Speed of light
299792458 m/s
1079252848,8 km/h
L'espace vide n'est pas vide
C'est la politique qui est vide
L'espace peut se tordre, se courber, onduler
C'est le tissu du cosmos, ce qui nous fait vibrer
Autre chose que l'argutie, l'algarade de la politique, toujours le bide
Le monde c'est l'espace avec des choses dedans
La politique en est son dément
Et des dizaines de millions d'enfants esclaves
Dans le monde, Asie, Afrique, Inde
Le capital a toutes sortes de cages
Pour ne pas s'émouvoir, l'humanité se blinde
Dans le même temps, le programme spatial s'étend
A la recherche de la vie extraterrestre
Ailleurs, cet argent, l'on pourrait le mettre
Et puis, c'est sur la planète Terre
Que les gens doivent se rencontrer
Ce qui reste toujours à faire
Pour enfin vraiment communiquer
Et l'idéologie, la religion, la croyance
Sont là justement pour nous en empêcher
Et abolir ainsi toute nitescence !
Aussi, c'est l'ère de l'aérospatiale
C'est en vérité la frustration qui s'étale
Certes
Notre soleil transforme 1 million de tonnes
D'hydrogène en hélium, rien ne nous étonne
A chaque seconde depuis 4,6 milliards d'années
Mais si cela était comparé
A Antarès ou Bételgeuse, notre soleil est riquiqui
Notre galaxie a 12 milliards d'années
Des galaxies naines elle peut manger
Et chaque galaxie en son centre, abrite un trou noir
Qui mange ses étoiles comme des poires
Galaxies elliptiques ou spirales
Un phénomène qui semble banal
Dans chaque galaxie, une explosion d'étoile
Supernova, tous les 70 ans, qui tisse sa toile
Et toujours l'esclavage des enfants
Dans le monde entier, c'est navrant
Il faut bien extraire le mica
Indispensable pour l'électronique, voilà
Alors, certes, c'est enthousiasmant
200 milliards d'étoiles dans notre seule galaxie
Comme pour l'univers, c'est le principe d'entropie
Comme pour l'anarchie, aucune hiérarchie
Un peu, de ce fait, comme chez les fourmis
S=k.log W, c'est la formule de la vie
Même si, peut-être, dans 100 milliards d'années, c'est fini
Car notre univers va s'évaporer
Même plus besoin de temps pour mesurer
9,192,631,770 d'oscillations par seconde
De l'atome de césium, plus besoin, dans aucun monde
Plus aucune galaxie émétique
Malgré 1 milliard de la supernova frénétique
Mais aussi, peut-être, des tas de planètes
Autour de chaque étoile, c'est chouette
Et des tas d'univers dans le multivers
Des mondes parallèles et parfois répétés
Joies, peines, décès, naissances, échecs, succès
De tout ce qui est, les mêmes excès !
Et aussi, l'anarchie, enfin réalisée
Autres mondes, autres lieux, où tout est dépossédé
Où tout est dépeuplé, pour pouvoir se réaliser
Et plus de choses nous savons
Plus notre ignorance nous accroissons
Pour simplement savoir que nous ne savons rien
C'est ainsi et c'est très bien
Même si notre regard pense y voir au loin
Comme cette matière noire
Véritable glu cosmique
Il faut pourtant y croire
Sans elle, rien ne se fabrique
Mais au niveau d'organisation de la Terre
Pour tout, pour rien, c'est la guerre
La soumission y est totalement généralisée
Par ce qui l'architecture, la pensée séparée
Il faut y jouer son rôle, calquer son programme
Sinon c'est le rejet, c'est le drame
Les enfants, les parents, les bons, les méchants
Les jeunes, les vieux, les ignorants, les savants
Ce sont des panoplies
Que nous endossons pour la vie
Rien n'est naturel
Tout est naturel
Apprentissage du conditionnement
Conditionnement de l'apprentissage
Comme les préférences hormonales
Cela n'est ni bien ni mal
Toujours aussi selon un référent
Qui varie selon les temps !
La plupart
Des pauvres n'ont pas de vie sexuelle
La plupart
Des riches ont une vie sexuelle
Car comme tout le reste
Sinon plus, tout s'achète
Par la profession, le statut social
Par la sécurité, le standing
Pour avec les femelles, faire des loopings
C'est comme du dumping
Avec du baratin, se vendre, tout un carnaval
C'est ce que l'on appelle la vie sociale
Si tu n'as pas un rond, laid ou beau
Pas de piaule, pas de femme, tout tombe dans l'eau
Tu n'auras que dalle !
C'est cela aussi
La réalité de notre société
Tout peut s'y vendre, tout peut s'y acheter
Ou alors, de tout, il faut faire fi
Ce monde n'est pas l'anarchie
Aussi, c'est pour tout, le mépris
Tout y est puant, tout y est décevant, tout s'y chie !
Comme en France
En 1896, les noirs victimes de médisance
Des sauvages, que la république
Devait civiliser, ô l'impudique
Il y avait le village nègre
Ou le jardin d'acclimatation, comme une pègre
Des pièces jetées dans l'eau, pour s'amuser
Pour que les noirs, ces sauvages, aillent les chercher
En 1931, l'exposition coloniale de Paris
Et les centaines de milliers de soldats noirs, de 1914, on les oublie
En 1927, c'est le journal " La voix des nègres ", c'est la révolte
L'identité des noirs se construit, cela dépote
Et le lettré noir
A le droit d'afficher
Indigène évolué sur sa carte d'identité !
Et l'industrialisation
Qui apporte tant de maladies
Est une sorte de péréquation
Pour réguler la surpopulation
En France, 2003, la canicule
15000 décès, de personnes âgées
Quand le capital régule
C'est assez évident pour qui sait observer
Aux Etats-Unis
A la vérité si peu unis
Par les armes à feu
30.000 tués par an, mais oui
Et chaque pays joue à ce jeu
Chaque pays à sa dette
Pour mettre les pauvres à la diète
2000 milliards d'euros
Pour la France, comme c'est beau
Oh ! dans ce monde ne règne que le faux !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
Speed of light
299792458 m/s
1079252848.8 km/h
Empty space is not empty
It is the policy which is empty
Space can twist, to curve themselves, undulate
It is the fabric of cosmos, which makes us vibrate
Another thing that the quibble, the quarrel of the policy, always the belly
The world it is space with things inside
The policy is his demented person
And of tens of million of children slaves
In the world, Asia, Africa, India
The capital has all kinds of cages
Not to be moved, humanity is armoured
In same time, the space program extends
In search of the extraterrestrial life
Elsewhere, this money, one could put it
And then, it is on planet Is in hiding
That people must meet
What always remains to be made
For finally really communicating
And the ideology, the religion, belief
Are there precisely for us to prevent some
And to abolish any nitescence thus!
Also, it is the era of the aerospace one
It is in truth the frustration which is spread out
Admittedly
Our sun transforms 1 million tons
Helium hydrogen, nothing astonishes us
At each second since 4.6 billion years
But if that were compared
In Antarès or Bételgeuse, our sun is tiny
Our galaxy has 12 billion years
Dwarf galaxies it can eat
And each galaxy in its center, shelters a black hole
Who eats his stars like pears
Elliptic or spiral galaxies
A phenomenon which seems banal
In each galaxy, a star explosion
Supernova, every 70 years, which weaves its fabric
And always the slavery of the children
In the whole world, it is disturbing
The mica should well be extracted
Essential for electronics, here
Then, certainly, it is filling with enthusiasm
200 billion stars in our only galaxy
As for the universe, it is the principle of entropy
As for anarchy, any hierarchy
A little, so as in the ants
S=k.log W, it is the formula of the life
Even if, perhaps, in 100 billion years, it is finished
Because our universe will evaporate
Even more need of time to measure
9,192,631,770 of oscillations a second
Cesium atom, plus need, in any world
More no emetic galaxy
In spite of 1 billion the frantic supernova
But also, perhaps, of the planet heaps
Around each star, it is nice
And of the heaps of universe in the multivers
Parallel and sometimes repeated worlds
Joys, sorrows, death, births, failures, success
Of all that is, same excesses!
And also, anarchy, finally carried out
Other worlds, other places, where all is dispossessed
Where all is depopulated, to be able to be carried out
And more things we know
More our ignorance we increase
For simply knowing that we do not know anything
It is thus and it is very well
Even if our glance thinks of seeing there with far
Like this black matter
True cosmic lime
It is however necessary to believe in it
Without it, nothing is manufactured
But on the level of organization of the Earth
For all, for nothing, it is the war
The tender is completely generalized there
By what architecture, the separate thought
It its part should be played there, to copy its program
If not it is the rejection, it is the drama
Children, parents, goods, the malicious ones
Young people, old men, ignoramuses, scientists
They are panoplies
That we endorse for the life
Nothing is natural
All is natural
Training of conditioning
Conditioning of the training
Like the hormonal preferences
That is neither well nor badly
Always also according to a referent
Who varies according to times!
Majority
The poor do not have sex life
Majority
Rich person have a sex life
Because as all the rest
If not more, very buys itself
By the profession, the social status
By the security, standing
For with the females, to loop
It is like dumping
With sweet talk, to be sold, a whole carnival
It is what one calls the social life
If you do not have a round, ugly or beautiful
Pas de cheeps, not woman, all fall into water
You will have only flagstone!
It is that too
The reality of our company
All can to with it be sold, all can there be bought
Or then, of all, it is necessary to despise
This world is not anarchy
Also, it is for all, the contempt
All is stinking there, all is disappointing there, is very shit there!
As in France
In 1896, the blacks victims of scandalmongering
Savages, that the republic
Was to civilize, ô the immodest one
There was the negro village
Or zoological gardens, like an underworld
Parts thrown in water, to have fun
So that the blacks, these savages, will seek them
In 1931, the colonial exposure of Paris
And the hundreds of thousands of black soldiers, of 1914, they are forgotten
In 1927, it is the newspaper “the voice of the negros”, it is the revolt
The identity of the blacks is built, that discharges
And the black well-read man
With the right to display
Native evolved on his identity card!
And industrialisation
Who brings diseases so much
Is a kind of equalization
To control overpopulation
In France, 2003, the heat wave
15000 deaths, elderly people
When the capital controls
It is obvious enough for which can observe
In the United States
With the truth if not very plain
By the firearms
30,000 killed a year, yes
And each country plays this game
Each country with its debt
To put the poor at the diet
2000 billion euros
For France, as it is beautiful
Oh! in this world only the forgery reigns!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”