L'an 01

by Patrice Faubert Wednesday, May. 18, 2016 at 10:58 PM

La politique c'est toujours le capital...

Peccamineux n'est pas l'acte sexuel
Mais la morale a toujours des ailes
Incompétence et obsolescence
Sont une identique violence
Du fascisme de tous les jours
A tous les visages, fait sa cour
La médecine est une catin
La pharmacie est son soutien
Tout est vite fait, mal fait
A la louche, au forfait
C'est la gloire du méfait
Les gens ne savent plus travailler
Tout est si compliqué, dans le prêt à jeter !
Et même à la télévision
La catastrophe est affichée
Maintenant, que nos assiettes sont droguées
Par une alimentation industrialisée
Par une nourriture empoisonnée
Acceptée par une surpopulation
A la soumission alcoolisée
Du fascisme de la pauvreté industrialisée
Du fascisme toujours obèse, jamais complexé
Les hommes et les femmes se droguent
Les structures de l'aliénation se renforcent
Des maladies mentales, ce qui fait une force
Pauvres ou riches
Sont sur le même bateau
Qui, de toutes parts, prend l'eau
Certes, pas dans les mêmes couchettes
Certes, pas dans les mêmes couettes
Mais tout le monde s'en fiche !
C'est dit, c'est répété, c'est imité
Pour dans cette voie, toujours mieux continuer
Ainsi, même la domination
Se plaint des effets
Sans voir les causes, de la désolation
Comme en France, cinquante kilos de sucre mauvais
Par an et par personne, banalité de toute addiction
Le fascisme libéral
Se nourrit de toutes les pauvretés
Toutes les pauvretés
Sont les aliments du fascisme libéral
Industrialisation de la surpopulation
Surpopulation de l'industrialisation
Un jour, faire des enfants, sera interdit
Sauf, si petit à petit, s'effectue une consciente régulation !
Le capitalisme
C'est des scandales pleins les poches
Les gens
Trouvent cela très moche
Du moment que rien ne change
Faut pas que les capitaux, cela dérange !
Comme l'amiante qui n'est qu'une pierre
Mais pour cent mille personnes, c'est la mort, c'est l'enfer
Et tant pis pour le mésothéliome, ce cancer
Et de l'oxygène qui ne passe plus, privé d'air !
Dans une société où tout est profit
Elle ne vaut rien, la vie !
L'économie, c'est la guerre
Avec tous ses criminels
Tous aussi réactionnaires
Politiciens, ingénieurs, techniciens, industriels
Qui organisent les convois de la mort
Comme n'importe quel sport
De la torture économique, jamais on ne sort !
Le temps aliéné ne peut se rattraper
La catastrophe écologique ne peut se rattraper
Moi qui suis un fossile vivant
Des années 1970, déjà l'ancien temps
Le parloir informatique qui existe maintenant
Et je pus voir sur un écran
Arnaud et Capucine, jeunes amis
Me saluer avec chaleur, du Chili !
C'était chez Pierre, avec Jacques, deux bons amis
La résistance à l'ordre établi
De tous les âges, et qui s'affranchit !
Mais physiquement, plus l'on vieillit
Et plus les jeunes nous apparaissent jeunes
Même s'il s'agit du regard culturel
Qui n'est jamais naturel
Tout pourrait très bien
Se mélanger, sans des cultures, le frein
Les affinités peuvent
N'avoir aucun âge
Et les lois s'en émeuvent
Aussi, les rencontres sont mises en cage !
D'une catégorie à l'autre, comme la rage
Et au fond
Les idées sont là, pour nous séparer
Et au fond
La guerre, c'est la propriété
La propriété sexuelle
La propriété culturelle
La propriété artistique
La propriété idéologique
La propriété scientifique
La propriété religieuse
La propriété technologique
La propriété industrielle
La monogamie, c'est la guerre
Le livre, c'est la guerre
La peinture, c'est la guerre
Une idée, c'est la guerre
Une découverte, c'est la guerre
Une image pieuse, c'est la guerre
Un ordinateur, c'est la guerre
Une usine, c'est la guerre
Chaque être humain est en guerre
Sa chapelle, son clan, sa tribu, sa famille, sa classe
Où ce qu'il croit être sa race
Partout l'être humain
Pourrait être chez lui
Cela seul, n'est pas l'utopie
Partout l'être humain
Pourrait aller avec qui lui plaît
Toutes les femmes, tous les hommes, sans forfait
L'argent, c'est la guerre, tout serait donc gratuit !
L'être humain est à naître
Pour ne plus paraître, mais simplement être
L'extrême gauche du capital
Est ainsi indispensable au capital
Plus encore, c'est pas banal
Que l'extrême droite du capital
Le capital est un os
Tous ses chiens, sont aussi rosses !
Les vies aliénées par la politique
Sont la politique des vies aliénées
Tout se construit
Sur l'aliénation
Et nos cerveaux aussi !
Il nous faut être en déconstruction
Car, presque sur tout, nous nous trompons !
Aux certitudes et aux habitudes, nous nous droguons
Aux conformismes, nous militons
La politique, c'est toujours le capital
Qui est le capital de la politique
Avec toutes les fausses critiques
Qui sont au capital, sa clinique !
François Hollande (né en 1954), Marine Le Pen (née en1968), Cécile Duflot (née en 1975)
Jean-François Copé (né en 1964), Nadine Morano (née en 1963)
Ont des copies, dans tous les autres pays, avec ou sans fric
En vérité, c'est le même cirque
Du même restaurant, la même clique !
Qui veut être le chef ?
Le doigt, celui qui ose lever
Est folie à enfermer
Est folie qui peut contaminer

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Sinful is not the sexual act
But morality always has wings
Incompetence and obsolescence
Are identical violence
Fascism everyday
In every face, made his court
Medicine is a whore
The pharmacy is its support
Everything is fast and dirty
A ladle, the package
It is the glory of mischief
People no longer know how to work
Everything is so complicated, ready to throw in!
And even on television
The disaster is displayed
Now that our plates are drugged
By an industrial food
By poisoned food
Accepted by overcrowding
A alcoholic submission
Fascism of industrialized poverty
The obese always fascism, never complexed
Men and women take drugs
the alienation of the reinforcing structures
Mental illness, making it a force
Rich or poor
Are in the same boat
Which, everywhere, takes water
Certainly not in the same bunks
Certainly not in the same quilts
But everyone who cares!
It is said is repeated, it is imitated
For this route, better still continue
Thus, even the domination
Complains effects
Without seeing the causes of desolation
As in France, fifty kilos of bad sugar
Per year per person, any banality addiction
The Liberal Fascism
Feeds of all poverty
All poverty
Liberal fascism are the foods
Industrialization of overcrowding
Overcrowding of industrialization
One day, having children, will be prohibited
Except, if gradually occurs a conscious regulation!
Capitalism
It's full scandals pockets
People
Find this very ugly
As long as nothing changes
Should not the capital, it disturbs!
Like asbestos which is only a stone
But for a hundred thousand people, it is death, it's hell
So much for mesothelioma, the cancer
And oxygen which no longer enter, airless!
In a society where everything is profit
It is worthless life!
The economy is the war
With all criminals
All too reactionary
Politicians, engineers, technicians, industrial
Organizing convoys of death
Like any sport
Economic torture, no one ever comes out!
Alienated time can catch up
The ecological disaster can not catch up
I am a living fossil
1970, already the old days
IT parlor that exists now
And I could see on a screen
Arnaud and Capucine, young friends
Greet me with warmth, Chile!
It was at Pierre, with Jacques, two good friends
The resistance to the established order
Of all ages, and that overcomes!
But physically, the more one ages
And more young people appear to us young
Even if it is the cultural gaze
Which is never natural
Everything could very well
Mix without crops, the brake
The affinities may
Have no age
And laws in émeuvent
Also, meetings are caged!
One category to another, such as rabies
And substance
The ideas are there to separate us
And substance
The war is the property
Sexual property
Cultural property
Artistic property
Ideological property
Scientific property
Religious property
Proprietary technology
Industrial Property
Monogamy, this is war
The book is War
Painting, it's war
An idea, it's war
A discovery, it's war
A holy picture, it's war
A computer, it's war
A factory, it's war
Every human being is at war
Its chapel, his clan, his tribe, his family, his class
Where what he believes race
Everywhere humans
Could be home
This alone is not utopia
Everywhere humans
Could go with it pleases
All women, all men, without package
Money is war, everything would be free!
Human beings are unborn
To no longer appear, but simply
The extreme left of capital
Thus necessary capital
Moreover, it is not trivial
That the extreme right capital
The capital is a bone
All the dogs are also nags!
The lives alienated by politics
Are policy alienated lives
Everything is built
On disposal
And our brains too!
We must be in deconstruction
Because almost everything, we are wrong!
Certainties and habits, we drugging
The conformity, we campaign
The policy is still the capital
Which is the capital of politics
With all the false reviews
Which are in the capital, his clinic!
François Hollande (born 1954), Marine Le Pen (born In 1968), Cécile Duflot (born in 1975)
Jean-Francois Cope (born in 1964), Nadine Morano (born in 1963)
Have copies in all other countries, with or without money
In truth, it is the same circus
The same restaurant, the same clique!
Who wants to be the leader?
The finger, the one who dares to raise
Is madness to shut
Is madness that can contaminate

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway.fr"