Paraphysique de l'isonomie et du dressage

by Patrice Faubert Thursday, Dec. 28, 2017 at 6:59 AM

Dressage de l'éducation, l'éducation du dressage...

C'est le dressage

Qui fait tous les carnages

C'est l'éducation du dressage

Le dressage de l'éducation

A l'école, à l'usine, au bureau, au lycée

Au stade, en prison, au piano, à l'université

En voiture, en avion, en train, en bateau

Nous sommes dressés

Femmes, hommes, enfants, c'est notre totalité

Par notre environnement

Par notre conditionnement

Ce que nous lisons

Ce que nous entendons

Ce que nous voyons

Ce que nous croyons

De la façon

Dont notre cerveau est codé

Comme un système dynamique

Propre à cette mathématique

Analyse des probabilités

Probabilités des analyses

Dressage de l'équation

L'équation du dressage

Des modèles de la probabilité

De la probabilité des modèles

Ici en langage philosophique

Que pourrait traduire la mathématique

Violence de la transformation

Transformation de la violence

Comme davantage de travail

Et donc plus d'argent

C'est le mensonge qu se ment

Contre cela, pas d'éventail

Les gens veulent de l'argent

Pour se loger, manger, se soigner

Les gens ne veulent pas de travail

Mais l'argent du travail

N'est que le travail de l'argent

De l'argent qui nous raille

Si au moins

Les transports, tous les transports

Devenaient gratuits, dans le monde entier

Pour tous et toutes, pouvoir enfin se déplacer ou voyager

De ville en ville, de port en port

Après tout

Nous transportons nos 206 os avec nous

Notre 1, 5 kg de microbes avec nous

De tous les jours, c'est notre roue

Des idées bien dressées

Qui savent si bien nous diviser

Cela produit de la lutte des classes

Qui forcément, jamais ne se lasse

Comme les 3524 morts et mortes

De la guerre d'Irlande, de la sorte

Sans compter tous les chagrins mortels

De tous les eux, de toutes les elles

UVF, UDR, des loyalistes protestants

Avec l'armée anglaise, des riches partisans

Avec l'impérialisme britannique

Rien de religieux, mais une guerre politique

Car ici, ce sont les pauvres qui sont catholiques

Avec l'IRA, l'armée de la République

De 1968 à 1998, ce fut un éternel Titanic

Dont la construction débuta à Belfast

C'était en 1909, un vrai faste

Puis, ce fut la guerre, logique

Puis ce fut la paix, toute théorique

En 1998 par les accords de Belfast

Mais tout est si fragile

Quand les haines ne sont pas futiles

Même si toutes les guerres sont les mêmes

C'est la surpopulation, aussi, qui les sème !

Chair à profit, chair à canon

Dictature rime souvent avec surpopulation

Il faut une décroissance totale

Surtout dans le domaine natal

Plus aucun enfant ne devrait naître

Pour que l'humanité puisse renaître

Et comme partout, tout se privatise

La fausse conscience se modélise

La pensée séparée se prise

Elles sont devenues les façons de vivre

Le système à tous les domiciles, il les livre

C'est cela qui nous habille

C'est cela qui nous pense

C'est cela qui nous réfléchit

C'est cela qui nous nourrit

C'est cela qui nous construit

Comme le train, de plus en plus pourri

C'est de plus en plus cher, dans tous les pays

C'est l'autorité de la concurrence

La concurrence de l'autorité

Et des lignes TER si dangereuses

Que des cheminots les trouvent périlleuses

C'est pour les pauvres, pas d'entretien

C'est pas rentable, le capital est un vaurien

Et en France, en 2019, des opérateurs privés

La SNCF, qui fut fondée le premier janvier 1938

Risque ainsi d'être un jour, regrettée

Mais la privatisation, c'est déjà fait, à la vérité !

Payer, toujours payer

Pour se loger, pour se déplacer ou voyager

Pour manger, dormir, pour baiser

C'est toujours donnant donnant

Rien, ainsi, n'est gratuit, c'est navrant

Nous devons faire ceci ou cela

Pour en échange avoir ceci ou cela

Il faut faire sa parade

Et cela n'est pas une charade

Dans la vie de tous les jours

A la marchandise, il faut faire sa cour

Sinon, plus aucun bonjour

Il faut jouer le jeu

Il faut y aller de son feu

Pour du mâle, pour de la femelle

Pour un restaurant, pour un cinéma

Pour un ceci, pour un cela

L'humanité se cherche des querelles

Il faut avoir un travail

Que jamais la bouche ne baille

Il faut avoir des enfants

Il faut devenir des parents

Il faut être avidement

Une église, une secte, une idée, un parti, une patrie

Sinon, c'est l'horreur, c'est l'anarchie

Il faut se conformer à toutes les saloperies

Alors

Qu'il faudrait tout arrêter

Alors

Qu'il faudrait tout lâcher

Tout repenser, tout recommencer

Mais nos racines

Ce sont nos certitudes

Mais nos racines

Ce sont nos habitudes

Pas moyen de s'en défaire

Là, sont nos véritables fers !

Comme aussi

Toute expression, toujours toute faite

A laquelle, tout dressage se prête

Comme ne pas faire son âge

L'on fait toujours son âge

A défaut de faire son âge

Physiologiquement et surtout historiquement

Mais c'est plus ou moins évident

Si l'on a vécu 10 ans

Si l'on a vécu 20 ans

Si l'on a vécu 40 ans

SI l'on a vécu 60 ans

5, 20, 30 , 40, 60, 80, 120 ans

Dans le corps, cela s'inscrit

Dans l'esprit, cela s'inscrit

Après c'est de l'apparence

Qui est toujours de la fausse confidence !

Et en France, 31 pour cent

Des gens, en 2050, auront plus de 60 ans

Et adviendra, le monde de la voiture automatique

Pour des personnes fébriles, le tout robotique

L'organisation de la vie, si triste

Avec si peu de joie, si pessimiste

Cela fait le tourisme djihadiste

Des jeunes paumés y vont en vacances

Puis l'on y fait son lit, en permanence

Pour la gloire, l'aventure, l'émotion, la passion

L'amitié, l'attractivité, d'une vie en transition

Cela séduit plus que l'alibi de la religion

Psychologie du terrorisme

Ou terrorisme de la psychologie

Mais c'est le capitalisme

Qui contient et entretient tous les totalitarismes

Mais toute explication est forcément réductrice

Dans ce monde où TOUT devient complice

Ipso facto, il faut se soumettre, obéir

Fausse isonomie, des miroirs qui nous mirent

C'est là, tout le dressage

Le capital, partout, ravage

Comme le virus Ebola, comme le virus sida

De la prostitution de Kinshasa

1920 Ebola, 1984 sida, avant et déjà

C'était le colonialisme au Congo

Tintin au Congo, c'est pas beau

Tout se propage, tout se mondialise

Chacun, chacune, y porte sa valise

Dressage des mentalités

Mentalités du dressage

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité " hiway.fr "



It's the dressage

Who makes all the carnage

It's dressage education

Education training

At school, factory, office, high school

At the stadium, in prison, at the piano, at the university

By car, plane, train, boat

We are trained

Women, men, children, it's our totality

By our environment

By our conditioning

What we read

What we hear

What we see

What we believe

In the manner

Whose our brain is coded

As a dynamic system

Specific to this mathematical

Probability Analysis

Probability of analyzes

Dressing the equation

The equation of dressage

Probability models

The probability of the models

Here in philosophical language

What could the mathematics translate

Violence of transformation

Transformation of violence

Like more work

And so more money

This is the lie that lies

Against this, no fan

People want money

To lodge, eat, heal

People do not want work

But the money from work

Is only the work of money

Money that scoffs at us

If at least

Transport, all transports

Become free, all over the world

For all, to finally be able to move or travel

From city to city, from port to port

After all

We transport our 206 bones with us

Our 1.5 kg of microbes with us

Everyday, it's our wheel

Well-formed ideas

Who know so well divide us

This produces class struggle

Which inevitably, never gets tired

Like the 3524 dead and dead

From the Irish War, so

Not to mention all the mortal sorrows

Of all them, of all them

UVF, UDR, Protestant Loyalists

With the English army, rich supporters

With British imperialism

Nothing religious, but a political war

Because here it is the poor who are Catholics

With the IRA, the Army of the Republic

From 1968 to 1998, it was an eternal Titanic

Whose construction started in Belfast

It was in 1909, a real show

Then, it was the war, logical

Then it was peace, all theoretical

In 1998 by the Belfast Accords

But everything is so fragile

When hatreds are not futile

Even if all wars are the same

It is the overpopulation, too, that sows them!

Chair at profit, cannon fodder

Dictature often rhymes with overcrowding

It takes a total decrease

Especially in the native domain

No more children should be born

For humanity to be reborn

And as everywhere, everything is privatized

False consciousness is modeled

Separate thought is taken

They became the way of life

The system at every home, he delivers them

That's what dresses us

That's what we think

That's what makes us think

That's what feeds us

That's what builds us

Like the train, more and more rotten

It's more and more expensive, in every country

It's the competition authority

Competition from the authority

And TER lines so dangerous

That railwaymen find them perilous

It's for the poor, no maintenance

It's not profitable, capital is a rascal

And in France, in 2019, private operators

SNCF, which was founded on the first of January 1938

Risk of being a day, regretted

But privatization is already done, indeed!

Pay, always pay

To stay, to move or to travel

To eat, sleep, to fuck

It's always giving giving

Nothing, so, is free, it's heartbreaking

We must do this or that

In return for having this or that

You have to do your parade

And this is not a charade

In everyday life

To the goods, it is necessary to make his court

Otherwise, no more hello

You have to play the game

You have to go there from his fire

For the male, for the female

For a restaurant, for a cinema

For one this, for one this

Humanity is looking for quarrels

You have to have a job

That never the mouth quails

You have to have children

You have to become parents

You have to be avidly

A church, a sect, an idea, a party, a homeland

Otherwise, it's horror, it's anarchy

You have to comply with all the crap

So

That we should stop everything

So

That we would have to let go

Rethink everything, start all over again

But our roots

These are our certainties

But our roots

These are our habits

No way to get rid of it

There, are our real irons!

Like too

Any expression, always made

To which, all dressage is suitable

Like not doing his age

One always makes one's age

Failing to age

Physiologically and especially historically

But it's more or less obvious

If you have lived 10 years

If you have lived 20 years

If you have lived 40 years

IF we lived 60 years

5, 20, 30, 40, 60, 80, 120 years

In the body, this fits

In the spirit, this fits

After that is the appearance

Who is always false confidences!

And in France, 31 percent

People in 2050 will be over 60

And will come, the world of the automatic car

For febrile people, all robotic

The organization of life, so sad

With so little joy, so pessimistic

This makes jihadist tourism

Paumed young people go on vacation

Then you make your bed, permanently

For glory, adventure, emotion, passion

Friendship, attractiveness, a life in transition

This seduces more than the alibi of religion

Psychology of terrorism

Or terrorism of psychology

But it's capitalism

Which contains and maintains all totalitarianisms

But any explanation is necessarily reductive

In this world where ALL becomes an accomplice

Ipso facto, one must submit, obey

False isonomy, mirrors that put us

This is where all the training

Capital, everywhere, ravage

Like the Ebola virus, like the AIDS virus

Kinshasa prostitution

1920 Ebola, 1984 AIDS, before and already

It was colonialism in Congo

Tintin in Congo, it's not beautiful

Everything is spreading, everything is globalizing

Each, each, carries his suitcase

Dressage mentalities

Dressage mentalities

Patrice Faubert (2014) puete, peuete, pouete, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest "hiway.fr"

Original: Paraphysique de l'isonomie et du dressage