" Nous ne pardonnons qu'aux enfants et aux fous d'être francs avec nous : les autres, s'ils ont l'audace de les imiter, s'en repentiront tôt ou tard. "
E.M. Cioran ( 1911-1995 )
Comme le million de communistes exterminés
Par feu ( 1921-2008 ) Soeharto, dictateur indonésien
Et d'anciens tortionnaires de ce régime
Continuent à la télévision, la frime
Et au cinéma, les anciens bourreaux
Deviennent victimes, font les beaux !
De 1965 à 2014, toujours la parade
Pour ce qui est devenu une charade
Comme le plus beau métro du monde
Moscou, le risque que cela inonde
Un jour, tu creuses, trois jours, tu pompes
Début 1932, première ligne en 1935
C'est le grand édifice stalinien
Et aussi la dénonciation, déportation, élimination, en plein
Ce fut le vrai début de cette partie
Puis sans aucun frein avec la mort de feu ( 1868-1936 ) Maxime Gorki
TOUT a une histoire
L'invisible et ce que l'on peut voir
Comme les 70.000 personnes hospitalisées
En France, et ce chaque année
A la demande d'un tiers
Pour bouffées délirantes sévères
La santé mentale, quelle misère !
Et aussi 600.000 schizophrènes, qui errent
Avec des médicaments, c'est leur seul repère
Toutes les maladies de la société
La société de toutes les maladies
Cela donne le vertige
Il faut le maîtriser pour ne pas chuter
Comme le grimpeur ( né en 1962 ) Alain Robert
Qui escalade les tours de nos cités, comme à Dubaï, 828 m, record
Avec son acrophobie, il est de fer, ce trompe-la-mort
Oreille interne, vertige vestibulaire
Et c'est encore très culturel, ouvriers manuels
Comme les amérindiens sur les gratte-ciels
L'équilibre de sa tribu, mépris du vertige
Tribu de l'équilibre, vertige du mépris
Et ne pas passer pour un poltron
Quitte à faire dans son pantalon !
Et toutes les blessures que nous subissons
Font que petit à petit, nous nous isolons
Des autres, ainsi, nous nous protégeons
De tout, de rien, nous nous vexons
Toutes nos valeurs sont nos prisons
Nous sommes des lames de rasoir
Ce sont nos relations, sur nos visages, on peut les apercevoir !
Tu aurais dû écrire ceci, pas cela
Cela ne regardait personne, c'est pas sympa
Pourquoi en faire tant de brouhaha
Puisque tout le monde s'en fiche, voilà !
Quoi que l'on fasse, dans le règne du séparé
De toutes façons, un être humain sera blessé
Cela n'est pas là mon intention, sans vouloir que vous m'en excusiez
C'est simplement le souci de véracité !
Toutes les activités humaines ont des coulisses
Cela est bien caché pour ne pas révéler nos vices
Les pensées sont garrottées par nos paroles
Secrètement tout le monde en rigole !
En France, la ligne de démarcation
De 1940 à mars 1943, 1200 km de long
Est toujours là, pas seulement en guerre
Et c'est toujours partout la guerre
Mais dans le monde des affaires
L'armée allemande c'est le fini
L'armée marchande c'est l'infini
Bien plus subtile que la botte nazie
La zone occupée
Les pauvres d'un côté
La zone non occupée
Les riches d'un côté
Rien n'est jamais changé
Tout est simplement camouflé
Comme pour les hypermarchés
Avec les centrales pour l'achat
Sur la qualité un véritable crachat
Remballe, délotage, et les marges
Déréférencement, des contrats à la mafia
Beaucoup de volume
Ainsi les bénéfices se hument
Et les fournisseurs qui perdent des thunes
Marché parallèle, occulte
Espagne, Pologne, et les prix qui mutent
C'est la guerre des prix
Le prix de la guerre, voici l'économie
Je n'écris que des idées
Donc, inutile de me juger
L'autocritique ? il suffit de me lire
Et toi-même ? et vous-même ? avant de me maudire !
De tous ces procès
Que l'on me fait
Pour moi, tout peut se dire
Ce que j'écris, tout le monde s'en fiche
Justement, que rien d'important ne reste à la niche !
La vérité n'est d'aucun port
Tout le monde veut sa mort
Personne, indemne n'en sort
Moi, toi, lui, elles, eux
A TOUT elle met le feu !
Tous et toutes nous l'allumons
Tous et toutes nous l'éteignons
Tous et toutes nous la nourrissons
Tous et toutes nous la falsifions
Moi, un dominé que personne n'apprécie
Et c'est très bien ainsi !
Un nez humain
Peut percevoir mille milliards d'odeurs
Aux nuances différentes, le nez est malin
Pas les nanoparticules, pour notre malheur !
Les yeux humains
Peuvent différencier 2000 à 3000 visages
L'exposition du photographe François Brunelle
" Je ne suis pas un sosie "
Dans ce monde subtilement nazi
Où toutes les idées se ressemblent
Bien plus que les physiques qui en pêle-mêle s'assemblent
En France, les idées du " Front national "
Sont dans tous les partis, c'est le capital
Mais des urnes, c'est la désertion
L'abstention, de la politique, veut la démission !
Et toute la racaille qui passe à la télévision
Toujours avec la même satisfaction !
Et pourtant, n'importe quel journal l'écrit
12 millions de morts et mortes, ô folie
Par la mauvaise qualité de l'air, cette lie
C'est dans le monde, chaque année
Cela devient une normalité !
La planète Terre est une chambre à gaz
Un gigantesque camp de concentration
Un gigantesque camp d'extermination
Néoparticules, pesticides, et autres poisons
Idéologies, croyances, travail, religions
Toutes les sortes de diverses pollutions
Le monde est devenu une poubelle
Nous y apportons notre petite corbeille
Il y eut des sociétés matrilinéaires
Femmes grandes comme les hommes, sociétés égalitaires
Puis vint l'horrible patriarcat
Qui à la femme, la nourriture confisqua
Ainsi, petit à petit, la femme rapetissa
Puis ce furent les Amazones, pas un mythe
Femmes guerrières des Scythes
La femme aussi peut le faire
L'archéologie doit réviser ses inventaires !
La vérité n'a pas le moindre ami
La vérité n'a pas le moindre amour
Car nous n'aimons pas la vérité
Nous ne pouvons pas la supporter !
Comme la pulpeuse actrice ( née en 1949 ) Fanny Ardant
A su le deviner, d'un air nonchalant
Toutes les activités humaines
Sont organisées dans et sur le mensonge
A cela, nos pensées sont naines
Aussi, la frustration, le ressentiment, nous rongent !
Je mens, tu mens, il ment, sans le savoir
Sinon, il n'y aurait aucun pouvoir
La vérité est sans cesse scotomisée
Car comme le soleil, elle peut nous aveugler
Aussi, le mensonge s'impose dans TOUT ce qui est manifesté !
Il faut ridiculiser tous les hommes politiques
Se gausser de toutes les femmes politiques
De ceux et celles qui votent pour cette répugnante colique
C'est cela qui fait le fascisme
C'est cela qui fait le nationalisme
C'est cela qui fait le stalinisme
C'est-à-dire le capitalisme
Partout le KGB, la Gestapo
Partout les kapos !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur ( http://www.hiway-glk.fr/ )
“We only forgive children and fools for being frank with us: others, if they have the audacity to imitate them, will repent sooner or later.”
E.M. Cioran (1911-1995)
Like the million exterminated communists
By the late (1921-2008) Soeharto, Indonesian dictator
And former torturers of this regime
Continue on television, the show off
And in the cinema, the former executioners
Become victims, act beautiful!
From 1965 to 2014, always the parade
For what became a charade
Like the most beautiful subway in the world
Moscow, the risk of it flooding
One day you dig, three days you pump
Early 1932, first line in 1935
This is the great Stalinist building
And also the denunciation, deportation, elimination, in full
This was the real start of this part
Then without any brake with the death of the late (1868-1936) Maxim Gorky
EVERYTHING has a story
The invisible and what can be seen
Like the 70,000 people hospitalized
In France, every year
At the request of a third party
For severe delirious flashes
Mental health, what misery!
And also 600,000 schizophrenics, who wander
With drugs, it's their only reference
All the diseases of society
The society of all diseases
It makes you dizzy
You have to master it so as not to fall
Like the climber (born in 1962) Alain Robert
Who climbs the towers of our cities, like in Dubai, 828 m, record
With his acrophobia, he is iron, this deceiver
Inner ear, vestibular vertigo
And it's still very cultural, manual workers
Like Native Americans on skyscrapers
The balance of his tribe, contempt for vertigo
Tribe of balance, vertigo of contempt
And don't look like a coward
Even if it means getting in your pants!
And all the hurts we suffer
Little by little, we isolate ourselves
From others, in this way, we protect ourselves
We get offended by everything and nothing
All our values are our prisons
We are razor blades
These are our relationships, on our faces, we can see them!
You should have written this, not that
It was no one's business, it's not nice
Why make so much fuss about it?
Since no one cares, there you go!
Whatever we do, in the reign of the separate
Either way, a human being will be hurt
That is not my intention, without apologizing.
It’s simply the concern for veracity!
All human activities have backstage
This is well hidden so as not to reveal our vices
Thoughts are restrained by our words
Secretly everyone is laughing about it!
In France, the dividing line
From 1940 to March 1943, 1200 km long
Is still here, not just at war
And there is still war everywhere
But in the business world
The German army is finished
The merchant army is infinity
Much more subtle than the Nazi boot
The occupied zone
The poor on one side
The unoccupied zone
The rich on one side
Nothing is ever changed
Everything is simply camouflaged
As for hypermarkets
With purchasing centers
On quality a real spit
Repacks, unravels, and margins
Dereferencing, from contracts to the mafia
Lots of volume
So the benefits are felt
And the suppliers who lose money
Parallel, occult market
Spain, Poland, and changing prices
It's a price war
The price of war, here is the economy l'invité sur ( http://hiway-glk.fr/ )
I only write ideas
So no need to judge me
Self-criticism? just read me
You too ? and yourself ? before you curse me!
Of all these trials
What is being done to me
For me, everything can be said
What I write, no one cares
Precisely, nothing important stays in the doghouse!
The truth is of no port
Everyone wants him dead
No one comes out unscathed
Me, you, him, them, them
She sets EVERYTHING on fire!
We all light it up
We all turn it off
We all feed it
We all falsify it
Me, a dominated person that no one appreciates
And this is very well so !
A human nose
Can perceive a thousand billion smells
With different shades, the nose is clever
Not nanoparticles, to our misfortune!
human eyes
Can differentiate 2000 to 3000 faces
The exhibition of photographer François Brunelle
“I’m not a lookalike.”
In this subtly Nazi world
Where all ideas are alike
Much more than the physics which come together jumbled together
In France, the ideas of the “National Front”
Are in all parties, it's capital
But the ballot boxes are desertion
Abstention from politics requires resignation!
And all the scum that's on TV
Always with the same satisfaction!
And yet, any newspaper writes it
12 million dead and dead, oh madness
Due to poor air quality, this dregs
It's in the world, every year
This is becoming normal!
Planet Earth is a gas chamber
A gigantic concentration camp
A gigantic extermination camp
Neoparticles, pesticides, and other poisons
Ideologies, beliefs, work, religions
All kinds of various pollution
The world has become a trash can
We bring our little basket there
There were matrilineal societies
Women as big as men, egalitarian societies
Then came the horrible patriarchy
Who from the woman, the food confiscated
So, little by little, the woman grew smaller
Then it was the Amazons, not a myth
Scythian warrior women
Women can do it too
Archeology must revise its inventories!
The truth has no friend
The truth has no love
Because we don't like the truth
We can't stand it!
Like the luscious actress (born in 1949) Fanny Ardant
Was able to guess it, with a nonchalant air
All human activities
Are organized in and on the lie
To this our thoughts are dwarfed
Also, frustration, resentment, eat away at us!
I lie, you lie, he lies, without knowing it
Otherwise there would be no power
The truth is constantly scottomized
Because like the sun, it can blind us
Also, lies are essential in EVERYTHING that is manifested!
We must ridicule all politicians
Making fun of all female politicians
Of those who vote for this disgusting colic
This is what makes fascism
This is what makes nationalism
This is what makes Stalinism
That is to say capitalism
Everywhere the KGB, the Gestapo
Kapos everywhere!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on (http://www.hiway-glk.fr/ )