future coup!

The system does not deserve any leniency

Who makes stupidity, stupidity

Thus, only in France, record of Europe

Every year, 60,000 tons of pesticides, and hop

Are paid, and long live the madness!

Like our medicines

With the most often in

Titanium dioxide, toxic as asbestos

And in the long term, obvious pathologies

In the capial

The meaning of words participates

In the capial

All trades, all activities participate

So, in a silly society

There are only foolish trades

I can do that, talk

Me, who is unemployed, am a pensioner

Which allowed me to always study

Interdisciplinarity without interruption

True student always out of college

Having fun, reading, writing, meditating

Certainly, pure self-taught, no university

I do not care about not being a graduate

And a lot of time, to observe and see!

So, the poorer people are

And more, they go to fascism

If they knew, certainly, they would go to anarchism

It is ignorance that makes thinking narrow

My hands are all wet

There is no hierarchy in foolishness

So every fascism has its place

Everyone thinks

This is our common dance

" A bird in hand is worth two in the bush "

So, never, for anarchy, we will not know

The fear of even worse after

Our certainties, our habits, our routines, our but!



Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouete, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway

Original: Tutelle comportementaliste