Paraphysique, porte-jarretelles des dessous alimentaires

by Patrice Faubert Friday, Nov. 01, 2024 at 8:35 AM

Tout y crève, tout y prend feu...

La dictature subtile ou manifeste

Se répand dans le monde entier

Tout gouvernement en est l'infeste

Même sa répugnance y est de peu d'habilité

Et l'on s'y gargarise du mot démocratie

Alors que cela rime avec fumisterie

Et même

Aucun résultat véritable d'élection

N'est plus respecté, de la pure illusion

Et tout nouveau pouvoir

Ne poursuivant que l'ancien pouvoir

Cela est toujours du même avoir

Les gens, enfin, commencent de le croire

Mais

Pour les diverses dictatures

L'état de grâce, et toujours

Pour toutes les ordures

D'anciens nouveaux visages, et cela perdure

Salaudes et salauds, au poteau

Douze balles dans la peau

Mais les dictatures ont des armes

Et les pauvres n'ont que leurs larmes

Avec

Les moi, je vais vous dire ce qu'il faut faire

Mais, souvent, et surtout pour ne rien faire

Car

Il faudrait tout fiche par terre

Chasser et éliminer le monde politique

Au minimum un bon coup de pierre

Monde politique, escrocs, voleurs, menteurs

Génocidaires et mafieux, gangsters

Et comme il n'y a plus de peuple

Tout peut se faire, sur son dépeuple !

Le peuple est révolutionnaire ou n'est pas

Il n'est donc plus, il n'existe pas

Il ne faut plus remplacer une crapule

Par une autre crapule

Face à cela, une haine sans le scrupule

Capables, même, de fausse bonté, en simule

Les diverses mafias en sont les fondations

Même au Mexique, parfois, souvent, en confrontation

C'est chaud, c'est de la canicule

Déjà, au quinzième et seizième siècle

Mais, là, parfois attendues, selon les raisons

Aussi

Au onzième siècle

Versailles, 1480, et 1707 et 1718 à Lyon

En France

De la mortalité et populations impactées

Ou très froid en hiver

1700 à 1720, et très chaud l'été

Avec 200.000 décès

Et sauterelles envahissantes en été

Mais des épisodes encore de rareté

De nos jours, le réchauffé, c'est devenu la normalité

Comme tout notre système alimentaire

Si violent, que cela devient de l'élémentaire

Chaînes inégalitaires et bouffe industrielle

Tous les dessous pas coquins, du bénévolat, comme une guerre

Mauvaise bouffe et maladies induites

De toute une fausse solidarité, sincère et inédite

Invendus ou invendables

Mais tout devant être très calibré pour le vendable

Ainsi, tout un horrible gaspillage dans l'effroyable

Et même de bons produits tout-à-fait mangeables

Et des produits plus coûteux ou périmés

Malbouffe, ventres vides, ou tout broyé !

Et avec l'inflation

De nouvelles étatisations en injonction

Tout ce que l'on a pas voulu

Et pour telle ou telle raison

Toute pauvreté en fera raison

La paix sociale du bénévolat

N'étant plus suffisante, alors, holà

Rien ne pouvant être vertueux sous le capital

L'on ne choisit rien, ni sa bouffe, fatal

Avec ou sans papiers

C'est sa bourse qui va décider

De presque tout, propriété privée

Cependant, avec tout ce qui est gaspillé

L'on pourrait largement nourrir le monde entier

Toute les pauvretés s'y régalant

Toutes les pauvretés, s'y rassasiant

Mais, tout est si scandaleux

Que même le pire en devient l'envieux

Finalement

Tout y crève, tout y fait feu

Alors que rien ne date d'hier

Pas de quoi en faire une affaire

Athènes, 300 ans avant notre ère

Déjà, un automate, servant, vin ou eau

Déjà, 1890, la chaise électrique

Pour remplacer la pendaison moins chic

Aux USA, forcément, et sur les animaux de cirque

D'abord expérimentation, Barnum et Bailey

De la cruauté sur les animaux en effet

Surtout les éléphants, le cartésianisme débile s'imposait !

De l'animal prétendu insensible, soumis ou exécuté

Comme pour l'être humain, en aparté

Quand l'on normalise la cruauté

Et qu'elle devient la principale normalité

Forcément, dans un assentiment presque d'unanimité

Et il n'y a plus que directe ou indirecte, de la complicité

D'une reptation à plus ou moins de degrés

Plus personne pour vraiment, TOUT CRACHER

Ou comme feu ( 1884 - 1932 ) Albert Londres

Dans la plaie, la plume, la porter

Nous sommes tous et toutes des minus

Et

Nous avons encore très peu du bonus

Nous n'avons plus même l'arme de la raison

Car c'est la raison du plus fort, toujours, en plus

Depuis feu ( 1785 - 1851 ) Jean - Jacques Audubon

Qui des oiseaux américains fut le bon

Aussi peintre, naturaliste, ornithologue

Déjà lanceur d'alerte et écologue

Tout annonçant déjà le carnage

Des disparitions d'espèces et d'indiens en ravage

Tout, déjà, de l'exterminé, réserve ou en cage

Avec l'industrialisation apparut une nouvelle rage

Où tout épanouissement prenait, et pour toujours, le large

Notre présent n'est que notre passé

Notre passé n'est que notre présent

Notre futur copulant le passé et le présent

Trois en un, et dans tout instant !



Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )

The subtle or manifest dictatorship

Spreads throughout the world

Every government is infested with it

Even its repugnance is of little skill

And we gargle with the word democracy

While it rhymes with smoke and mirrors

And even

No real election result

Is no longer respected, pure illusion

And any new power

Pursuing only the old power

It is always the same thing

People, finally, are beginning to believe it

But

For the various dictatorships

The state of grace, and always

For all the filth

Old new faces, and it continues

Bastards and bastards, at the stake

Twelve bullets in the skin

But the dictatorships have weapons

And the poor have only their tears

With

The me, I will tell you what to do

But, often, and especially to do nothing

Because

We should throw everything on the ground

Hunt and eliminate the political world

At least a good stone throw

Political world, crooks, thieves, liars

Genocide and mafia, gangsters

And since there are no more people

Anything can be done, on its depopulation!

The people are revolutionary or they are not

So they are no more, they do not exist

We must no longer replace a scoundrel

With another scoundrel

Faced with this, a hatred without scruples

Capable, even, of false kindness, in simulation

The various mafias are the foundations

Even in Mexico, sometimes, often, in confrontation

It's hot, it's a heatwave

Already, in the fifteenth and sixteenth centuries

But, there, sometimes expected, depending on the reasons

Also

In the eleventh century

Versailles, 1480, and 1707 and 1718 in Lyon

In France

Mortality and impacted populations

Or very cold in winter

1700 to 1720, and very hot in summer

With 200,000 deaths

And invasive locusts in summer

But episodes still rare

Nowadays, the reheated, it has become the normality

Like our entire food system

So violent, that it becomes elementary

Unequal chains and industrial food

All the not naughty undersides, volunteering, like a war

Bad food and induced diseases

A whole false solidarity, sincere and unprecedented

Unsold or unsaleable

But everything must be very calibrated for sale

Thus, a whole horrible waste in the dreadful

And even good products that are completely edible

And more expensive or expired products

Junk food, empty stomachs, or everything crushed!

And with inflation

New nationalizations in order

Everything that we did not want

And for such and such a reason

All poverty will be the reason

The social peace of volunteering

No longer being sufficient, then, holà

Nothing can be virtuous under capital

We do not choose anything, not even our food, fatal

With or without papers

It is our purse that will decide

Of almost everything, private property

However, with all that is wasted

We could easily feed the whole world

All poverty feasting there

All poverty, satiating there

But, everything is so scandalous

That even the worst becomes envious of it

Finally

Everything dies there, everything catches fire there

While nothing dates from yesterday

No reason to make a business of it

Athens, 300 years before our era

Already, an automaton, serving, wine or water

Already, 1890, the electric chair

To replace the less chic hanging

In the USA, of course, and on circus animals

First experimentation, Barnum and Bailey

Cruelty on animals indeed

Especially elephants, stupid Cartesianism was imposed!

Of the supposedly insensitive, submissive or executed animal

As for the human being, aside

When we normalize cruelty

And it becomes the main normality

Inevitably, in an almost unanimous assent

And there is only direct or indirect, complicity

Of a crawling to more or less degrees

No one left to really, SPIT IT ALL OUT

Or like fire (1884 - 1932) Albert Londres

In the wound, the pen, to carry it

We are all tiny

And

We still have very little of the bonus

We no longer even have the weapon of reason

Because it is the reason of the strongest, always, in addition

Since fire (1785 - 1851) Jean - Jacques Audubon

Who of the American birds was the good one

Also painter, naturalist, ornithologist

Already whistleblower and ecologist

Everything already announcing the carnage

Disappearances of species and Indians in ravage

Everything, already, of the exterminated, reserve or in cage

With industrialization appeared a new rage

Where all blossoming took, and forever, the open sea

Our present is only our past

Our past is only our present

Our future copulating the past and the present

Three in one, and in every moment!

Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )

Original: Paraphysique, porte-jarretelles des dessous alimentaires