Paraphysique de vulgate abstonyme

by Patrice Faubert Sunday, Jun. 01, 2025 at 9:16 AM

La dépollution elle-même polluante...

8 mai 1842, Meudon

Ligne Paris-Versailles, et des gnons

Premier accident ferroviaire

Et cinquante-cinq mortes et morts pour le chemin de fer

Mais c'est, paraît-il, la rançon du progrès

Alors pertes et profits, l'on se tait

Avec toute une accidentologie

Comme à l'armée

Pourcentage de perte, du prévu, de l'assumé

Du travail et de toute nouvelle technologie

Tout y est du pilote d'essai

Mais nouveaux habits, nouveaux frais

Cosmonautes, astronautes

Aquanautes, spationautes

Mais

C'est toujours du pilote d'essai

Donc, bien payé, car très risqué, on le sait

Cela dit, pour n'importe quel boulot

L'on peut aussi y laisser sa peau

Maladies diverses, c'est pas non plus, du rigolo

Avec de véritables engrenages infernaux

Et qui sont comme de véritables étaux

Pour s'en défaire, faut faire dans le salaud

Du conjugal

Du sexe ou de l'amical

Du travail ou du social !

De tout un panpsychisme

Toutes situations du psychologisme

Nous y sommes toutes et tous coincés

Toutes et tous

Nous y sommes, comme à résidence, assignés

L'on ne peut y gruger

Une prison

Dont personne, vraiment, ne peut s'échapper

Comme une niche environnementale

Qui tôt ou tard sera notre fortin fatal

Car face à tout conditionnement

Conscient, surtout, inconscient

Chaque être humain est le dénuement

De tout un décalage en dénouement

Ou tout est de l'ignition

Vieillir d'inhibition de l'action

Partout, nos squelettes en attraction

Comme dans la pièce radiophonique

1978, " Les Tréteaux de la nuit ", en mode ironisant

" Les yeux perçants "

Tout est toujours en décalage

Du rendez-vous manqué comme de l'âge

Du cela aurait pu se faire

Mais hier

Et le présent y faisant un blocage

Rencontres, relations, travail, du conjugal

De toutes les vies et selon les âges

Et l'on ne peut revenir en arrière, selon l'adage

Ou alors par l'imaginaire en fureur des ratages !

C'est un peu comme la plongée

Cent mètres de profondeur

Pour au moins, de remontée, quatre heures

Vivre, survivre, sous-vivre

Il y faut, de toutes façons, des vivres

Quand tout doit chèrement se payer

Même du côté du manche

Quand, jadis, les têtes, l'on tranche

Ainsi, feu ( 1863 - 1939 ) Anatole Deibler

Le bourreau avec presque quatre-cents têtes coupées

Ce en 50 ans, il fut très bien rémunéré

Du franc-or, 10.000 euros par mois

Avec divers avantages variés

Aux mains de l'Etat

Donner la mort est un droit

Aux mains de l'individu

Donner la mort est un crime

Quand tout gouvernement

N'est que l'intérêt des dominantes et des dominants

N'est que l'intérêt des puissantes et des puissants

Et selon, de l'Histoire, et ses moments

Selon les multinationales et les milliardaires

Qui polluent le tout naissant, des sicaires

Ainsi des pneumatiques, du poudré antidérapant

6PDD, sur la route, des frottements

Substances chimiques très toxiques

Se retrouvant dans les rivières !

Pas seulement pour les saumons

Mais pour tout le vivant et selon

Interviouve antonyme mais sans anonyme

Pneus particules chimiques, avec, sans, antonyme

L'argent étant la pire des pollutions

Son entregent étant sans aucune solution

Car plus encore que l'altruisme ou le sentiment

Même si cela, parfois, permet

Avec l'alibi d'une notion d'épanouissement

Ainsi du bas nylon et ( 1960 ) de son remplacement

Gain de confort féminin, DIM, pour le collant

L'esthétique au feu, mais avec de l'investissement

Au-delà du bien, du mal, tout étant de l'argent

De toute une compilation de l'acidifiant

Des batteries des voitures électriques, de l'incluant

France, nickel, manganèse, cobalt

Chine, lithium, fer, phosphate

Ou plus tard en Espagne, pollution échec et mat

Pour 700 km d'autonomie ou plus

Mais métaux rares et donc du faux bonus

De tout un prestataire pléthorique

De toutes façons, rien ne peut-être écologique

Dans une société au tout ou presque, technologique

Où tout se préempte dans le plus ou le moins

Certes, les riches y ont le plus grand grappin

Mais hélas vulgate au très malin

Polluant la dépollution et avec ou sans frein !



Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )

May 8, 1842, Meudon

Paris-Versailles line, and crashes

First train accident

And fifty-five deaths for the railway

But that's, apparently, the price of progress

So, profits and losses, we keep quiet

With a whole accident history

Like in the army

Percentage of loss, of the expected, of the assumed

Of work and all new technology

Everything is test pilot-related

But new clothes, new expenses

Cosmonauts, astronauts

Aquanauts, astronauts

But

It's still test pilot-related

So, well paid, because very risky, we know

That said, for any job

You can also lose your skin there

Various illnesses, it's not fun either

With real infernal gears

And which are like real vices

To get rid of them, you have to do it in the Bastard

Marital

Sex or friendship

Work or social! Of a whole panpsychism

All situations of psychologism

We are all stuck there

All

We are there, as if under house arrest

We cannot cheat there

A prison

From which no one, truly, can escape

Like an environmental niche

Which sooner or later will be our fatal fort

Because in the face of all conditioning

Conscious, above all, unconscious

Each human being is destitute

Of a whole shift in outcome

Or everything is ignition

Growing old from inhibition of action

Everywhere, our skeletons in attraction

As in the radio play

1978, "The Trestles of the Night", in ironic mode

"The Piercing Eyes"

Everything is always out of step

Of the missed appointment as of age

Of the it could have been done

But yesterday

And the present creating a blockage

Meetings, relationships, work, of the marital

Of all lives and according to the ages

And we can't go back, as the saying goes

Or only by the imagination, raging with failures! It's a bit like diving.

One hundred meters deep.

For at least four hours of ascent.

To live, survive, sub-live.

You need supplies anyway.

When everything has to be paid for dearly.

Even on the handle side.

When, in the past, heads were cut off.

Thus, the late (1863-1939) Anatole Deibler.

The executioner with almost four hundred severed heads.

In 50 years, he was very well paid.

Gold francs, 10,000 euros per month.

With various perks.

In the hands of the State.

Dealing with death is a right.

In the hands of the individual.

Dealing with death is a crime.

When all government.

Is only the interest of the dominant.

Is only the interest of the powerful.

And according to History and its moments.

According to multinationals and Billionaires

Who pollute the nascent world, assassins

Thus tires, anti-slip powder

6PDD, on the road, friction

Highly toxic chemicals

Ending up in rivers! Not just for salmon

But for all living things, and according to

Interview antonym but without anonymous

Tires chemical particles, with, without, antonym

Money being the worst form of pollution

Its interpersonal skills being without any solution

Because even more than altruism or feeling

Even if this, sometimes, allows

With the alibi of a notion of fulfillment

Thus with nylon stockings and (1960) its replacement

Gain of feminine comfort, DIM, for tights

Aesthetics on fire, but with investment

Beyond good, evil, everything being money

Of a whole compilation of acidifiers

Of electric car batteries, including

France, nickel, manganese, cobalt

China, lithium, iron, phosphate

Or later in Spain, pollution checkmate

For 700 km of autonomy or more

But rare metals and therefore a false bonus

Of a whole service provider Overwhelming

Anyway, nothing can be ecological

In a society that is all or almost all technological

Where everything is pre-empted, whether it's more or less

Certainly, the rich have the greatest grasp

But alas, vulgarity to the very clever

Polluting the decontamination, and with or without brakes!

Patrice Faubert (2025) whore, little one, poet, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/)

Original: Paraphysique de vulgate abstonyme