Les médicaments peuvent rendre folles et fous
Hier comme aujourd'hui, le même coût
Comme dans le film avec feu ( 1909-1984 ) James Mason, grand acteur
De la cortisone au REQUIP, même malheur
Et des comportements transformés
Le jeu, le sexe, la mégalomanie
La dopamine qui atomise l'apathie
Le médicament qui peut rendre dément
Dr Jekyll et Mr Hyde, pas marrant !
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est un médicament aux effets indésirables
Car il faut supporter l'intolérable
Et c'est pourtant la même table !
Tout être humain est une usine chimique
Le Ropinirole aux effets psychologiques
Comme le discours logique
Cette drogue de la politique !
Comme le médicament mortifère de feu ( 1915-2006 ) Pinochet
Via les USA pour imposer le fascisme libéral
Exit feu ( 1908-1973 ) Allende, seul le peuple le voulait
Le laboratoire du fascisme libéral commençait
Dans la terreur, puis par conditionnement, au moindre mal
Et les prisons du capital
Qui à tous les humains sont fatales
Sont une horreur, elles sont là pour faire peur
Parmi les pires, c'est la France, pas d'erreur
" 'L'envolée " journal contre toutes les prisons
L'enfer carcéral cela n'est pas rien
Tant de copains à moi ont fait de la prison
Comme par mètre carré dans le sol, 300.000 acariens
Et des peines de prison, en France, du moins
De plus en plus longues, par dizaines d'années
Le prisonnier n'est pas un chêne qui peut vivre 2000 années
Tous les fascismes sont à exterminer !
Il y a les ennemis déclarés
D'une révolution intégrale et globale
Et les pires, les ennemis cachés
Militantisme, gauchisme, l'arme fatale
Comme l'ancien gauchiste, par les militaires, torturé
Et qui une fois au pouvoir, la même politique, va appliquer
Comme au Brésil, et tout peut recommencer !
Les fascistes, l'on sait à qui l'on à affaire
Arrivistes éduqués ou brutes débiles pour frapper
Les gauchistes sont de faux révolutionnaires
Leurs actions sont toujours immobiles
Contester pour faussement contester, c'est futile
Ils sont aussi crétins
Sinon plus, que les staliniens !
Ils veulent militer toujours plus
Pour une révolution dévalorisée, minus
L'ennemi du gauchiste, ami du faux
N'est pas le fasciste, son jumeau
Mais le vrai anarchiste, qui crache toutes les autorités !
Gauchistes, libéraux, staliniens, nazis, fascistes, démocrates
Du capital, de la contre-révolution, toutes les cartes !
Ainsi elle aime les alliances
S'embrasser, se faire des confidences
La révolution globale et intégrale
Et sans hypocrisie, le massacre serait général
Bref, la révolution du mental
N'aime pas le fascisme, le nazisme
N'aime pas le gauchisme, le stalinisme
Le libéralisme, le démocratisme
Toutes les religions qui font les soumissions
Toutes les idéologies qui font les séparations
Tous les visages du capitalisme !
Finalement, l'écriture est plus utile
Qu'agir n'importe comment
Et renforcer le système, seul ou à mille
Et si tout ou presque renforce ce système invalidant
C'est ne plus rien faire du tout
Ou le moins possible et c'est vraiment fou
Qui serait le plus réellement révolutionnaire
Et mieux vaut ne rien faire que brasser de l'air !
Les animaux aussi pâtissent de l'inhumanité
Car il n'y a que de l'inhumanité et pas d'humanité
Comme en 1914/1918, et 11 millions de chevaux
Qui furent tués, dont 1,800 million en France
Pourtant, 450 grammes de viande pour chaque soldat
Paradoxe de la pitance
Et ce tous les jours, pas du rat
Les guerres n'aiment pas les animaux
Pigeons, et autres chiens du sanitaire, du réconfort
Chiens sentinelles et chiens messagers
Dont certains furent décorés
Pour tout ce qui vit, les guerres sont des charniers !
Certes, je ne suis pas cornucopien
Moi, si proche du rien
Et déplaisant à tout un chacun
Sachant, par exemple, que 75 pour cent
Des molécules de l'industrie pharmaceutique
Sont mangés par ce que nous mangeons
Les vaches, poulets, veaux, cochons
Le capital est un antibiotique !
Tout est dans le vertical
Comme dans les mégapoles
Comme au Brésil ou ailleurs, la hiérarchie n'est pas horizontale
Et de nombreux buildings à Sào Paulo, piscines, jardins
Hélicoptères et tout ce qui fait bien
12 millions de gens, riches en hauteur
Pauvres en favelas et tous leurs pleurs
Le tout vertical comme dans le social
Et la surpopulation qui fait mal !
Et avec la distance de non-agression
Un ou deux bras tendus, chez les humains
Dans quelques cultures, un peu moins
Cela se constate dans les métros des villes
Grattage de nez, détournement des regards, chaussures fixées
Comme chez les mammifères et oiseaux
Tous les gestes de dérivation
Par l'agression de la surpopulation
Il faut une aile chez les hirondelles
Il y a toujours une distance de non-agression
Sinon, c'est le conflit, la guerre, c'est la surpopulation
Vive l'avortement, la stérilisation, la contraception
Et tout ce que nous reprochons aux autres
Tout ce que les autres nous reprochent
Nous pourrions nous le reprocher
Car je c'est nous, ce sont les autres
Tout est étroitement imbriqué et c'est la mêlée
Nous ne sommes un peu différents
Que par nos divers conditionnements !
Nous sommes à la fois, idiots et géniaux
Peureux et courageux, en réalité, le même sang, la même peau
La libellule fait son exuvie physique
L'espèce humaine doit faire son exuvie psychologique
Et même si sous notre Terre, de l'eau en grande quantité
Peut-être comme nos mers et océans, en quantité
La roche et son prisonnier, le rapport humain, lui, reste à élaborer !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur ( http://www.hiway-glk.fr/ )
Medications can make you crazy
Yesterday as today, the same cost
As in the film with the late (1909-1984) James Mason, great actor
From cortisone to REQUIP, same misfortune
And transformed behaviors
Gambling, sex, megalomania
The dopamine that atomizes apathy
The drug that can make you insane
Dr Jekyll and Mr Hyde, not funny!
The spectacular techno-industrial commercial society
Is a medicine with side effects
Because we have to bear the intolerable
And yet it’s the same table!
Every human being is a chemical factory
Ropinirole with psychological effects
Like logical discourse
This political drug!
Like the deadly medicine of fire (1915-2006) Pinochet
Via the USA to impose liberal fascism
Exit feu (1908-1973) Allende, only the people wanted it
The laboratory of liberal fascism began
In terror, then by conditioning, at the least evil
And the prisons of capital
Which is fatal to all humans
Are a horror, they are there to scare
Among the worst, it's France, no mistake
"'L'envolée" newspaper against all prisons
Prison hell is not nothing
So many friends of mine have been in prison
As per square meter in the soil, 300,000 moths
And prison sentences, in France, at least
Longer and longer, by decades
The prisoner is not an oak tree that can live 2000 years
All fascisms must be exterminated!
There are declared enemies
Of an integral and global revolution
And the worst, the hidden enemies
Activism, leftism, the lethal weapon
Like the former leftist, tortured by the military
And who once in power, the same policy, will apply
Like in Brazil, and everything can start again!
Fascists, we know who we are dealing with
Educated careerists or stupid brutes to strike
Leftists are fake revolutionaries
Their actions are still still
Contesting for the sake of falsely contesting is futile
They are also morons
If not more, than the Stalinists!
They want to campaign more and more
For a devalued revolution, minus
The enemy of the leftist, friend of the false
Is not the fascist, his twin
But the real anarchist, who spits out all the authorities!
Leftists, liberals, Stalinists, Nazis, fascists, democrats
Capital, counter-revolution, all the cards!
So she likes wedding rings
Kiss each other, confide in each other
The global and integral revolution
And without hypocrisy, the massacre would be general
In short, the mental revolution
Don't like fascism, Nazism
Don't like leftism, Stalinism
Liberalism, democratism
All religions that make submissions
All the ideologies that create separations
All the faces of capitalism!
Ultimately, writing is more useful
To act no matter how
And strengthen the system, alone or with a thousand
And if everything or almost everything reinforces this disabling system
It's no longer doing anything at all
Or as little as possible and it's really crazy
Who would be the most truly revolutionary?
And it's better to do nothing than stir the air!
Animals also suffer from inhumanity
Because there is only inhumanity and no humanity
Ace in 1914/1918, and 11 million horses
Who were killed, including 1,800 million in France
Yet, 450 grams of meat for each soldier
Paradox of pittance
And this every day, not a rat
Wars don't like animals
Pigeons, and other sanitary and comfort dogs
Sentinel dogs and messenger dogs
Some of which were decorated
For everything that lives, wars are mass serious!
Of course, I am not a cornucopian
Me, so close to nothing
And unpleasant to everyone
Knowing, for example, that 75 percent
Molecules from the pharmaceutical industry
Are eaten by what we eat
Cows, chickens, calves, pigs
Capital is an antibiotic!
It's all vertical
Like in megacities
As in Brazil or elsewhere, the hierarchy is not horizontal
And many buildings in Sào Paulo, swimming pools, gardens
Helicopters and everything good
12 million people, rich in height
Poor people in favelas and all their cries
All vertical as in the social
And overpopulation hurts!
And with the distance of non-aggression
One or two arms outstretched, in humans
In some cultures, a little less
This can be seen in city metros
Nose scratching, looking away, shoes fixed
As in mammals and birds
All diversion gestures
By the aggression of overpopulation
Swallows need a wing
There is always a distance of non-aggression
Otherwise, it's conflict, war, it's overpopulation
Long live abortion, sterilization, contraception
And everything we blame others for
Everything others blame us for
We could blame ourselves
Because I'm us, it's the others
Everything is closely intertwined and it's a scrum
We're just a little different
Only through our various packaging!
We are both stupid and brilliant
Fearful and courageous, in reality, the same blood, the same skin
The dragonfly makes its physical exuvia
The human species must make its psychological exuvia
And even if under our Earth, water in large quantities
Perhaps like our seas and oceans, in quantity
The rock and its prisoner, the human relationship, remains to be developed!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on (http://www.hiway-glk.fr/)