200 mille milliards de dollars
La monnaie totale de ce monde
20 mille milliards de dollars
L'évasion fiscale pour qu'elle fonde
Avec les escrocs de l'oligarchie financière
D'ailleurs dénoncés par le banquier ( né en 1955 ) Rudolf Elmer
Qui ne peut-être que fou, pour ses confrères
Au fond, tous les politiciens
Sont les laquais des banquiers
Pas besoin d'être un esprit fin
Ou un expert en fiscalité
Pour pouvoir le constater !
Les grandes banques mondiales
Comme USB, BNP Paribas, reines de l'évasion fiscale
Et toujours des avocats fiscalistes
Pour protéger le secret bancaire et ses listes
C'est le trust de la criminalité
Qui sait bien se présenter
Et encore et toujours des avocats
L'humanité en a plein ses bras
Les avocats d'affaires
Les avocats fiscalistes
Les avocats de l'oligarchie financière
Les avocats de tous les gangsters
Laquais, de la gente banquière
Et le monde politique
Laquais de la banque, c'est logique
Déjà, sous la révolution bourgeoise, en France
Les avocats étalaient leur puissance
Toujours les premiers rôles, pleins de suffisance
Les affaires de la politique
Sont la politique des affaires
Les avocats en sont la dynamique
Ils en sont les bonnes à tout faire
Les affaires jamais délitées
Savent à leur temps, s'adapter !
Fini le temps de feu ( 1919 - 1987 ) Jean-Baptiste Doumeng
Mécène du parti stalinien français
Qui du capitalisme, fut aussi un laquais
Ce fut une moustache de Staline
A la France très câline
Il fut l'ami
De feu ( né en 1938 ) Just Fontaine
En politique, un niais, mais que le football aime
13 buts en 6 matches de coupe du monde, en 1958
En 2013, c'est toujours lui qui mène !
Je voudrais que la servilité se fonde
Dans une éternité de mai 1968
Laquais, serviteurs, esclaves
Que plus aucune humiliation n'entrave
Laquais, serviteurs, esclaves
Dans la richesse ou la pauvreté
Moi, toi, eux, elles, lui
Toutes et tous, une identique tragédie
Comme feu ( 1904 - 1973 ) Pablo Neruda, grand poète chilien
Qui avait comme église, le parti stalinien chilien
Les moustaches de Staline
Comme feu ( 1897 - 1982 ) Louis Aragon, à la même mine !
Il faut être un moins que rien
Comme moi, pour avec tout, faire le lien
Ni poète, ni sportif, ni écrivain
Ni ceci, ni cela, rien
Ni d'un parti, ni d'une idée
Ni d'une patrie, ni d'une religiosité
Sans aucun copinage, sans aucun réseau
En vérité, un pauvre toto !
Les bourgeoisies aiment les prix
Elles savent récompenser leurs amies et amis
Elles le font dans tous les pays
Prix Nobel, prix de cela, prix de ceci
De tout, le capital se nourrit
Ni de gauche, ni de droite
Tout fait partie de lui
Ou d'extrême gauche, ou d'extrême droite
Tout fait partie de lui
Toute idée
A ses laquais, ses serviteurs, ses esclaves
Toute religion
A ses laquais, ses serviteurs, ses esclaves
Toute croyance
A ses laquais, ses serviteurs, ses esclaves
C'est le même conclave
Cela produit la même bave
Cela n'est pas très glamour
Mais à la vérité, il faut faire l'amour !
La réalité de la vérité
N'est que la vérité de la réalité
Il n'y a ni supériorité
Il n'y a ni infériorité
Mais des laquais
Mais des serviteurs
Mais des esclaves
Dans l'inscription de la réification généralisée
Femmes, enfants, hommes
Dans la même impuissance aliénée
Aux uns et aux autres
Dans les uns et les autres
Tour à tour, victimes et bourreaux
Tour à tour, dominés et dominants
Et personne de bien dans sa peau !
Même pas les cinglés et les salauds
Et si, absolument tout
Ne valait absolument rien ?
De tout, se défaire
Dans un immense brasier
Pour une nouvelle ère
A rien, ne plus jamais être attaché
Savoir que rien n'est jamais libre
Pour justement apprécier la liberté dans toute sa fibre !
Laquais, serviteurs, esclaves
De l'UMP en France, et de ses 11 millions d'euros
Pour éponger la dette de ( né en 1955 ) Nicolas Sarkozy, ce fléau
En bref
Tous ceux et toutes celles, crétinisés
Qui à toute dictature, sont des cochers
Et pas seulement des riches
La bêtise, aussi ailleurs, se niche
Mais c'est pour tout pareil
La finance a le même soleil
Laquais, serviteurs, esclaves
Moi, toi, eux, elles, lui
Tout cela nous éblouit
Laquais, serviteurs, esclaves
Ne veulent aucune entrave
Pour financer les bourreaux
Pour armer les salauds
De toutes idées, de tous bords
Ce sont des idiotes, ce sont des idiots
Qui ne reconnaissent jamais leurs torts
De toutes les pauvretés
De toutes les richesses
Laquais, serviteurs, esclaves
Laquais des laquais
Serviteurs des serviteurs
Esclaves des esclaves
De toutes les pauvretés
De toutes les richesses
Des gueuseries et des noblesses
Qu'aucune dignité ne peut tenir en laisse !
Moi, toi, eux, elles, lui
La vie n'est pas, la vie nous fuit
Comme tous les assassinats
Que régissent des contrats
Par une omnipotente mafia
Laquais, serviteurs, esclaves
De la misère, la même bave
Ainsi, Albert Jacquard ( 1925 - 2013 ) est mort
C'est un terrible coup du sort
Le dernier savant libertaire
Pour les immigrés, les sans-logis, les sans-papiers
Je l'avais eu plusieurs fois au téléphone
C'était l'homme de la sincérité
C'était l'homme sur qui on pouvait compter
C'était l'homme de l'honnêteté
C'est un peu d'humanité
Qui s'en va
Et tous les faux hommages
Auxquels personne n'échappera
Et toute la charogne récupératrice
Qui sait se faire impératrice
Que sa dépouille, se disputera !
Les bourgeoisies ont des caprices
De la vérité elles font un artifice
Il n'était pas une moustache de Staline
Comme les gauchistes et les communistes
Qui sont la contre-révolution maligne
A côté, toutes les droites, sont bénignes
Albert Jacquard est mort
Il n'était pas une moustache de Staline
Il n'était pas une moustache d'Hitler
Comme les fascistes et les capitalistes
Il faut être contre le copinage
Qui tient tout en cage
Dans les journaux, à la télévision, au cinéma, à la radio
Lui, faisait du trafic d'influence
Contre toutes les nuisances
Mon voisin de palier à Tonnerre, et ami
Anartiste peintre, ex-lutteur armé, ( né en 1948 ) Michel Noury
Avait bu, un jour, un verre avec lui
Dans un bistrot de Paris
Oui, sans lui, c'est la pluie !
Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur ( http://www.hiway-glk.fr/ )
200 trillion dollars
The total currency of this world
20 trillion dollars
Tax evasion so that it founds
With the crooks of the financial oligarchy
Moreover denounced by the banker (born in 1955) Rudolf Elmer
Who can only be mad, for his colleagues
Basically, all politicians
Are the lackeys of the bankers
No need to be a fine mind
Or a tax expert
To be able to see it!
The major global banks
Like USB, BNP Paribas, queens of tax evasion
And always tax lawyers
To protect bank secrecy and its lists
It's the crime trust
who knows how to present himself
And again and again lawyers
Humanity has its hands full
business lawyers
tax lawyers
The lawyers of the financial oligarchy
Lawyers for all the gangsters
Lackey, of the banker kind
And the political world
Bank lackey, it makes sense
Already, under the bourgeois revolution, in France
Lawyers flaunted their power
Always the leading roles, full of sufficiency
The business of politics
Are business politics
Lawyers are the dynamic
They are good at everything
The cases never disintegrated
Know in their time, adapt!
Gone are the days of fire (1919 - 1987) Jean-Baptiste Doumeng
Patron of the French Stalinist party
Who of capitalism, was also a lackey
It was Stalin's mustache
To France very cuddly
He was the friend
De feu (born in 1938) Just Fontaine
In politics, a simpleton, but that football likes
13 goals in 6 World Cup matches, in 1958
In 2013, he is still leading!
I would like servility to be based
In an eternity of May 1968
Lackeys, servants, slaves
That no more humiliation hinders
Lackeys, servants, slaves
In wealth or poverty
Me, you, them, them, him
All and all, an identical tragedy
As fire ( 1904 - 1973 ) Pablo Neruda, great Chilean poet
Who had as a church, the Chilean Stalinist party
Stalin's mustaches
Like the late (1897 - 1982) Louis Aragon, at the same mine!
You have to be less than nothing
Like me, for with everything, make the link
Neither poet, nor sportsman, nor writer
Neither this nor that, nothing
Neither of a party, nor of an idea
Neither of a homeland, nor of a religiosity
Without any cronyism, without any network
In truth, a poor toto!
Bourgeoisies love prices
They know how to reward their friends
They do it in every country
Nobel prize, prize of this, prize of this
From everything, capital feeds
Neither left nor right
It's all part of him
Or far left, or far right
It's all part of him
any idea
To his lackeys, his servants, his slaves
any religion
To his lackeys, his servants, his slaves
Any belief
To his lackeys, his servants, his slaves
It's the same conclave
It produces the same slime
It's not very glamorous
But in truth, you have to make love!
The reality of truth
Is only the truth of reality
There is no superiority
There is no inferiority
But lackeys
But servants
But slaves
In the inscription of generalized reification
Women, children, men
In the same insane impotence
To each other
In each other
Alternately, victims and executioners
By turns, dominated and dominating
And nobody good in his skin!
Not even crackpots and bastards
What if, absolutely everything
Worth absolutely nothing?
To get rid of everything
In a huge inferno
For a new era
To nothing, never to be attached again
Knowing that nothing is ever free
To precisely appreciate freedom in all its fiber!
Lackeys, servants, slaves
From the UMP in France, and its 11 million euros
To pay off the debt of (born in 1955) Nicolas Sarkozy, this scourge
In short
All those, morons
Who to any dictatorship, are coachmen
And not just the rich
Stupidity, also elsewhere, nestles
But it's for all the same
Finance has the same sun
Lackeys, servants, slaves
Me, you, them, them, him
All this dazzles us
Lackeys, servants, slaves
Want no hindrance
To finance the executioners
To arm the bastards
From all ideas, from all sides
They are idiots, they are idiots
Who never admit their wrongs
Of all the poverty
Of all the riches
Lackeys, servants, slaves
lackey of lackeys
Servants of Servants
slaves of slaves
Of all the poverty
Of all the riches
Of beggars and nobility
That no dignity can hold on a leash!
Me, you, them, them, him
Life is not, life escapes us
Like all assassinations
What are contracts?
By an omnipotent mafia
Lackeys, servants, slaves
Misery, the same drool
Thus, Albert Jacquard (1925 - 2013) died
It's a terrible twist of fate
The Last Libertarian Scholar
For immigrants, the homeless, the undocumented
I had spoken to him several times on the phone
He was the man of sincerity
He was the man you could count on
He was the man of honesty
It's a bit of humanity
who is leaving
And all the fake tributes
that no one will escape
And all the recuperative carrion
Who knows how to become empress
That his remains will be disputed!
The bourgeoisies have whims
Of the truth they make an artifice
He wasn't a Stalin mustache
Like leftists and communists
Who are the malignant counter-revolution
Beside, all straight lines are benign
Albert Jacquard is dead
He wasn't a Stalin mustache
He was not a Hitler mustache
Like fascists and capitalists
We must be against cronyism
Who holds everything in a cage
In the newspapers, on television, in the cinema, on the radio
He was an influence peddler
Against all nuisances
My next door neighbor in Tonnerre, and friend
Anartist painter, ex-armed fighter, (born in 1948) Michel Noury
Had had a drink with him one day
In a bistro in Paris
Yes, without him, it's rain!
Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysician ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat says the guest on ( http://www.hiway-glk.fr/ )