Pentobarbital de sodium

by Patrice Faubert Monday, May. 14, 2018 at 3:43 PM

Ce qui ne se dit jamais...

" On comprend que cette contamination qu'elle soit prénatale mais surtout postnatale soit capable d'influencer et de moduler le déclenchement de la puberté et eu égard à cet effet oestrogénique, et bien, on va imprégner la petite fille en oestrogènes qui vont être capables de stimuler la glande mammaire, de stimuler l'utérus, et aussi de stimuler les centres nerveux qui régulent le déclenchement de la puberté "

Professeur Charles Sultan ( endocrinologue et pédiatre )

Pentobarbital de sodium

Gardénal, phénobarbital, nembutal

La famille du grand sommeil

Du vivre impossible, quand profond, d'être, est le mal

Quand tout nous est refusé

Tout ce que l'on peut aimer

Pour les uns et les unes, c'est la sexualité

Mais il y a la ménopause

Mais il y a l'andropause

Toujours quelque chose

Pour nous emmerder

Pour les uns et les unes, c'est voyager

Mais son argent, il faut pouvoir dépenser

Ou alors

Dans le couple, les goûts ne sont pas partagés

Toujours quelque chose

Pour nous emmerder

Mais pour paraphraser feu Boris Vian

Y'a quelque chose qui cloche, j'y retourne immédiatement

Il n'y a jamais aucune rencontre

Seulement des solitudes qui se rencontrent

Dans un monde d'argent au tout insipide

Il devrait d'ailleurs y avoir beaucoup plus de suicides

Pour tout, il faut payer, il faut en chier

La sexualité, le mariage, le divorce, pour manger ou dormir, pour voyager !

Il n'y a finalement

Que de fausses relations

Qui sont déterminées

Par des systèmes politiques

Nous menant à la cravache, à la trique

Mais puisque l'on nous dit

Que c'est la seule vraie vie

Nous buvons tout cela jusqu'à la lie

Aucune réalité augmentée

Ne pourra, de ce fait, rien améliorer

C'est pas le, je kiffe total

Comme dirait la jeunesse du capital

De ce déguisement de jeunesse

Avec certes, une précocité pubertaire pour les filles

Quand les perturbateurs endocriniens étrillent

Des oestrogènes en folie

Dans une sotte société où tout se relie

Et il y a aussi l'enfant prépubertaire

Dont l'endurance sait tout faire

Et encore plus endurant

Qu'un sportif professionnel, sidérant

Pas étonnant

Me souvenant de mes performances physiques d'enfant

Des kilomètres de course à pied

Chaque jour, et pas le moins du monde, fatigué !

Certes

Cela n'est pas le record d'apnée

137,5 minutes, de la baleine à bec de feu Cuvier

L'élégance de l'équilibre

L'équilibre de l'élégance

La force des mécanismes

Les mécanismes de la force

Certes

Mes rodomontades

Sont au nez, une désagréable moutarde

Car de rien

Je ne suis le thuriféraire

Restant critique même sur feu l'Espagne libertaire

Restant néanmoins une référence humanitaire

Je suis comme un dinosaure

Toute la mentalité du capital m'ignore

En voie de disparition

En voie d'extinction

De personne, c'est ainsi

Je ne puis espérer aucun satisfecit

De l'âge de la pierre

De l'âge du fer

De l'âge du silicium

De l'âge de la réalité augmentée

Sur l'autre, tout vous saurez

Une réalité, il est vrai, d'une si grande pauvreté

C'est d'une tristesse à pleurer

Rien à cacher

Tout totalitarisme est pour la transparence, ne pas l'oublier

Les statistiques probabilistes rendant pourtant cela de grande inutilité !

Par exemple, l'âge moyen de la femme ménopausée

Est de 52 ans avec en moyenne, sept ans de durée

Mais tout n'est pas forcément hormonal

Il faudrait donc une écoconception du mental

Testostérone, progestérone, oestrogènes

Par le bout du sexe, la physiologie génitale, nous mène

Messages chimiques, au moins mille hormones

Qui jouent leur partition dans nos corps, dring-dring, cela sonne

Mais au moins, la sexualité

C'est bon pour la santé

C'est pas comme la cigarette

Car pour les poumons, cela n'est pas une fête

Cent millions de personnes décédées

Au cours du siècle dernier

D'une addiction l'autre, il faut bien compenser

Quand de tout plaisir ou presque, l'on est privé

Du métier de vivre, l'on est bien mal salarié

26 avril 1986, Tchernobyl

Des centaines de milliers de liquidateurs à la file

Et sur des années, tous s'en allant mourir, cela défile

Alors que 700 kg d'iode

Bien des fins horribles, cela aurait pu éviter

Au moins, juste après l'accident

Rien ne fut fait, cela est édifiant

Face à tout ce terrifiant

Dès l'enfance, il y a l'école, il y a les parents

Le pentobarbital de sodium est une bienveillance

De ce monde du capital et de ses malfaisances

De ce monde réactionnaire

De toutes les familles identitaires

De toutes les familles réactionnaire

De tous les fascistes, de tous les doctrinaires

Tout ou presque est à vomir

Moi, j'ose le dire

C'est finalement la mort qui est la seule délivrance !

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

"We understand that this contamination prenatal but especially postnatal is able to influence and modulate the onset of puberty and with regard to this estrogenic effect, well, we will impregnate the girl in estrogen who will be able to stimulate the mammary gland, stimulate the uterus, and also stimulate the nerve centers that regulate the onset of puberty "

Professor Charles Sultan (endocrinologist and pediatrician)

Sodium pentobarbital

Gardenal, phenobarbital, nembutal

The family of great sleep

Living impossible, when deep, being, is evil

When everything is refused

All we can like

For some, it's sexuality

But there is menopause

But there is andropause

Always something

To piss us off

For some, it's traveling

But his money, you have to be able to spend

Or

In the couple, the tastes are not shared

Always something

To piss us off

But to paraphrase the late Boris Vian

There is something wrong, I go back immediately

There is never any meeting

Only solitudes that meet

In a world of money at all tasteless

There should be many more suicides

For everything, you have to pay, you have to fuck

Sexuality, marriage, divorce, to eat or sleep, to travel!

There is finally

What false relations

Who are determined

By political systems

Leading us to the whip, to the cudgel

But since we are told

That it's the only real life

We drink all this up to the dregs

No augmented reality

Can not, therefore, improve anything

That's not it, I'm feeling total

As the youth of capital would say

From this youth disguise

With sure, a precocious puberty for girls

When endocrine disruptors rustle

Estrogen in madness

In a silly society where everything connects

And there is also the prepubertal child

Endurance knows how to do everything

And even more enduring

That a professional athlete, staggering

Not surprising

Remembering my physical child performances

Miles of running

Every day, and not the least, tired!

Certainly

This is not the apnea record

137.5 minutes, the Cuvier's firebilled whale

The elegance of balance

The balance of elegance

The strength of mechanisms

Mechanisms of the force

Certainly

My rodomontades

Are on the nose, an unpleasant mustard

You're welcome

I am the thurifer

Remaining critical even on fire the libertarian Spain

Remaining nevertheless a humanitarian reference

I am like a dinosaur

The whole mentality of capital ignores me

Endangered

Endangered

No one, that's how

I can not hope for any satisfaction

From the Stone Age

From the Iron Age

From the silicon age

From the age of augmented reality

On the other, everything you will know

A reality, it is true, of such great poverty

It's a sadness to cry

Nothing to hide

All totalitarianism is for transparency, do not forget it

Probabilistic statistics, however, rendering it useless!

For example, the average age of the menopausal woman

Is 52 years old with an average of seven years

But not everything is necessarily hormonal

So it should be an ecodesign of the mind

Testosterone, progesterone, estrogen

By the end of sex, genital physiology, leads us

Chemical messages, at least a thousand hormones

Who play their score in our bodies, dring-dring, that sounds

But at least, sexuality

It is good for the healt

It's not like the cigarette

Because for the lungs, this is not a party

One hundred million people died

In the last century

From one addiction to another, you have to compensate

When almost any pleasure, we are private

The job of living, we are poorly paid

April 26, 1986, Chernobyl

Hundreds of thousands of liquidators in a row

And over the years, all going to die, it goes

While 700 kg of iodine

Many horrible ends, it could have avoided

At least right after the accident

Nothing was done, it is edifying

Faced with all this terrifying

From childhood, there is school, there are parents

Sodium pentobarbital is a benevolence

From this world of capital and its malfeasance

From this reactionary world

Of all identity families

Of all the reactionary families

Of all the fascists, of all the doctrinaires

Almost everything is throwing up

I dare say it

It is ultimately death that is the only deliverance!

Patrice Faubert (2018) puète, peuète, pouete, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway index"

Original: Pentobarbital de sodium