Paraphysique de l'atomisation du monde

by Patrice Faubert Wednesday, Jan. 01, 2020 at 9:24 AM

Au tout globalement, au tout polluant...

En Chine

Urine d'enfants

Sans que l'on s'échine

Pour des pommiers, ainsi, poussant

De l'urine récoltée dans les écoles

Enfants contents d'apporter leur obole

Certes

En matière de liberté

La Chine a des chaînes aux pieds

Mais comme un peu partout, finalement

Chaque pays se comparant et se dédouanant

Alors

Qu'au tout globalement

C'est au tout polluant

Forcément

Car tout gouvernement est dément

Menteuses, menteurs

Profiteuses, profiteurs

Pollueuses, pollueurs

Faux alarmisme

Faux catastrophisme

De tout nouveau gouvernement

De tout ancien gouvernement

Mafieuses et mafieux

Toute honte bue

Cela montrerait même son cul !

Sachant

Que toutes les espèces de la planète Terre

Sont menacées, il faut s'y faire

Comme les récifs coralliens

Et une espèce sur trois en provient

Fongicides, pesticides

Toute une encyclopédie prophylacticide

Et pas seulement dans les champs

Mais aussi les terrains de sport

Sous les sols, au tout dégoûtant

Sur la totalité du monde, le capital, sa mort, la sort

Le capital

De la partition

Le capital

De la division

Comme en Inde en 1947

Des millions de gens déplacés

Des centaines de milliers de personnes tuées

Et donc, avec cela, advint le Pakistan

Encore les religions, c'est désolant

Là ou ailleurs

De tous temps, de toutes les heures

Avec le capitalisme privé ou étatique

Toute vie humaine est un coup de trique

Comme les pénitenciers pour enfants

En France, la Petite Roquette, souffrance et maltraitance

Toutes oubliées, leurs doléances !

La rue était leur foyer

Sans argent, sans domicile, il fallait vagabonder

Des délits jusqu'à 1935

Et plus tard, des maisons de correction pour jeunes détenus

De la torture, il fallut

Pour que l'on s'en ému

Les plus jeunes avaient sept ans

Silence absolu comme seul règlement

Des tas de mauvais traitements

Et toujours se réactualisant

La tête couverte comme à Guantanamo

Treize heures de sommeil, immobilité imposée

Douze pour cent de mortalité

Au tout cloisonné

Voilà cette France

Qui à l'humanité, fut une offense

Prison de la misère

Misère de la prison

Bref

Pour en revenir à la pollution

Fibres textiles, vêtements toxiques

Microparticules de poison chimique, tout ceci intoxique

Eau, sable, pour les textiles, traiter

L'eau, un or bleu, qu'il faut déjà payer

Demain, l'air que l'on doit respirer !

Tout ceci, polluant

Oui, c'est assez désespérant

Comme

Cinquante milliards de bouteilles en plastique

Jetées à la mer, une banalité, sic

Une industrie textile

Pire que les avions

Pire que les voitures

Pire que le transport maritime

Cela semble pourtant difficile

L'industrie du textile

1,2 milliard de tonnes, pas de quoi s'étonner

Des gaz à effet de serre

Et ce, année après année

Deuxième cause polluante, de quoi s'inquiéter

Qui donc, après le pétrole, premier, peut aussi bien polluer

Et hop, allez

Toutes dénudées

Tous dénudés

Avec le changement climatique, il faut bien plaisanter

La bêtise du déni

Le déni de la bêtise

Comme les chasseurs

Se considérant comme peu destructeurs

Et qui sont, là, de grands déconneurs

La logique inepte des tueurs !

Sous le capital

Tout est contradiction

Tout et son contraire, en élection

Sauf pour tout refaire

Sauf pour vraiment tout fiche par terre

Comme en France, au tout numérique

Alors qu'existe l'illectronisme

Dix sept pour cent de la population française

Mais l'illettrisme électronique

N'est pas, forcément, l'illettrisme littéraire ou scientifique

Et l'on finit par se demander

Si tout ne finira pas incendié

Comme très très jadis, à Rome, 6 jours, sept nuits

Juillet caniculaire, et sans parodie

Un million de personnes, par la peur, gens terrorisés

Donc, l'éternel retour

Par différents détours

Inondations, incendies, guerres, conflits

Sans cesse, d'un déguisement l'autre, en infini !



Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

In China

Children's urine

Without being spoiled

For apple trees, as well, growing

Urine collected in schools

Children happy to bring their donation

Certainly

Freedom

China has chains on its feet

But like everywhere, finally

Each country comparing and clearing itself

So

All in all

It's all polluting

Necessarily

Because all government is insane

Liars, liars

Profiteers, profiteers

Polluting, polluting

False alarmism

False catastrophism

Brand new government

From any former government

Mafia and mafia

All shame drunk

It would even show her ass!

knowing

Let all the species on planet Earth

Are threatened, you have to get used to it

Like coral reefs

And one in three species comes from

Fungicides, pesticides

A whole prophylacticidal encyclopedia

And not only in the fields

But also the sports grounds

Under the floors, all disgusting

On the whole of the world, capital, its death, its fate

The capital

From the score

The capital

From the division

As in India in 1947

Millions displaced

Hundreds of thousands killed

And so, with that, came Pakistan

Still religions, it's sorry

There or elsewhere

Any time, any hour

With private or state capitalism

All human life is a stroke of a stick

Like children's penitentiaries

In France, the Little Roquette, suffering and mistreatment

All forgotten, their grievances!

The street was their home

Without money, homeless, you had to wander

Crimes until 1935

And later, reformatories for young detainees

Torture required

To be moved

The youngest were seven years old

Absolute silence as the only regulation

Lots of ill-treatment

And always updating

Head covered like at Guantanamo

Thirteen hours of sleep, imposed immobility

Twelve percent mortality

All cloisonne

This is France

Who to humanity was an offense

Prison of misery

Prison misery

In short

Getting back to the pollution

Textile fibers, toxic clothing

Microparticles of chemical poison, all of this intoxicating

Water, sand, for textiles, treat

Water, a blue gold, which must already be paid

Tomorrow, the air we should breathe!

All this, polluting

Yes, it's pretty desperate

As

Fifty billion plastic bottles

Thrown into the sea, a banality, sic

A textile industry

Worse than planes

Worse than cars

Worse than shipping

It seems difficult

Textile industry

1.2 billion tonnes, no wonder

Greenhouse gases

And this, year after year

Second polluting cause, what to worry about

Who therefore, after oil, first, may as well pollute

And hop, come on

All naked

All naked

With climate change, you have to be joking

The stupidity of denial

Denial of stupidity

Like the hunters

Considering themselves as little destructive

And who are, there, great discoverers

The inept logic of the killers!

Under the capital

Everything is contradiction

Everything and its opposite, in election

Except to redo everything

Except for really any plug on the ground

As in France, all digital

While there is electronics

Seventeen percent of the French population

But electronic illiteracy

Is not necessarily literary or scientific illiteracy

And we end up wondering

If all won't end on fire

Like very very long ago, in Rome, 6 days, 7 nights

July heat wave, and without parody

A million people, out of fear, terrorized people

So the eternal return

By different detours

Floods, fires, wars, conflicts

Endlessly, from one disguise to the next, infinitely!



Patrice Faubert (2020) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway index"







Original: Paraphysique de l'atomisation du monde