|
printable version
- js reader version
- view hidden posts
- tags and related articles
by Patrice Faubert
Thursday, Jul. 05, 2012 at 10:10 PM
Et comme tout n'est pas à tout le monde, rien n'est en fait, à personne...
La camaraderie amoureuse de feu Emile Armand N'est pas possible, dans un monde d'argent L'anationalisme de feu Eugène Lanti Où partout, les nationalismes font pipi Ne peut que passer pour un utopisme dément Les hommes veulent appartenir à quelqu'un Les femmes veulent appartenir à machin La jalousie est le contraire de l'amour Et cependant, tous et toutes, sont dans sa cour L'on nous fait croire Et souvent, l'on peut le voir Qu'être jaloux, c'est beaucoup aimer Qu'être jalouse, c'est être très attachée L'amour, c'est donc la propriété En ce sens, c'est des autres, se confisquer Les hommes et les femmes veulent s'approprier Les hommes et les femmes veulent se posséder Cela leur donne l'illusion de l'amour fou La contrefaçon qu'on les aime beaucoup Nous pourrions tout aussi bien Comme des papillons, sur des fleurs Nous imprégner de leurs odeurs Et en boire tous les pleurs Chaque jour si délicieusement vécu Personne de vainqueur, personne de vaincu Mais simplement des amours d'une journée Comme aussi bien, pour une éternité Et c'est toujours la sexualité Qui est encore la moins partagée Nous sommes des propriétaires D'une femme, d'un homme, d'enfants, d'une maison Et ce, à en perdre la raison! En ce domaine, pas le moindre retardataire Et comme tout n'est pas à tout le monde Rien, n'est en fait à personne Même si des actions sont bonnes Cest encore la misère qui nous sonde Nous ne partageons rien, ainsi l'amour nous fuit Sans discontinuer, nous prostituons nos corps ou nos esprits C'est ainsi que vivent les patronnes et patrons Car nous sommes des poltronnes et des poltrons C'est la grande farandole du pognon Nos vies sont dans les camisoles De nos sociétés complètement folles Pour qu'en tous lieux, l'on s'égorge Mais nous y mettons des formes Pour que tout reste dans des normes Des tueries qui suent nos hypocrisies Cela fait partie du monde, c'est la vie! Comme au vieux temps, de la guerre d'Algérie Et qui dans notre sombre aujourd'hui Connaît même un peu, l'anationalisme de feu Eugène Lanti? Et qui dans notre terrifiant aujourd'hui Connaît même un peu, la camaraderie amoureuse de feu Emile Armand? Chut! le désastre, il faut l'administrer Chut! le désastre, il faut le faire apprécier Chut! bientôt tout sera fini, plus rien à gérer!
Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysicien, Pat dit l'invité sur "hiway.
Comradeship in love of fire Emile Armand Is not possible, in a money world The anationalisme of fire Eugène Lanti Where everywhere, the nationalisms do pipi Can only to pass for an utopisme denies The men want to belong to someone The women want to belong to machin Jealousy is the opposite of love And nevertheless, all and all, are in his course One does us to believe And often, one can see it What to be jealous, is a lot to like What to be jealous, is to be very attached Love, this is therefore the property In this direction, this is others, confiscate itself The men and the women want to appropriate themselves The men and the women want to possess themselves That gives them the illusion of crazy love The forgery that one likes them a lot We can all just as well As butterflies, on flowers We to impregnate of their odors And some to drink all the pleurs Every so day deliciously lived Person of conqueror, person of overcome But simply loves of a day As just as well, for an eternity And this is always sexuality Who again less is divided it We are owners Of a woman, of a man, of children, of a house And this, to some to lose the reason! In this domain, not the late least one And as all is not at everyone Nothing, is in fact to anybody Even if actions are good Cest again the misery that probes us We divide nothing, thus love flees us Without stopping, we prostitute our body or our spirits This is as well as live the patronize and employers For we are cowards and cowards This is the big farandole of the pognon Our lives are in the camisoles Of our completely crazy corporations For that in all places, one s'égorge oneself But we there put forms For that any remainder in norms Killings that sweat our hypocrisies That is part of the world, this is life! As to the old time, war of Algeria And that in our dark one today Does know even a little, the anationalisme of fire Eugène Lanti? And that in our terrifying one today Does know even a little, comradeship in love of fire Emile Armand? Hush! the disaster, it is necessary to manage it Hush! the disaster, it is necessary to do it to appreciate Hush! soon all will be finished, more nothing to manage!
Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysicien, said Pat the guest on "hiway.fr"
Report this post as:
|