J'écris en différé pour vous
Je n'écris donc en direct que pour mon moi tout
Rares lecteurs et rares lectrices, du entre nous
Qui lisent ou vont lire
En direct pour ceux et celles
Qui écrivent ou vont écrire
Comme je l'avais évoqué
Sur le site pas si éloigné
Où l'on pouvait m'entendre et me voir
De mon cousin, j'y étais " Pat dit l'invité "
( http://www.hiway-glk.fr/ )
Mais il fut supprimé
Bref, c'est déjà du passé
Cela ne fut pas de l'oukase
De la vie, cela ne fut qu'une phase
Et puis, dans ce monde où tout panique
Tout est du naufrage, et surtout le luxe chic
Je suis le contraire de John Galliano
Ou du pendu Alexandre McQueen
Car toute mode est un faux cadeau
Tout en mine y est du faux
Et comme le chantait en 1977, " Métal Urbain "
PANIK, ce groupe punk que j'aimais bien
Période de ma vie du sans le sou
Quand le sexe de la femme me rendait fou
Et si il n'y avait plus rien à dire ?
Et si il n'y avait plus rien à faire ?
Ne plus rien dire, écrire, faire, se taire !
Les plus grands acteurs sont du passé
Et dans l'ordre du bon tiercé
Jules Auguste Raimu, Michel Simon, Louis Jouvet
Et Gérard Depardieu, Vincent Lindon, aussi, ça le fait
Ou aussi dans le désordre d'un quarté
Et d'autres aussi, de l'étranger
Et que l'on ne peut qu'oublier
Du présent ou du passé
Les bourgeoisies victorieuses
Ont fait le monde à leurs images
Et comme seule évidence, codification de tout plumage
Elles ont les moyens de tout adage
Tout y devenant mythologie glorieuse
Il peut y avoir des courants différents
Ou alors, des rivalités et conflits, de l'intérêt, lieux, temps
Ainsi de Régis Debray ( né en 1940 ) s'avouant
Gaulliste de gauche
Voire même gaulliste d'extrême gauche
Ce qui confirme ma thèse
Quand personne n'y était à l'aise
Que dans tout mouvement
De façon générale, et finalement
Il y a une gauche
Il y a une extrême gauche
Il y a une droite
Il y a une extrême droite
L'organisation de toute organisation
Qui fait la vie de toute nation
Mais du vivre autrement, seulement, en imagination
Ainsi des handicaps
L'on aurait pu en faire des plaisirs
L'on peut, l'on pourrait, de suite, y agir
Un dentier, par exemple, pouvant s'enlever
Et pour la vulve de la femme, l'acclamer
Sans dents, sucer un clitoris, bien plus jouissif
Et tout handicap au-delà du kif-kif
Ou une femme suçant un pénis
Pour une même situation du bis !
Sujet tabou
Dont l'on parle peu, voilà tout
Surtout pour les personnes âgées
Au coin, elles sont reléguées
Pas glamour, mon cher
Nonobstant, sensualité décuplée, pour pas cher
Il y aurait, là, de quoi imaginer
Mais tous nos préjugés nous font tout rater
Cela pourrait être pareil
Pour des énergies nouvelles, du sans pareil
Oui, il n'y eut qu'un seul tireur
Même si de beaucoup, cela fit le bonheur
Diverses industries toutes en choeur
Mais dans notre société de chaos organisé
Et à l'échec final, tout est voué
Tout le monde pourrait s'exclamer
Mersonne ne m'aime
Personne ne m'aime
Ainsi du grand feu ( 1913 - 1960 ) Albert Camus
Qui parfois, en fut atteint, dépression suicidaire en mue
Et l'on ne se comprend qu'avec des gens
Qui, de nous, même codage social/nerveux que nous
Ne pouvant convaincre que des personnes déjà convaincues
Et surtout qui sont convaincues
De l'être
Car si elles étaient convaincues
De ne pas l'être
Convaincues, un doute permanent, du naître
Ainsi, plus rien ne pourrait les convaincre
Et de toute conscience la vaincre
Il n'y aurait plus aucune guerre
Il n'y aurait plus aucune frontière
Il n'y aurait plus aucune police ou armée
De tout pouvoir qui y serait désarmé
Il n'y en aurait plus l'utilité
Et cela sera cela ou bientôt la fin de l'humanité
Quand tout sécrète de l'horreur et de la terreur
Inégalités, travail forcément forcé, et toutes les peurs
Sous nos yeux, nous les voyons
De tout gouvernement en érection
Nous sommes toutes et tous dans une auto-prophétisation
Impitoyable, car telle est la loi de la marchandisation !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )
I write offline for you
So I only write live for my whole self
Rare readers, male and female, between us
Who read or will read
Live for those
Who write or will write
As I mentioned
On the site not so far away
Where you could hear me and see me
From my cousin, I was there "Pat says the guest"
( http://www.hiway-glk.fr/ )
But it was deleted
In short, it's already in the past
It was not an ukase
Of life, it was only a phase
And then, in this world where everything panics
Everything is a shipwreck, and especially chic luxury
I am the opposite of John Galliano
Or the hanged man Alexander McQueen
Because all fashion is a false gift
Everything in mine is false
And as "Métal Urbain" sang in 1977
PANIK, this punk band that I liked
Penniless period of my life
When women's sex drove me crazy
What if there was nothing left to say?
What if there was nothing left to do?
No more saying, writing, doing, keeping quiet!
The greatest actors are from the past
And in the order of the good tiercé
Jules Auguste Raimu, Michel Simon, Louis Jouvet
And Gérard Depardieu, Vincent Lindon, too, that works
Or also in the disorder of a quartet
And others too, from abroad
And that we can only forget
From the present or the past
The victorious bourgeoisies
Have made the world in their image
And as the only evidence, codification of all plumage
They have the means of any adage
Everything becoming glorious mythology
There can be different currents
Or else, rivalries and conflicts, interest, places, times
Thus of Régis Debray (born in 1940) avowing himself
Left-wing Gaullist
Even far-left Gaullist
Which confirms my thesis
When no one was comfortable there
That in any movement
Generally speaking, and finally
There has a left
There is an extreme left
There is a right
There is an extreme right
The organization of any organization
Which makes the life of any nation
But to live differently, only, in imagination
Thus of handicaps
We could have made pleasures of them
We can, we could, immediately, act on them
A denture, for example, which can be removed
And for the woman's vulva, to cheer it
Without teeth, sucking a clitoris, much more enjoyable
And any handicap beyond the same thing
Or a woman sucking a penis
For the same situation of the encore! Taboo subject
A subject that is rarely talked about, that's all
Especially for the elderly
They are relegated to the corner
Not glamorous, my dear
Nonetheless, increased sensuality, for cheap
There would be, there, something to imagine
But all our prejudices make us miss everything
It could be the same
For new energies, something without equal
Yes, there was only one shooter
Even if by far, it made happiness
Various industries all in chorus
But in our society of organized chaos
And to the final failure, everything is doomed
Everyone could exclaim
Mersonne does not love me
Nobody loves me
Thus of the great fire (1913 - 1960) Albert Camus
Who sometimes, was affected by it, suicidal depression in moulting
And we only understand each other with people
Who, of us, same social/nervous coding as us
Ne that can convince only people who are already convinced
And especially who are convinced
Of being so
Because if they were convinced
Of not being so
Convinced, a permanent doubt, of being born
Thus, nothing could convince them anymore
And of all conscience conquer it
There would be no more wars
There would be no more borders
There would be no more police or army
Of all power that would be disarmed there
There would be no more use for it
And that will be it or soon the end of humanity
When everything secretes horror and terror
Inequalities, necessarily forced labor, and all fears
Before our eyes, we see them
Of all government in erection
We are all in a self-prophecy
Merciless, because such is the law of commodification!
Patrice Faubert (2025) whore, poor thing, poet, paraphysicist ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )