" Les hommes ont autant de prise sur leur destin qu'un cochon pendu par les pieds dans un camion frigorifique roulant vers les abattoirs de Chicago. "
Dwight Macdonald (1906-1982) " Une tragédie sans héros " (1938-1957) Editions de l'encyclopédie des nuisances
L'église, de par son droit canon
Parler de la pédophilie, interdiction
Pourtant en vogue, dès sa fondation
Et puis, depuis 1929, grâce à feu ( 1883-1945) Benito Mussolini
Le Vatican est un Etat, qui des lois, fait fi
Qu'ainsi, Mussolini, de son soutien, remercie
Le pape et son droit canon
Le dénoncer, et c'est l'excommunication
Tout doit rester secret
Ne parler que des bienfaits
La pédophilie des prêtres
L'homosexualité des prêtres
Les crimes sexuels des évêques
Et le pape son garant, ce sale mec !
Les Dolan, Murphy, Solano, Maciel
Ce feu (1920-2008) Marcial Maciel
Champion des crimes sexuels
La légion du Christ perverti
Fascistes, capitalistes, nazis
Toujours le grand inquisiteur
Du catholicisme qui répand la terreur
Jamais vraiment inquiété, jamais dans l'erreur
Ou alors, à la toute dernière heure !
Hélas pour l'église, pour elle
L'église a un sexe, un estomac
Elle aime la jeunesse et les demoiselles
Il faut faire pipi, il faut faire caca
Lutter contre les pulsions sexuelles
Pour toutes les religions, pas seulement la catholique
Le sexe c'est mal, c'est contre la foi
Sauf en soutane, où rien n'était pathologique
Tout le reste était délire sexologique
Certes
Tout irait mieux
Si son sexe, l'on pouvait moucher
Aussi souvent que son nez
Mais sans violer qui que ce soit
Quand le respect de l'autre est roi
Les sexualités ont leur heure
Qui ne font pas toujours peur
Selon les époques et les coutumes
L'histoire en dissémine l'écume
Comme juifs, musulmans, chrétiens
Qui un temps, eurent des intérêts communs
Les conflits étaient surtout tribaux
Et pouvaient se régler, en payant un impôt
Mais au fil des siècles qui passaient
Les chrétiens, par la force, s'imposaient
Les juifs et les musulmans, ils les chassaient
Les juifs et les musulmans, ils les tuaient
Par exemple, contre feu (1451-1504) Isabelle 1re de Castille, si hiératique
Cette Isabelle la catholique
Juifs et musulmans s'associaient
Tout ce qui n'était pas chrétien étant hérétique
Et l'inquisition, et l'intolérance, s'imposaient
Et ce sont les musulmans qui accueillaient les juifs
Que les chrétiens persécutaient
De ce temps, les chrétiens furent les fanatiques
Avec l'alibi de la parole évangélique
Les temps ont changé
En manifeste ou en subtilité
Les alliés d'hier
Deviennent les ennemis d'aujourd'hui
Le polythéisme des arabes, c'est fini
Le dieu unique, c'est le père, c'est donc la guerre
Torah, Bible, Coran, des conflits infinis
Qui sont devenus politiques
Qui sont devenus géographiques
Qui avaient toujours été politiques
Qui avaient toujours été géographiques
Présentement
Juifs et musulmans se détestent
Chrétiens et juifs se tolèrent
Vraiment, les religions déblatèrent
Oui, les religions, il faut s'en défaire !
L'art aussi
Est contre-révolutionnaire
Il est conservateur, il est réactionnaire
Toutes les bourgeoisies, il justifie
La preuve, c'est l'absence de vie !
Tous les intellectuels
Toutes les intellectuelles
Sont les aliments de la réaction
Qui n'ont pour seule fonction
Que d'empêcher une vraie révolution
De tout cela, il faut se libérer
Les bourgeoisies aiment nous aliéner
Au pilori
Les artistes, les intellectuels, les patries
Les bureaucrates, les technocrates, les partis
Car c'est cela l'anarchie
Sans aucun de ces pipis
Plus aucune célébrité
Plus rien de spectacularisé
Personne ne représentant personne
Plus aucune heure qui sonne
Tout individu mâle ou femelle
Doit devenir ingouvernable, inimitable
A toute autorité chercher querelle
Pour qu'enfin la vie devienne belle !
Il en faudrait des guerres civiles
Pour que l'humanité ne soit plus servile
Mais sans cesse, cela recommence
La chorée de Huntington mène la danse
Tout cela sent le rance
Déjà, ne plus voter
Déjà, ne plus admirer
Déjà, ne plus obéir
Finalement
Le stalinisme a triomphé
La pensée critique est atrophiée
La critique sociale, dans un placard, rangée
Tout le monde est complice
Chacun et chacune en est le vice
Tout est devenu répugnant
Tous les gouvernements en sont le chant
L'être humain est ainsi
A l'être humain, son propre ennemi
Divisé, fragmenté, représenté, figé, séparé
Pourtant
Il n'y a pas d'inférieurs
Pourtant
Il n'y a pas de supérieurs
Que des crétins et des crétines
Qui gâchent leurs vies, heure après heure
Nos idées sont de la même cantine
Nos soumissions sont toutes nos peurs
Moi, toi, eux, elles, lui, c'est une identique pâleur
Il faut un nouveau pacte
Pour la grève de l'acte
En faire le moins possible
Que tout pouvoir soit notre cible
Ah ! pouvoir donner des claques
A ces menteurs de la pensée radiotélévisée
Les Onfray, Glucksmann, Finkielkraut, Bernard-Henri Lévy
Fausse intellectualité, mais authentique imbécillité
La référence des bourgeoisies
Qui colportent tous leurs dégueulis
De dire des inepties, ils ont le permis
Des gens les croient, et cela fait des petits
Ah ! une balle, une rafale
De la médiocrité, tous ces morfales
Les rencontrer
Pour à leurs visages, cracher
Ah ! pouvoir leur donner des claques
Toute cette vermine, immonde cloaque
Cette bande des quatre
Pour falsifier, tronquer, récupérer, opiniâtres
Pour le bonheur de l'humanité
Eux et leurs semblables, il faudra s'en débarrasser
Même pas la peine de les tuer
Il suffira de ne plus les écouter
Eux et leurs semblables, les ignorer !
Vraiment
Ce monde pue la haine et la mort
Vraiment
Ce monde a tous les torts
Quand on sait
Que chaque année en France, il naît
850.000 bébés, à l'heure, arrivés
Et dans le monde, seize millions de prématurés
C'est le tabac, le stress, les transports en commun
Dans le ventre, et déjà pas bien !
Sans en avoir l'air
La femme et la jument, sont jumelles placentaires
Pamphlet paraphysique
Humour noir paraphysique
Se débarrasser de sa monstruosité
En l'écrivant, en la distribuant
Un portrait à la Dorian Gray
Qui a vraiment des effets
Pour que les autres, il vienne hanter
Une façon de le jeter, en le tuant
Il ne vous appartient plus
Il est sorti de votre cul
Après, vous le voyez de loin
Pour vous, il n'est plus rien !
De haut, tout regarder
Comme feu (1754-1785) Pilâtre de Rozier
Le premier homme de l'espace, en 1783, de l'air, fut le héros
Rien de mal, rien de beau
Sur Terre
Chacun et chacune, tour à tour
Gentil et méchant, héros et salaud
Et de ces coups, la vie, qui nous bourre
De mes écritures qui font un four
Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr “
“The men have as much catch on their destiny than a pig hung by the feet in a travelling freezer wagon towards the slaughter-houses of Chicago. ”
Dwight Macdonald (1906-1982) “a tragedy without hero” (1938-1957) Editions of the encyclopaedia of the nuisances
The church, from its canon law
To speak about the paedophilia, prohibition
However in vogue, as of its foundation
And then, since 1929, thanks to fire (1883-1945) Benito Mussolini
The Vatican is a State, which laws, despised
That thus, Mussolini, of its support, thanks
The pope and his canon law
To denounce, and it is excommunication
All must remain secret
To speak only about the benefits
The paedophilia of the priests
The homosexuality of the priests
Sexual crimes of the bishops
And the pope his guarantor, this dirty guy!
Dolan, Murphy, Solano, Maciel
This fire (1920-2008) Marcial Maciel
Champion of the sexual crimes
The legion of Christ perverted
Fascists, capitalists, Nazis
Always the large inquisitive one
Catholicism which spreads terror
Never really worried, never in the error
Or then, at the very last hour!
Alas for the church, it
The church has a sex, a stomach
She likes youth and the young ladies
It is necessary to make wee, it is necessary to have a poo
To fight against the sexual instincts
For all the religions, not only the catholic
The sex it is badly, it is against the faith
Except out of cassock, where nothing was pathological
All the rest was delirious sexological
Admittedly
All would be better
If its sex, one could snuff
As often as its nose
But without violating anyone
When the respect of the other is king
Sexualities have their hour
Who always do not frighten
According to the times and the habits
The history disseminates scum of it
Like Jews, Muslims, Christians
Who a time, had shared interests
The conflicts were especially tribal
And could be regulated, by paying a tax
But with the wire of the centuries which passed
The Christians, by the force, asserted themselves
The Jews and the Muslims, they drove out them
The Jews and the Muslims, they killed them
For example, against fire (1451-1504) Isabelle 1st of Castille, if hieratic
This Isabelle the catholic
Jews and Muslims joined
All that was not Christian being heretic
And enquiry, and intolerance, were essential
And they are the Muslims who accommodated the Jews
That the Christians persecuted
This time, the Christians were the fanatics
With the alibi of the evangelic word
Times changed
Out of manifesto or subtlety
Allies of yesterday
Become the enemies of today
The polytheism of Arabic, it is finished
The single god, it is the father, it is thus the war
Torah, Bible, Koran, of the infinite conflicts
Who became political
Who became geographical
Who had always been political
Who had always been geographical
At present
Jews and Muslims hate themselves
Christians and Jews tolerate themselves
Really, the religions déblatèrent
Yes, the religions, it is necessary to be demolished some!
Art too
Is counter-revolutionary
It is preserving, it is reactionary
All the bourgeoisies, it justifies
The proof, it is the absence of life!
All intellectuals
All the intellectual ones
Are the food of the reaction
Who do not have for only function
To prevent a true revolution
Of all that, it is necessary to be released
The bourgeoisies like to alienate us
With the pilori
Artists, intellectuals, fatherlands
Bureaucrats, technocrats, parties
Because it is that anarchy
Without any of these wees
More no celebrity
More nothing of spectacularized
Nobody not representing anybody
More no hour which sounds
Any male or female individual
Must become ungovernable, inimitable
Any authority to seek quarrel
So that finally the life becomes beautiful!
One would need civil wars of them
So that humanity is not servile any more
But unceasingly, that starts again
Chorée of Huntington the dance carries out
All that feels the rancid one
, More not to already vote
, More not to already admire
, More not to already obey
Finally
Stalinism triumphed
The critical thought is atrophied
Social criticism, in a wall cupboard, line
Everyone is accessory
Each one and each one are the defect
All became feeling reluctant
All the governments are the song
The human being is thus
With the human being, its own enemy
Divided, split up, represented, solidified, separated
However
There are no inferiors
However
There are no superiors
That cretins and cretins
Who waste their lives, hour after hour
Our ideas are same canteen
Our tenders are all our fears
Me, you, they, they, it is to him an identical paleness
A new pact is needed
For the strike of the act
In making the least possible
That any power is our target
Ah! to be able to give opera hats
With these liars of the broadcast simultaneously on radio and TV thought
Onfray, Glucksmann, Finkielkraut, Bernard-Henri Lévy
Distort intellectuality, but authenticates stupidity
The reference of the bourgeoisies
Who hawk all their pukes
To say ineptitudes, they have the licence
People believe them, and that made of small
Ah! a ball, a gust
Mediocrity, all these morfales
To meet
For with their faces, to spit
Ah! to be able to give them opera hats
All this vermin, unclean cesspool
This band of the four
To falsify, truncate, recover, obstinate
For the happiness of humanity
They and their similar, it will be necessary to get rid some
Not the sorrow to even kill them
It will be enough more to listen to them
Them and their similar, to be unaware of them!
Really
This world stinks hatred and death
Really
This world makes all mistakes
When one knows
That each year in France, it is born
850,000 babies, per hour, arrived
And in the world, sixteen million premature
It is the tobacco, the stress, public transport
In the belly, and already not well!
Without looking some
The woman and the mare, are twin placental
Lampoon paraphysic
Black humour paraphysic
To get rid of its monstrosity
By writing it, by distributing it
A portrait in Dorian Gray
Who has really effects
So that the others, it comes to haunt
A way of throwing it, by killing it
It does not belong to you any more
It left your bottom
After, you see it by far
For you, it is nothing any more!
Of top, all to look at
Like fire (1754-1785) Pilâtre de Rozier
The first man of space, in 1783, of the air, was the hero
Nothing evil, nothing beautiful
On Earth
Each one and each one, in turn
Nice and malicious, hero and bastard
And of these blows, the life, which stuffs us
Of my writings which make an oven
Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr “