Paraphysique de l'hypnologie politicienne

by Patrice Faubert Monday, Apr. 15, 2019 at 6:10 AM

L'hypnose capitaliste...

Addiction au sexe ?

La privation s'en vexe !

Où cela, quand cela

Comment cela, avec qui, voilà

Cela doit revenir cher

Toute addiction se payant

Femmes professionnelles comme repères

C'est comme avec les jeux d'argent

Mais si tout se faisait gratuitement

Plus aucune addiction, cela serait marrant

Et très navrant

Pour notre système marchand

C'est l'occasion qui fait le larron

Et sans partenaire, pas la moindre occasion

Comme c'est chacun et chacune pour sa pomme

L'addiction au sexe, vraiment, cela étonne

De plus, la femme ne faisant que rarement le premier pas

Car dans la société bourgeoise cela ne se fait pas

Où cela, quand cela

Comment cela, avec qui, voilà

De la supercherie des bourgeoisies

Quelques cas ne font pas une généralité, c'est dit

La sexualité ne serait épanouie que dans l'anarchie !

Il en va pour le sexe

Même si cela nous vexe

Comme pour le reste

Rien n'y est libre

Par l'argent, tout y est en déséquilibre

Tout n'est que l'expression du capital

De toutes choses, il fait un horrible carnaval

Le corporatisme de la contestation sociale

Ne peut que renforcer le capital

Certes

Je ne suis pas un militant de choc

Le conformisme militant, de moi, se moque

Je me méfie de toute aliénation, et toc

De tout dogmatisme et de ses breloques

Et puis, je suis une sorte de solitaire

Je chemine avec feu ( 1806 - 1856 ) Max Stirner

Le capital

Est comme une mécanique vibratoire

De la technologie en laboratoire

Modification des sols pour voir

Dans le royaume de l'illusoire

Le capital est tout pouvoir

C'est dans nos têtes qu'il faut tout changer

Et ne rien prendre au sérieux

Dans le capital, tout est merdeux, tout est fumeux !

Si le travail est la meilleure des polices

La marchandise est incarnée dans toute police

Police du travail, travail de la police

Le football y est aussi en lice

Des sports, le premier des complices

Tout cela conforte les dictatures

Des distractions pendant que l'on torture

Chaque pays et ses cas de figure

Hier, aujourd'hui, demain

C'est toujours le même refrain

Pas besoin des noms et des dates

C'est toujours la même carte !

Le capital est surtout vicieux

Il se délecte de ses contentieux

Il ne saurait vivre sans eux

Il est le dopage

De tous les dopages

C'est lui qui recrute l'équipage

Dans les sports, les produits dopants

Du sport amateur au sport professionnel, c'est effarant

30 milliards d'euros de chiffre d'affaires

Et toute une organisation criminelle qui l'enserre

Donc chaque année

Il n'y a que des mafias

En tous domaines, organisant le capital, c'est bien cela

Même

Avec les passeports biologiques

Même

Avec des marqueurs biologiques

La triche génétiquement modifiée

Pratiquement impossible à déceler

Ou tant d'années après

Tout résultat de compétition est donc mauvais

Dix années d'attendre pour le vrai

Dopage de la compétition

Compétition du dopage

En sport ou autre, une seule et même cage !

Et du capital, partout proclamé

L'on ne peut aucunement s'évader

Ou alors tout est à dynamiter

Le capital, tous les jours se fait respirer

Des gaz lacrymogènes, une plus grande subtilité

Comme dans une manifestation interdite

Aux forces du capital, des armes inédites

En France, si peu, cela étonne

Environ 11000 personnes

Disparaissent involontairement

Disparaissent volontairement

Certes, c'est complètement différent

Et c'est donc tous les ans

Du capital, l'on ne s'exile jamais, nonobstant

Du changer de vie à l'enlèvement

Tout y est, de toutes façons, du souci permanent

La prison du capital

Le capital de la prison

La prison pas seulement pénitentiaire

La prison est partout sur notre planète Terre

En moi, en toi, en lui, en elle, dans nos esprits

De la propriété, de la compétition, de la mesquinerie

Le capital est une boîte de conserve

Et des matons et des matonnes qui nous observent

Des complicités directes ou indirectes qui les servent

Police, armée, vigiles, avec l'uniforme

Police, armée, vigiles, sans l'uniforme

Le reniement de la vie comme seule norme !

Aucune issue de secours

Pas le moindre chemin, pas le moindre bourg

Pour ceux et celles qui aiment marcher

La randonnée, pour un peu, croire tout oublier

En 1947

100 km de chemins de petites et grandes randonnées

En 2016

300.000 km de chemins de petites et grandes randonnées

Le capital a ses bouées

Du lest, il sait à petites doses, lâcher

Il faudrait un ouragan géant

Pas climatique, mais psychologique

La pression qui chute

La condition physiologique qui mute

L'ouragan mental qui nous percute

Plus aucune barrière

Plus aucune frontière

Tout est si vide

Tout est si livide

Tous nos biens qui ne sont rien

Tous nos liens qui ne sont rien

Le capitalisme est un grand vide

Le capitalisme est un grand bide !

Technocrates et bureaucrates

Sont chez eux et chez elles, partout dans ce monde

Car c'est là leur monde

Ainsi, nous nageons chaque jour dans l'immonde

C'est comme les ambassades

Chaque copinage y a son grade

Chaque ambassade est un petit gouvernement

Et la France avec 89 consuls et 181 ambassadeurs

Médaille de bronze, toujours à l'heure

Et aussi avec un tas d'agents

Pour représenter ainsi le gouvernement

Madagascar, Mexique, Russie

Côte d'Ivoire, Corée du Sud, Maroc

Par dizaines et parfois par centaines

De la France, dissimuler les fredaines

Et 129.000 euros par fonctionnaire expatrié

Avec l'indemnité de résidence, c'est bien payé

L'ambassadeur, lui, environ 15.000 euros par mois

Selon les pays, c'est bien étudié, ma foi

La loi de la diplomatie

La loi de l'économie

Pas seulement du Quai d'Orsay

Car, partout et en tout, aussi, le compte y est

Le capital est une torture, un permanent forfait

En 1843, en Chine, la diplomatie du capital, déjà, commençait !



Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

Addiction to sex?

Deprivation is vexed!

Where is that when

How, with whom, that's it

It must be expensive

Any addiction paying

Professional women as benchmarks

It's like with gambling

But if everything was done for free

No more addiction, that would be funny

And very heartbreaking

For our trading system

This is the opportunity that makes the thief

And without a partner, no occasion

How it's each and every one for his apple

The addiction to sex, really, it surprises

Moreover, the woman rarely taking the first step

Because in the bourgeois society it is not done

Where is that when

How, with whom, that's it

From the trickery of the bourgeoisies

Some cases do not make a generality, it says

Sexuality would be fulfilled only in anarchy!

It goes for sex

Even if it hurts us

As for the rest

Nothing is free

By the money, everything is out of balance

All is only the expression of capital

Of all things, it's a horrible carnival

The corporatism of social protest

Can only strengthen the capital

Certainly

I am not a shock activist

Militant conformism, of me, makes fun of

I am suspicious of any alienation, and toc

Of all dogmatism and its charms

And then, I'm kind of lonely

I walk with fire (1806 - 1856) Max Stirner

The capital

Is like a vibratory mechanism

From the technology in the laboratory

Soil modification to see

In the realm of illusory

Capital is all power

It's in our heads that everything has to change

And do not take anything seriously

In the capital, everything is shitty, everything is smoky!

If the job is the best font

The commodity is embodied in any font

Labor police, police work

Football is also in the running

Sports, the first of the accomplices

All this reinforces the dictatorships

Distractions while being tortured

Each country and its cases

Yesterday Today Tomorrow

It's always the same refrain

No need for names and dates

It's always the same card!

The capital is especially vicious

He enjoys his litigation

He could not live without them

He is doping

Of all doping

It is he who recruits the crew

In sports, doping products

From amateur sport to professional sports, it's amazing

30 billion euros in turnover

And a whole criminal organization that encloses it

So every year

There are only mafias

In all areas, organizing capital, this is it

same

With the biological passports

same

With biological markers

Genetically modified cheats

Almost impossible to detect

Or so many years later

Any competition result is therefore bad

Ten years of waiting for the real

Doping of the competition

Doping competition

In sport or other, one and the same cage!

And capital, everywhere proclaimed

We can not escape

Or everything is to blast

The capital, every day is made to breathe

Tear gas, greater subtlety

As in a prohibited event

To the forces of capital, unpublished weapons

In France, so little, it surprises

About 11000 people

Go involuntarily

Go voluntarily

True, it's completely different

And so it's every year

Capital, one never exiles, notwithstanding

From change of life to abduction

Everything is, in any case, a permanent concern

Capital prison

The capital of the prison

Prison not only penitentiary

Prison is everywhere on our planet Earth

In me, in you, in him, in her, in our minds

Property, competition, pettiness

The capital is a tin can

And mates and mates watching us

Direct or indirect complicities that serve them

Police, army, vigils, with uniform

Police, army, vigils, without the uniform

The denial of life as the only standard!

No emergency exit

Not a single path, not a single village

For those who like to walk

The hike, for a bit, believe everything forget

In 1947

100 km of paths of small and big excursions

In 2016

300,000 km of small and large hiking trails

Capital has its buoys

Ballast, he knows in small doses, let go

It would take a giant hurricane

Not climatic, but psychological

The falling pressure

The physiological condition that mutates

The mental hurricane that hits us

No more barriers

No more borders

Everything is so empty

Everything is so livid

All our goods that are nothing

All our links that are nothing

Capitalism is a big void

Capitalism is a big flop!

Technocrats and bureaucrats

At home and at home, everywhere in this world

Because this is their world

So, we swim every day in the filthy

It's like embassies

Every crony has its grade

Each embassy is a small government

And France with 89 consuls and 181 ambassadors

Bronze medal, always on time

And also with a bunch of agents

To represent the government

Madagascar, Mexico, Russia

Ivory Coast, South Korea, Morocco

By tens and sometimes by the hundreds

From France, hide the fredaines

And 129,000 euros per expatriate employee

With the residence allowance, it is well paid

The ambassador, him, about 15.000 euros per month

Depending on the country, it is well studied, my faith

The law of diplomacy

The law of economics

Not only the Quai d'Orsay

Because, everywhere and in all, too, the account is there

The capital is a torture, a permanent fixed price

In 1843, in China, the diplomacy of capital was already beginning!



Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouete, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway index"

Original: Paraphysique de l'hypnologie politicienne