" Pendant les années 1920, quelques vingt-cinq mille travailleurs trouvaient chaque année la mort sur leurs lieux de travail et cent mille autres restaient handicapés à vie. Et à New York deux millions de personnes vivaient dans des logements considérés comme de véritables pièges en cas d'incendie. "



Une histoire populaire des Etats-Unis. Howard Zinn, historien ( 1922 - 2010 )



Le monde est PN

Tout ou presque y est perversion narcissique

Le monde est ( E 951 ) aspartame

Du cancer qui y fait son tam-tam

Présent dans six-mille produits

Précellence qui jamais ne se dédie

De l'édulcorant de nos bons appétits

Le capital nous montre son cul

Et tout, est, pour lui

Bélîtres, marauds, malotrus

Galvaudeux, elles, lui, eux

Tout y est de la morveuse, du morveux

Et dans ce merdier tout fric

Et dans ce fumier tout fric

Le fric est le premier flic

Ce sont les riches qui s'en sortent le mieux

Détenant tous les pouvoirs

Détenant tous les savoirs

Toute une morbide perversion narcissique

Manipulant, débauchant, toute sincérité ludique

Et de constater la disparition

De gens simplement sympathiques

Dans l'organisant pervers narcissique

Et tout ou presque y est devenu antipathique

Aussi, le fascisme y a le vent en poupe

L'on s'y précipite pour prendre place en chaloupe

Beaucoup voulant en brandir la coupe

Refusant son terme, néanmoins, l'on s'y dispute une place

Du faux nouveau look, pour ce très ancien faux palace !

Et si le capital est un mal incurable

Tout y est toujours ou souvent minable

De toutes les poubelles et du tout jetable

Mais l'espèce humaine s'y drogue

Peut-être, justement, pour nier toute cette morgue

France

Consommation d'alcool, par an

48000 décès, tout un répercutant

118 milliards d'euros et le tout à l'avenant

Avec aussi tout son débordant, tout son criant

Mais là, la misère du choix

N'est pas le choix de la misère

Et puis, et puis

Qualité pour la richesse

Merde pour la pauvreté

Et comme pour tout le reste

L'on ne peut y faire la sieste

L'on en prend plein la gueule

Mais plus férocement pour les pauvres

Mais plus rapidement pour les pauvres

Et la pauvreté, en spectatrice

Regarde la richesse, en actrice

Dans les films, à la télévision

Dans les magazines, et après, à la niche

Les belles voitures, les belles femmes

La richesse y étalant toute sa came

Tout y étant déjà placardé

De tout un élevage, pour la domination, réservé

Dès la naissance, le chemin est tout tracé

Tout s'y cooptant, richesse ou pauvreté !

Mais, l'on ne peut échapper à tout

De ce monde de folles et de fous

La folie de la domination

La folie de la soumission

La folie de l'acceptation

Surtout, la folie de la résignation



" En juillet 1916, le général anglais Douglas Haig ordonna que onze divisions de soldats britanniques sortent de leurs tranchées pour monter à l'assaut des lignes allemandes. Les six divisions allemandes ouvrirent immédiatement le feu. Sur les cent dix mille hommes qui attaquèrent ce jour-là, vingt mille furent tués et quarante mille autres blessés. Tous les corps jonchaient le no man's land, ce territoire fantomatique qui s'étendait entre deux tranchées. Le premier janvier 1917, Haig fut promu maréchal. "



Une histoire populaire des Etats-Unis. Howard Zinn, historien ( 1922 -2010 )



Ainsi, des sols, et à l'hectare

Une tonne et demie d'animaux, c'est pas avare

Et sont connus, des microbes, un pour cent

C'est comme si c'était plus que notre sang

Et les plantes sont les mères des sols

Mais soixante pour cent sont pollués, pas de bol

Les pesticides au tout du carambole

Quand sous un mètre carré de sol

Dizaines, centaines, de milliers de vers de terre

Dizaines de milliers de collemboles

Centaines de millions de bactéries, tout y raffole

Pour y réseauter, pain bénit, roboratif

Mais en pollution, tout s'y anéantit, itératif

Comme pour les différentes classes sociales

Du déterminisme social implacable et fatal

Hiver 1860, Lawrence, Massachusetts

L'usine Pemberton s'effondrant

Neuf-cents personnes y travaillant

Surtout des femmes, 88 y perdirent la vie

Et, d'une variante l'autre

Passé de l'aujourd'hui, l'aujourd'hui du passé

Rien n'y étant jamais, hélas, vraiment autre

Donc, il n'y eut aucune poursuite, contre le vrai coupable

Comme donc, aussi, aujourd'hui, hier, demain

Le capital et son irrévocable destin

De tous les esclavages et de tous les profits



" Des mutineries commençaient à éclater dans l'armée française. Comme une traînée de poudre, la révolte toucha soixante-huit des cent douze divisions françaises. Six cent vingt-neuf soldats furent jugés et condamnés et cinquante d'entre eux furent exécutés. On attendait avec impatience les troupes américaines. "



Une histoire populaire des Etats-Unis. Howard Zinn, historien ( 1922 - 2010 )



Ne se souciant d'aucune vie

Le pouvoir de l'argent comme seul défi

Toute une infection émotionnelle, dans tous les pays

Cela se fait, se fera, se fit

Toutes les horreurs, et avec ou sans dorure, tout vilain !



Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur ( http://www.hiway-glk.fr/ )

“During the 1920s, some 25,000 workers died every year on the job and a hundred thousand others were disabled for life. of fire."



A popular history of the United States. Howard Zinn, historian (1922 - 2010)



The world is PN

Almost everything there is narcissistic perversion

The world is ( E 951 ) aspartame

Of the cancer that makes its tom-tom there

Present in six thousand products

Precellence that never dedicates itself

From the sweetener of our good appetites

Capital shows us its ass

And everything is for him

Belitres, marauds, rogues

Galvaudeux, they, him, them

It's all about the brat, the brat

And in this whole money shit

And in this all-money manure

Money is the first cop

The rich are the best

Holding all the powers

Holding all the knowledge

A whole morbid narcissistic perversion

Manipulating, debauching, all playful sincerity

And to see the disappearance

Simply nice people

In the narcissistic perverse organizer

And almost everything there has become unsympathetic

Also, fascism is on the rise there

We rush there to take place in the boat

Many wanting to hold the cup

Refusing its term, nevertheless, one disputes a place there

Fake new look, for this very old fake palace!

And if capital is an incurable evil

Everything there is always or often shabby

Of all trash and all disposable

But the human species gets high on it

Perhaps, precisely, to deny all this arrogance

France

Alcohol consumption, per year

48,000 deaths, quite an impactful

118 billion euros and all to match

With also all its overflowing, all its shouting

But there, the misery of the choice

Is not the choice of misery

And then, and then

Quality for Wealth

Shit for poverty

And like everything else

You can't take a nap there

We take it all in the mouth

But fiercer for the poor

But faster for the poor

And poverty, as a spectator

Look at the wealth, as an actress

In movies, on TV

In the magazines, and after, in the doghouse

Beautiful cars, beautiful women

Wealth flaunting all her shit

Everything is already there

Of a whole breeding, for domination, reserved

From birth, the path is all mapped out

Everything co-opting, wealth or poverty!

But, you can't escape everything

Of this world of madmen and madmen

The madness of domination

The madness of submission

The madness of acceptance

Above all, the madness of resignation



"In July 1916, the English General Douglas Haig ordered eleven divisions of British soldiers to come out of their trenches to attack the German lines. The six German divisions immediately opened fire. Of the one hundred and ten thousand men who attacked that day "There, twenty thousand were killed and forty thousand others wounded. All the bodies littered the no man's land, this ghostly territory which stretched between two trenches. On January 1, 1917, Haig was promoted to field marshal."



A popular history of the United States. Howard Zinn, historian (1922 -2010)



Thus, soils, and per hectare

A ton and a half of animals, it's not stingy

And are known, microbes, one percent

It's like it's more than our blood

And the plants are the mothers of the soil

But sixty percent is polluted, bad luck

Pesticides at all starfruit

When under a square meter of soil

Tens, hundreds, thousands of earthworms

Tens of thousands of springtails

Hundreds of millions of bacteria, everything loves it

To network, blessed bread, invigorating

But in pollution, everything is destroyed, iterative

As for the different social classes

Relentless and fatal social determinism

Winter 1860, Lawrence, Massachusetts

The collapsing Pemberton factory

Nine hundred people working there

Mostly women, 88 lost their lives

And, from one variant to another

Past of today, today of the past

Nothing ever being there, alas, really other

So there was no prosecution, against the real culprit

Like so, too, today, yesterday, tomorrow

Capital and its irrevocable destiny

Of all slavery and all profits



“Mutinies began to break out in the French army. Like wildfire, the revolt affected sixty-eight of the one hundred and twelve French divisions. Six hundred and twenty-nine soldiers were tried and condemned and fifty of them were executed. eagerly awaited American troops.”



A popular history of the United States. Howard Zinn, historian (1922 - 2010)



Not caring about any life

The power of money as the only challenge

A whole emotional infection, in every country

It's done, will be, will be done

All the horrors, and with or without gilding, all ugly!

Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur ( http://www.hiway-glk.fr/ )