La dictature subtile ou manifeste
Se répand dans le monde entier
Tout gouvernement en est l'infeste
Même sa répugnance y est de peu d'habilité
Et l'on s'y gargarise du mot démocratie
Alors que cela rime avec fumisterie
Et même
Aucun résultat véritable d'élection
N'est plus respecté, de la pure illusion
Et tout nouveau pouvoir
Ne poursuivant que l'ancien pouvoir
Cela est toujours du même avoir
Les gens, enfin, commencent de le croire
Mais
Pour les diverses dictatures
L'état de grâce, et toujours
Pour toutes les ordures
D'anciens nouveaux visages, et cela perdure
Salaudes et salauds, au poteau
Douze balles dans la peau
Mais les dictatures ont des armes
Et les pauvres n'ont que leurs larmes
Avec
Les moi, je vais vous dire ce qu'il faut faire
Mais, souvent, et surtout pour ne rien faire
Car
Il faudrait tout fiche par terre
Chasser et éliminer le monde politique
Au minimum un bon coup de pierre
Monde politique, escrocs, voleurs, menteurs
Génocidaires et mafieux, gangsters
Et comme il n'y a plus de peuple
Tout peut se faire, sur son dépeuple !
Le peuple est révolutionnaire ou n'est pas
Il n'est donc plus, il n'existe pas
Il ne faut plus remplacer une crapule
Par une autre crapule
Face à cela, une haine sans le scrupule
Capables, même, de fausse bonté, en simule
Les diverses mafias en sont les fondations
Même au Mexique, parfois, souvent, en confrontation
C'est chaud, c'est de la canicule
Déjà, au quinzième et seizième siècle
Mais, là, parfois attendues, selon les raisons
Aussi
Au onzième siècle
Versailles, 1480, et 1707 et 1718 à Lyon
En France
De la mortalité et populations impactées
Ou très froid en hiver
1700 à 1720, et très chaud l'été
Avec 200.000 décès
Et sauterelles envahissantes en été
Mais des épisodes encore de rareté
De nos jours, le réchauffé, c'est devenu la normalité
Comme tout notre système alimentaire
Si violent, que cela devient de l'élémentaire
Chaînes inégalitaires et bouffe industrielle
Tous les dessous pas coquins, du bénévolat, comme une guerre
Mauvaise bouffe et maladies induites
De toute une fausse solidarité, sincère et inédite
Invendus ou invendables
Mais tout devant être très calibré pour le vendable
Ainsi, tout un horrible gaspillage dans l'effroyable
Et même de bons produits tout-à-fait mangeables
Et des produits plus coûteux ou périmés
Malbouffe, ventres vides, ou tout broyé !
Et avec l'inflation
De nouvelles étatisations en injonction
Tout ce que l'on a pas voulu
Et pour telle ou telle raison
Toute pauvreté en fera raison
La paix sociale du bénévolat
N'étant plus suffisante, alors, holà
Rien ne pouvant être vertueux sous le capital
L'on ne choisit rien, ni sa bouffe, fatal
Avec ou sans papiers
C'est sa bourse qui va décider
De presque tout, propriété privée
Cependant, avec tout ce qui est gaspillé
L'on pourrait largement nourrir le monde entier
Toute les pauvretés s'y régalant
Toutes les pauvretés, s'y rassasiant
Mais, tout est si scandaleux
Que même le pire en devient l'envieux
Finalement
Tout y crève, tout y fait feu
Alors que rien ne date d'hier
Pas de quoi en faire une affaire
Athènes, 300 ans avant notre ère
Déjà, un automate, servant, vin ou eau
Déjà, 1890, la chaise électrique
Pour remplacer la pendaison moins chic
Aux USA, forcément, et sur les animaux de cirque
D'abord expérimentation, Barnum et Bailey
De la cruauté sur les animaux en effet
Surtout les éléphants, le cartésianisme débile s'imposait !
De l'animal prétendu insensible, soumis ou exécuté
Comme pour l'être humain, en aparté
Quand l'on normalise la cruauté
Et qu'elle devient la principale normalité
Forcément, dans un assentiment presque d'unanimité
Et il n'y a plus que directe ou indirecte, de la complicité
D'une reptation à plus ou moins de degrés
Plus personne pour vraiment, TOUT CRACHER
Ou comme feu ( 1884 - 1932 ) Albert Londres
Dans la plaie, la plume, la porter
Nous sommes tous et toutes des minus
Et
Nous avons encore très peu du bonus
Nous n'avons plus même l'arme de la raison
Car c'est la raison du plus fort, toujours, en plus
Depuis feu ( 1785 - 1851 ) Jean - Jacques Audubon
Qui des oiseaux américains fut le bon
Aussi peintre, naturaliste, ornithologue
Déjà lanceur d'alerte et écologue
Tout annonçant déjà le carnage
Des disparitions d'espèces et d'indiens en ravage
Tout, déjà, de l'exterminé, réserve ou en cage
Avec l'industrialisation apparut une nouvelle rage
Où tout épanouissement prenait, et pour toujours, le large
Notre présent n'est que notre passé
Notre passé n'est que notre présent
Notre futur copulant le passé et le présent
Trois en un, et dans tout instant !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )
The subtle or manifest dictatorship
Spreads throughout the world
Every government is infested with it
Even its repugnance is of little skill
And we gargle with the word democracy
While it rhymes with smoke and mirrors
And even
No real election result
Is no longer respected, pure illusion
And any new power
Pursuing only the old power
It is always the same thing
People, finally, are beginning to believe it
But
For the various dictatorships
The state of grace, and always
For all the filth
Old new faces, and it continues
Bastards and bastards, at the stake
Twelve bullets in the skin
But the dictatorships have weapons
And the poor have only their tears
With
The me, I will tell you what to do
But, often, and especially to do nothing
Because
We should throw everything on the ground
Hunt and eliminate the political world
At least a good stone throw
Political world, crooks, thieves, liars
Genocide and mafia, gangsters
And since there are no more people
Anything can be done, on its depopulation!
The people are revolutionary or they are not
So they are no more, they do not exist
We must no longer replace a scoundrel
With another scoundrel
Faced with this, a hatred without scruples
Capable, even, of false kindness, in simulation
The various mafias are the foundations
Even in Mexico, sometimes, often, in confrontation
It's hot, it's a heatwave
Already, in the fifteenth and sixteenth centuries
But, there, sometimes expected, depending on the reasons
Also
In the eleventh century
Versailles, 1480, and 1707 and 1718 in Lyon
In France
Mortality and impacted populations
Or very cold in winter
1700 to 1720, and very hot in summer
With 200,000 deaths
And invasive locusts in summer
But episodes still rare
Nowadays, the reheated, it has become the normality
Like our entire food system
So violent, that it becomes elementary
Unequal chains and industrial food
All the not naughty undersides, volunteering, like a war
Bad food and induced diseases
A whole false solidarity, sincere and unprecedented
Unsold or unsaleable
But everything must be very calibrated for sale
Thus, a whole horrible waste in the dreadful
And even good products that are completely edible
And more expensive or expired products
Junk food, empty stomachs, or everything crushed!
And with inflation
New nationalizations in order
Everything that we did not want
And for such and such a reason
All poverty will be the reason
The social peace of volunteering
No longer being sufficient, then, holà
Nothing can be virtuous under capital
We do not choose anything, not even our food, fatal
With or without papers
It is our purse that will decide
Of almost everything, private property
However, with all that is wasted
We could easily feed the whole world
All poverty feasting there
All poverty, satiating there
But, everything is so scandalous
That even the worst becomes envious of it
Finally
Everything dies there, everything catches fire there
While nothing dates from yesterday
No reason to make a business of it
Athens, 300 years before our era
Already, an automaton, serving, wine or water
Already, 1890, the electric chair
To replace the less chic hanging
In the USA, of course, and on circus animals
First experimentation, Barnum and Bailey
Cruelty on animals indeed
Especially elephants, stupid Cartesianism was imposed!
Of the supposedly insensitive, submissive or executed animal
As for the human being, aside
When we normalize cruelty
And it becomes the main normality
Inevitably, in an almost unanimous assent
And there is only direct or indirect, complicity
Of a crawling to more or less degrees
No one left to really, SPIT IT ALL OUT
Or like fire (1884 - 1932) Albert Londres
In the wound, the pen, to carry it
We are all tiny
And
We still have very little of the bonus
We no longer even have the weapon of reason
Because it is the reason of the strongest, always, in addition
Since fire (1785 - 1851) Jean - Jacques Audubon
Who of the American birds was the good one
Also painter, naturalist, ornithologist
Already whistleblower and ecologist
Everything already announcing the carnage
Disappearances of species and Indians in ravage
Everything, already, of the exterminated, reserve or in cage
With industrialization appeared a new rage
Where all blossoming took, and forever, the open sea
Our present is only our past
Our past is only our present
Our future copulating the past and the present
Three in one, and in every moment!
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )