Agonistes de pharmacopée marchande

by Patrice Faubert Saturday, May. 18, 2019 at 7:20 AM

Le capitalocène est un suicide collectif...

" Aucune théorie physique n'a donc été prouvée et aucune ne le sera jamais. Il est seulement possible d'accorder plus ou moins de crédit, en fonction de nos croyances, de nos principes et de nos observations, aux modèles non encore invalidés. La physique n'a pas vocation à énoncer des vérités absolues ou des certitudes éternelles "

Aurélien Barrau, né en 1973, " Des univers multiples, à l'aube d'une nouvelle cosmologie " Editeur : Dunod

La finance du capital

Le marché des multinationales

80.000 milliards de dollars

120 pour cent du PIB mondial

L'escroquerie capitaliste se marre

Cela fait si longtemps que cela dure

Que cela ne passe plus pour hideur impure

C'est comme une cape d'invisibilité

Matière noire qui est seulement estimée

Un brouillard d'hydrogène dissipé

Contenant dans sa virtualité

Toutes les sortes de la possibilité

Le monde des collisions

Les collisions des mondes

Des planètes, des galaxies

Des classes sociales, du profit

200 milliards d'étoiles, c'est féerique

Rien que dans notre galaxie elliptique

965 billions de kilomètres, tout peut se calculer

Cent mille années lumière pour la traverser

Et pendant ce temps si abstrait

Sur notre planète Terre, du mal, l'on se fait

Toujours des injustices, des inégalités

Il eut été si simple de tout partager

Mais tout, sur l'effort, a été basé

Il faut suer, il faut mériter !

Mais si tout est Multiversel

Mais si tout est Pluriversel

Mais si tout est Mégaversel

Alors

Des mondes d'anarchie, ailleurs

Tout un jour a son heure

Tout un jour a eu son heure

Tout un jour aura son heure

Mais sur notre planète Terre, et pour notre malheur

C'est le fascisme libéral partout, ô horreur

L'économie de la terreur

La terreur de l'économie

L'opacité du profit

Et notre Univers aussi

Fut opaque pendant des millions d'années

Puis, bulles de lumière, tout finit par s'éclairer

Comme un changement de personnalité

Voilà ce qu'il faudrait, immédiatement, à notre éphémère société

Même si rien ne naît, rien ne meurt, TOUT est permuté

Ce qui n'empêche pas, au contraire, de vouloir tout révolutionner

Comme les jeux du fric, de l'Olynfric, une sublimation à supprimer

Avec aussi tant d'autres inutilités

La recherche de vie sur les lunes de Pluton

Et le problème est ainsi dans la solution !

Solution du problème

Qui devient problème de la solution

Et ce ne sont que des objets transneptuniens

Vraiment, tout cela est bien vain

Notre seul vaisseau spatial, c'est la Terre

Tout le reste est une chimère

Le capitalisme est un virus

Qui rend le monde entier minus

Comme une planète, astre errant

Va nettoyer l'objet de son orbite

Le capital, comme un possédé, comme un dément

Telles des marchandises, le capital nous débite

Et subtilement de façon inédite

Il y aurait pourtant mieux à faire

Que ce monde nazi, que ce monde mortifère

Les riches avec les riches

Il ne faut plus aucun riche

Les pauvres avec les pauvres

Il ne faut plus aucun pauvre

Les jeunes avec les jeunes

Il ne faut plus de je suis jeune

Les vieux avec les vieux

Il ne faut plus de je suis vieux

Les vieilles avec les vieilles

Il ne faut plus de je suis vieille

Voilà bien une autre façon de penser

Un petit aperçu de la pensée séparée

Plus aucun préjugé, mais de la solidarité

Plus aucune caste, plus aucune classe

Que le capital se taise, que la caravane libertaire, passe !

Et pour outrepasser

L'infernale protection chronologique

Il y a seulement la physique théorique

En attendant l'anarchie, pourtant si peu utopique

Car

Tous les jours, le capital nous tue

Car

Tous les jours, le capital nous pue

Il s'agit d'un monde condamné

Qui par nécessité vitale sera remplacé

Mais avec lui

Tout peut effectivement disparaître

Sans que rien ne puisse plus paraître

Ou dans des milliers ou millions d'années

Des vies qui ne peuvent pas même s'imaginer

Sur d'autres planètes, inutile de s'en aller

Avec le temps, l'impossible est de toute possibilité

Ici, hier, demain, ailleurs

Le temps n'existe pas, il est sans aucune heure

Le capital rend tout si insupportable

De la production des médicaments pour le rendre supportable

Mais comme avec les agonistes dopaminergiques

Avec le REQUIP de tant d'allergiques

Comme donc avec d'inévitables effets secondaires

Le capital est tout et son contraire

L'endroit n'est que son envers !

Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

"So no physical theory has been proven and none will ever be proven, it is only possible to give more or less credit, according to our beliefs, our principles and our observations, to models not yet invalidated. Physics is not intended to state absolute truths or eternal certainties "

Aurélien Barrau, born in 1973, "Multiple universes, at the dawn of a new cosmology" Publisher: Dunod

Capital finance

The multinational market

80,000 billion dollars

120 percent of global GDP

The capitalist swindle is fed up

It's been so long since it lasts

That does not happen anymore for impure horror

It's like a cloak of invisibility

Black matter that is only estimated

A fog of hydrogen dispelled

Containing in its virtuality

All kinds of possibility

The world of collisions

The collisions of the worlds

Planets, galaxies

Social classes, profit

200 billion stars, it's magical

In our elliptical galaxy alone

965 billion kilometers, everything can be calculated

A hundred thousand light years to cross it

And during that time so abstract

On our planet Earth, evil, we get

Always injustices, inequalities

It would have been so easy to share everything

But everything, on the effort, was based

We must sweat, we must deserve!

But if everything is Multiversel

But if everything is Pluriversel

But if everything is Megaversel

So

Worlds of anarchy elsewhere

A whole day has its time

A whole day had its time

A whole day will have its time

But on our planet Earth, and for our misfortune

It's liberal fascism everywhere, oh horror

The economy of terror

The terror of the economy

Opacity of profit

And our Universe too

It was opaque for millions of years

Then, bubbles of light, everything ends up lighting up

Like a personality change

That's what it takes, right away, to our ephemeral society

Even if nothing is born, nothing dies, EVERYTHING is permuted

This does not prevent, on the contrary, to want to revolutionize everything

Like the games of money, Olynfric, a sublimation to delete

With so many other useless things

The search for life on the moons of Pluto

And the problem is so in the solution!

Solution of the problem

Who becomes problem of the solution

And these are just transneptunian objects

Really, all this is vain

Our only spaceship is the Earth

Everything else is a chimera

Capitalism is a virus

Who makes the whole world less

Like a planet, wandering star

Will clean the object from its orbit

Capital, as a possessed, as a demented

Like commodities, capital debits us

And subtly in a new way

There would be better things to do

That this Nazi world, that this deadly world

The rich with the rich

No longer need any rich

The poor with the poor

No more needy

Young people with young people

I do not need to be young anymore

The old with the old

I do not need to be old

The old with the old

I do not need to be old

That's another way of thinking

A small glimpse of separate thought

No more prejudice, but solidarity

No more caste, no more class

Let the capital be silent, let the libertarian caravan pass!

And to override

The infernal chronological protection

There is only theoretical physics

Meanwhile anarchy, yet so utopian

Because

Every day, capital kills us

Because

Every day, capital stinks us

This is a doomed world

Who from vital necessity will be replaced

But with him

Everything can actually disappear

Without anything can seem more

Or in thousands or millions of years

Lives that can not even imagine

On other planets, you do not have to go

With time, the impossible is of any possibility

Here, yesterday, tomorrow, elsewhere

Time does not exist, it is without any time

Capital makes everything so unbearable

From the production of drugs to make it bearable

But as with dopamine agonists

With the REQUIP of so many allergic

As with inevitable side effects

Capital is everything and its opposite

The place is only his backside!

Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouete, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway index"

Original: Agonistes de pharmacopée marchande