Toute souffrance s'exporte...
Quoi de plus arbitraire
Sans en avoir l'air
Comme des baffes
Donc, il faut faire gaffe
C'est entendu, pour lire, cela sert
Mais chaque époque
De l'orthographe d'une autre époque, se moque
Selon les conventions et les usages
Selon les codes sociaux, toutes les cages
Ainsi feu ( 1802 - 1885 ) Victor Hugo
Lui-même, pourtant pas idiot
Pouvait écrire
Et ceci sans aucunement le médire
Prête à défaillir
Au lieu de près à défaillir
Ainsi feu ( 1799 - 1850 ) Honoré de Balzac
Pouvait écrire
Sans contre lui, la moindre attaque
Compatissance au lieu de compassion
Ainsi feu ( 1694 - 1778 ) Voltaire
Pouvait écrire
Comme s'il avait voulu déplaire
" Mon cher philosofe, je n'imagine pas que le termomètre de
votre apartement est comme le mien "
Ainsi feu ( 1828 - 1905 ) Jules Verne
Pouvait écrire
Dans une correspondance à ses parents
Comme quoi l'orthographe cela n'a rien d'évident
C'était en 1851
" des maisons criblées de bal "
Comme aussi
La plupart des médecins d'aujourd'hui
Qui écrivent volontairement si mal
Pour cacher que sur l'orthographe, l'on cale
Mais avec les correctrices et les correcteurs
Du monde de la presse, de l'édition
La bonne orthographe devient un leurre
Car pour l'origine manuscrite, c'est du bidon !
Comme pour tout le monde
Comme une bille toute ronde
Mais finalement peu importe
Surtout si c'est le fond qui l'emporte
Car la forme
Du c'est bien écrit, selon une norme
Souvent
Du grand vide
De la contestation sous vide
De la fabrication du best-seller, si putride !
Nociception du système
Système de nociception
Par la dissonance cognitive
Par la complicité active ou passive
Des millions et milliards d'animaux
Sacrifiés à la recherche, horrible tableau
Et c'est chaque année dans le monde
La souffrance animale nous inonde
Du camp de concentration ou d'extermination
Pour l'animal non humain
Il en a existé, il en existe aussi pour l'animal humain
Encore une fois, tout se tient !
Mais
Le plus souvent, nous fermons les yeux
Nous bouchons nos oreilles, c'est odieux
Le capitalisme
Est expert dans le fatalisme
Comme un masque du nazisme
Travail, famille, patrie
Abattoirs, élevage intensif, poissonneries
Toute vie, finalement, se nourrit
C'est là le véritable drame, d'une autre vie
Il en a toujours été ainsi
Car la plante a une sensibilité aussi
Un problème éthique même en anarchie !
Ou alors
De la nourriture synthétique
De même équivalence protéinique
Ce qui nous renvoie à une source bionique
Avec déjà la main bionique
Et toutes nos prothèses, tous nos robots
De toutes nos vies devenues si mécaniques
Mais une main bionique coûte 40.000 euros
Ou alors c'est en open source
C'est encore une autre course
Certes, c'est la poursuite de l'être humain augmenté
Mais toujours autant de l'injustice et de l'inégalité
Et toute une cacophonie nutritionnelle
Et toute une cacophonie émotionnelle
Cacophonie des données
Cacophonie de tout ce qui est mesuré
En ce qui concerne la bouffe industrielle
De la cacophonie de notre société informationnelle
Pas de dispute
Vendre, vendre, est son seul but
Forcément de la nourriture pas très saine
L'opinion publique même en est certaine !
Malgré sa technique, l'humanité c'est une seule espèce
Alors que, par exemple, les araignées, c'est 42000 espèces
Et l'on découvre encore d'autres espèces
Certaines construisent et détruisent leurs toiles
Une à deux fois par jour, mangeant leurs toiles
L'extraordinaire araignée cracheuse
La surprenante araignée pêcheuse
Sous l'eau, avec sa cloche à oxygène
Avec la baguette, l'évolution nous mène
Les 5000 espèces d'araignées sauteuses
Et huit yeux à la vision fabuleuse
Des femelles aux proportions monstrueuses
Les mâles ont parfois l'humeur malchanceuse
Et qui les dévorent
Comme dans un film gore
400 millions d'insectes à l'hectare
De les manger, chaque année, les araignées n'en ont jamais marre !
Bref
L'être humain ne fait que copier la nature
En étant souvent plus cruel, plus dur
Avec un discours logique derrière
Pour justifier toutes les actions ordurières
Pour ceux et celles qui savent me lire
Je ne fais pas qu'écrire
Même si me voilà addict à internet
Il faut que j'y rote, il faut que j'y pète
Une sorte de repos du guerrier
Car dans ma vie, j'ai beaucoup manifesté
Sur les ponts, écoles, usines, murs, beaucoup bombé
Et tant de tracts distribués
D'affiches anarchistes collées
D'autocollants dans les manifestations, collés
Et autres actions, je me suis bien amusé
Et toujours prêt à recommencer
Sinon
Le militantisme est une aliénation
Un rebond de la société de consommation !
D'une façon l'autre
De la société, l'on est prisonnière, l'on est prisonnier
Comme aussi tous et toutes les autres
Par le déjà-vu, l'être humain est répété
Mai 1940
France, 5 millions d'hommes sous les drapeaux
Soit à l'époque, un français sur huit, sous les drapeaux
Et un mois plus tard
Est vainqueur le nazi salopard
Des centaines de milliers de prisonniers
Comme le fameux, feu ( 1902 - 1943 ) Pierre Delaye, mais évadé
Un as comme résistant opérateur radio
Hélas, dénoncé, puis assassiné par la Gestapo
Mais justement, la nature
Du massacre, fait aussi bonne figure
Ainsi
Le premier novembre 1755 à 9h40 du matin
Un séisme de 9, donc très vilain
Fit 50.000 à 70.000 victimes
Et avec tsunami et incendies, cela rime
Cela se passa à Lisbonne
Dont la réputation conviviale est bonne
La nature est donc dangereuse
L'humanité inhumanité en rajoute, avec son organisation fumeuse !
Tout le mal
Qui est fait contre A
A le refait, l'a refait, le refera à B
B le refait, l'a refait, le refera à C
C le refait, l'a refait, le refera à D
Et ainsi jusqu'à Z, une boucle sans fin
C'est ainsi devenu le lot de tout être humain
Toutes les souffrances s'exportent
Import/export, de la même porte
Cela devient éternelle violence de la sorte
Ou alors, c'est la non-violence de la violence
Comme l'argent, ô suprême violence
Déjà en 1570, la Bourse de Londres
Les plus mauvaises consciences, cela fait fondre
Chaque groupe humain
A sa grille, et veut l'imposer, se croyant plus malin
Aussi, l'esclavage fut général
Pour toutes les populations, c'est fatal
Au XIX siècle, 1 à 3 millions d'esclaves blancs
En Afrique du Nord, Alger, Tunis, pas marrant
Otages ou prisonniers, par les pirates barbaresques
Des marchés aux esclaves, et du pittoresque
Rien de vraiment nouveau sous le soleil
Malgré des mentalités différentes, presque tout est pareil
Ainsi
Dans une société imbécile
L'être humain y est sessile
7 millions d'euros furent proposés
Aux deux personnes les plus recherchées
A deux époques pourtant différenciées
Feu ( 1540 - 1596 ) Francis Drake, corsaire royal
Feu ( 1957 - 2011 ) Oussama ben Laden, c'est peu banal
Traduit de la valeur marchande du temps
Car finalement, tout est d'un même mouvement
Avec ou sans vaseline
La tyrannie toujours mutine
La vaseline de feu ( 1837 - 1933 ) Robert Chesebrough
Aumônes sociales, salaires, retraites, congés payés, pour nous
En sont le pendant économicopolitique, c'est tout !
Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "
What could be arbitrary
Without looking some
Like slaps
Therefore, to should be paid
It is heard, for reading, that is useful
But each time
Orthography of another time, makes fun
According to conventions and the uses
According to the social codes, all the cages
Thus fire (1802 - 1885) Victor Hugo
Itself, however not idiotic
Could write
And this without at all slandering it
Lend to weaken
Instead of close weakening
Thus fire (1799 - 1850) Honoré de Balzac
Could write
Without against him, the least attack
Compatissance instead of compassion
Thus fire (1694 - 1778) Voltaire
Could write
As if he had wanted to displease
“My expensive philosofe, I do not imagine only the termometer of
your apartment is like mine “
Thus fire (1828 - 1905) Jules Verne
Could write
In a correspondence with his/her parents
As what the orthography that does not have anything obvious
It was in 1851
“sifted houses of ball”
As too
Most doctors of today
Who write voluntarily so badly
For hiding that on the orthography, one fixes
But with the correct ones and correctors
World of the press, edition
The good orthography becomes a lure
Because for the handwritten origin, it is can!
As for everyone
As a very round ball
But finally it does not matter
Especially if it is the bottom which carries it
Because the form
The EC is well written, according to a standard
Often
Great vacuum
Vacuum dispute
Manufacturing of the bestseller, if putrid!
Nociception of the system
System of nociception
By the cognitive dissonance
By active or passive complicity
Million and billion animals
Sacrificed to research, horrible table
And it is each year in the world
The animal suffering floods us
Extermination or concentration camp
For the nonhuman animal
There were some, there also exists about it for the human animal
Once again, all is held!
But
Generally, we close the eyes
We stop our ears, they are odious
Capitalism
Is expert in fatalism
Like a mask of the Nazism
Work, family, fatherland
Slaughter-houses, intensive breeding, fish shops
Any life, finally, is nourished
It is the true drama there, of another life
It always was thus
Because the plant has a sensitivity too
An ethical problem even in anarchy!
Or then
Synthetic food
Of the same proteinic equivalence
What returns us to a bionics source
With already the hand bionics
And all our prostheses, all our robots
Of all our lives become so mechanical
But a hand bionics costs 40,000 euros
Or then it is in open source
It is still another race
Admittedly, it is the continuation increased human being
But always as much of the injustice and the inequality
And a whole nutritional cacophony
And a whole emotional cacophony
Cacophony of the data
Cacophony of all that is measured
With regard to puffs out industrial
Cacophony of our informational company
Pas de disputes
To sell, sell, are its only goal
Inevitably of food not very healthy
The public opinion even in is certain!
In spite of its technique, humanity it is only one species
Whereas, for example, the spiders, it is 42000 species
And other species are still discovered
Some build and destroy their fabrics
With twice a day, eating their fabrics
The extraordinary spitting spider
Surprising the fishing spider
Under water, with its bell with oxygen
With the rod, the evolution carries out us
5000 species of jumping spiders
And eight eyes with the fabulous vision
Females with the monstrous proportions
The males have sometimes malchanceuse mood
And which devours them
As in a film gore
400 million insects to the hectare
To eat them, each year, the spiders never have any enjoys!
In short
The human being does nothing but copy nature
While being often crueler, harder
With a logical speech behind
To justify all the foul actions
For those and those which can read me
I do not make only write
Even if here me is addict with Internet
It is necessary that I there rote, it am necessary that I burst there
A kind of rest of the warrior
Because in my life, I expressed much
On the bridges, schools, factories, walls, much curvature
And so much of distributed leaflets
Of stuck anarchistic posters
Stickers in the demonstrations, stuck
And other actions, I had fun
And always ready to start again
If not
The militancy is an alienation
A rebound of the consumer society!
In a way the other
Company, one is captive, one is prisoner
As also all and all others
By already-considering, the human being is repeated
May 1940
France, 5 million men under the flags
Maybe at the time, French on eight, under the flags
And a month later
The Nazi bastard is victorious
Hundreds of thousands of prisoners
Like the famous one, fire (1902 - 1943) Pierre Delaye, but escaped
An ace like resistant radio operator operator
Alas, denounced, then assassinated by Gestapo
But precisely, nature
Massacre, makes also good figure
Thus
The first November 1755 at 9:40 of the morning
An earthquake of 9, therefore very unpleasant
The FIT 50,000 to 70,000 victims
And with tsunami and fires, that versifies
That occurred to Lisbon
Whose convivial reputation is good
Nature is thus dangerous
Humanity inhumanity adds some, with its smoky organization!
All evil
Who is done against A
With remade, remade it, will remake it with B
B remakes it, remade it, will remake it with C
C remakes it, remade it, will remake it with D
And thus to Z, a loop without end
It thus became the batch of any human being
All the sufferings are exported
Import/export, of the same door
That becomes eternal violence of the kind
Or then, it is the non-violence of violence
Like the money, ô supreme violence
Already in 1570, London Stock Exchange
More guilty consciences, that dissolved
Each human group
With its grid, and wants to impose it, believing itself more malignant
Also, slavery was general
For all the populations, it is fatal
At the XIX century, 1 to 3 million white slaves
In North Africa, Algiers, Tunis, not funny
Hostages or prisoners, by the barbaresque pirates
Markets with the slaves, and the picturesque one
Nothing really again under the sun
In spite of different mentalities, almost all is similar
Thus
In an idiotic company
The human being is sessile there
7 million euros was proposed
With the two most required people
At two times however differentiated
Fire (1540 - 1596) Francis Drake, royal corsair
Fire (1957 - 2011) Oussama ben Laden, it is not very banal
Translated commercial value of time
Because finally, all is of the same movement
With or without petroleum jelly
Tyranny always mutinies
The petroleum jelly of fire (1837 - 1933) Robert Chesebrough
Social alms, wages, retirements, paid vacations, for us
In is during economicopolitic, it is all!
Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway index”
Original: Apocalypse capitalisme