La guerre
C'est toujours la guerre
Car cela n'est plus la société matrilinéaire
Quand personne ne savait qui était le père
La guerre
Politique, économique, psychologique
Sportive, technologique, artistique
Toujours un peu
Même si cela semble aller faussement mieux
14/18
Avec tous les fous
Car l'on ne revient pas de tout
Les mutilés, les traumatisés, les plicaturés
Ceux qui ne pouvaient plus se redresser
Des tremblements totalement incontrôlés
Astasie-abasie ne faisant que se répéter
Toute une catatonie qui fut par l'armée
Méprisée, de gens qui voulaient simuler
Pourtant
Seul un fou
Dans un tel contexte
Pouvait ne pas devenir fou
Et pour fusiller, d'autres prétextes
La guerre, pour la refuser
Il fallait être un efféminé
Vouloir se planquer
Savoir avec talent, simuler
C'était là l'avis de l'armée
Sans compter
Par l'électricité, tous les torpillés
Avec leurs cris de torturés
Par des médecins militaires
D'horribles crapules, vrais réactionnaires
Comme feu ( 1879 - 1947 ) Clovis Vincent
Avec en 1916, son électrothérapie de dément !
Tous les divers mouvements pacifistes
Ne pouvaient être ainsi que défaitistes
Cependant, il ne faut pas occulter
Tout un mouvement de fraternité
Même avant 1917, dans les tranchées
111 mutineries, de soldats par milliers
Pour une géniale grève des tranchées
Contre l'union sacrée
De l'industrie et des marchés
Car à toute guerre
Le capital sait s'adapter
Car de toute guerre
Le capital sait se glorifier
Contre toute grève
Les bourgeoisies savent s'allier
14/18, 39/45
Cela était avant
Cela était après
C'est toujours
14/18, 39/45
Avec à chaque époque
Sa mentalité propre
Avec à chaque époque
Sa façon de tuer, qui lui est propre
Et tous les disparus
Et toutes les disparues
Toutes les voix qui se sont tues
De tous les corps cachés
Tortures, massacres, tout ce qui est oublié
Ce qui ne figure jamais dans aucun dossier !
Comme encore en Syrie
Et la complice Russie
Bachar, de la connerie, un char
Et tous les complices salopards
Tous les chefs de gouvernement
Car qui gouverne ment
Sont des criminels de guerre
D'une façon l'autre, massacre permanent
En Syrie
250.000 prisonniers politiques
Et ils mangent de leurs entrailles, la colique
70 personnes dans une cellule minuscule
L'inhumanité est toujours ridicule
Et donc une totale complicité
De tous les autres pays, pourtant concernés
Sachant tout ce qui peut s'y passer
En 2015, c'est encore 14/18
Toujours dans certains pays
Et les tueurs de masse
Et l'empathie mise à la casse
Parfois, les bourreaux sont très diplômés
Comme des chefs de l'Allemagne, pays nazifié
Des Einsatzgruppen, dont 200 furent jugés
Sur 3000 membres, donc, la plupart furent acquittés
Et qui en Russie stalinienne
Avec l'aide ukrainienne, lettonne, lituanienne
Massacrèrent des juifs, au nom du nationalisme
Puis les camions à gaz
Furent remplacés par les chambres à gaz
De l'artisanat à l'industrie
De la technologie des nazis
Et à partir d'août 1941, c'était pas fini
Femmes, enfants, comme les hommes, gazés aussi
Tziganes encore plus, comparativement
Toute guerre est d'anéantissement !
Chefs des gouvernements
Chefs des administrations
Chefs des armées
Chefs des distractions
Voilà les tueurs de masse
Voilà la véritable crasse
Et tous ceux, toutes celles
Qui en votant, tout destin, scelle
Voilà bien toute cette criminalité de guerre
Ceux, celles, qui se taisent, la belle affaire !
Et la guerre économique
Et elle est toujours économique
Comme le projet du tunnel Lyon/Turin
Inutile et complètement crétin
57 km de long, au moins 30 milliards d'euros
Projet protégé par les forces militaires, tellement c'est idiot
Pourtant, trois fois moins de marchandises
Qu'il y a 20 ans, qu'on se le dise
Et à la place
C'est cela aussi qui glace
300 hôpitaux, ce serait plus beau
1200 collèges, 2000 maisons de retraite
Comme pour Notre-Dame-des-Landes, projet aussi bête
Partout la bêtise, le capital, la répète !
L'économie des transports
N'est que le transport de l'économie
Qui cherche à compenser
Du système toutes les absurdités
Et voici la lumière de bioluminescence
De certaines bactéries en luminescence
Trafic du gène de bioluminescence
72 heures de lumière comme une bougie
De la mise en culture des bactéries
L'électricité du futur
Bientôt, l'être humain en culture
Il n'y aura plus que l'artifice
La nature ne sera plus qu'un vice
Avec une contagion émotionnelle
Une sorte de peste émotionnelle
Pour et dans nos cuirasses caractérielles
Pour toi, moi, eux, ils, elles
La peste et son bacille le plus pathogène au monde
La peste qui depuis 5000 ans gronde
Mais la pire
Celle qui fait les empires
La peste politique
Politique de la peste
De l'autorité étatique
Et qui toujours, reste !
Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "
The war
It is always the war
Because that is not any more the matrilinear company
When nobody knew who was the father
The war
Policy, economic, psychological
Sporting, technological, artistic
Always a little
Even if that seems to wrongfully better be
14/18
With all them insane
Because one does not return from all
Mutilated, traumatized, plicaturés
Those which could not be rectified any more
Completely uncontrolled shakings
Astasie-abasy doing nothing but repeat itself
A whole catatonie which was by the army
Scorned, people who wanted to simulate
However
Only insane
In such a context
Could not become insane
And to shoot, other pretexts
The war, to refuse it
It was necessary to be effeminate
To want to hide
To know with talent, to simulate
It was the opinion of the army there
Not counting
By electricity, all torpedoed
With their cries of tortured
By army medical officers
Horrible villains, true reactionaries
Like fire (1879 - 1947) Clovis Vincent
With in 1916, its electrotherapy of demented person!
All various pacifist movements
Could not be like defeatist
However, one should not occult
A whole movement of fraternity
Even before 1917, in the trenches
111 mutinies, soldiers per thousands
For a brilliant strike of the trenches
Against the sacred union
Industry and markets
Because with any war
The capital can adapt
Because of any war
The capital can be glorified
Against any strike
The bourgeoisies can be combined
14/18, 39/45
That was front
That was afterwards
It is always
14/18, 39/45
With at each time
Its own mentality
With at each time
Its way of killing, which is clean for him
And all missings
And all disappeared
All the voices which are kill
Of all the hidden bodies
Tortures, massacres, all that is forgotten
What never appears in any file!
As still in Syria
And the Russia accomplice
Bachar, of stupidity, a tank
And all accessory bastards
All heads of government
Because which control surface lies
Are war criminals
In a way the other, permanent massacre
In Syria
250,000 political prisoners
And they eat their entrails, the colic
70 people in a tiny cell
Inhumanity is always ridiculous
And thus a total complicity
Of all the other countries, however concerned
Knowing all that can occur there
In 2015, it is still 14/18
Always in certain countries
And killers of mass
And the empathy put at breakage
Sometimes, the torturers are very graduate
Like chiefs of Germany, nazifié country
Of Einsatzgruppen, of which 200 were judged
On 3000 members, therefore, the majority were discharged
And which in Stalinist Russia
With the Ukrainian, Latvian, Lithuanian assistance
Jews massacred, in the name of nationalism
Then trucks with gas
Were replaced by the gas chambers
Crafts with industry
Technology of the Nazis
And starting from August 1941, it was not finished
Women, children, like the men, gassed too
Gypsies even more, comparatively
Any war is of destruction!
Chiefs of the governments
Chiefs of the administrations
Chiefs of the armies
Chiefs of the distractions
Here are killers of mass
Here is true filth
And all those, all those
Who as a voter, any destiny, seals
Here well all this crime of war
Those, those, which are keep silent, the good deal!
And the economic war
And it is always economic
Like the project of the tunnel Lyon/Turin
Useless and completely cretin
57 km of length, at least 30 billion euros
Project protected by the military forces, so much it is idiotic
However, three times less goods
That 20 years ago, that it is said
And in the place
It is that also which freezes
300 hospitals, it would be more beautiful
1200 colleges, 2000 old people's homes
As for Our-Lady-of-Landes, so stupid project
Everywhere the silly thing, the capital, repeats it!
Transport economics
Is only the transport of the economy
Who seeks to compensate
System all nonsenses
And here the light of bioluminescence
Certain bacteria in luminescence
Traffic of gene of bioluminescence
72 hours of light like a candle
Setting in culture of the bacteria
The electricity of the future
Soon, the human being in culture
There will be nothing any more but the artifice
Nature will be nothing any more but one defect
With an emotional contagion
A kind of emotional plague
For and in our characterial armours
For you, me, them, they, they
The plague and its most pathogenic bacillus in the world
The plague which for 5000 years has thundered
But the worst
That which makes the empires
The political plague
Policy of the plague
Official authority
And which always, remains!
Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway index”