Dadaïsme, lettrisme, paraphysique

by Patrice Faubert Tuesday, Sep. 12, 2017 at 6:30 AM

Toute guerre est ennemie de l'humanité...

Et même si je passe, du coq à l'âne

Vraiment cela n'est pas une vanne

Et même si je n'ai pas besoin d'encouragements

Car je ne sais pas écrire autrement

J'en reçois d'OverBlog, c'est étonnant, mais gratifiant

Qui se scandalise de mes censures sur Indymédia Grenoble

Mais je ne suis, ni ouvrier, ni bourgeois, ni noble

Mais OverBlog trouve mes titres étranges

C'est vrai, de dadaïsme, je les lange

Et aussi des textes sans aucun paragraphe et trop longs

Je l'admets, suis pas aussi con

Mais je fais ce que je peux

Ma respiration a besoin d'un long feu !

Et puis c'est le guinness des records

Des textes refusés chez Indymédia Grenoble, je fais fort

J'attends l'homologation, encore merci, aucun tort !

Dadaïsme, lettrisme, paraphysique

Tout est une suite logique

A qui cela plaît vraiment, aucune critique

Rien n'est plus dictatorial

Qu'un projet de société

Par le fascisme libéral, imposé

Puis quelques sondages pour le légitimer

Toujours des pour, des contre, c'est banal

De grande habileté sont les gens du capital !

Pour des régions, des départements

Pour ceci, cela, toutes sortes d'événements

Tous les gens deviennent le tyran

C'est un monothéisme idéologique

Dont le nouveau feu ( v8 v64 ) Paul de Tarse, est l'argent

Et plus de feu ( 37-68 ) Néron pour le décapiter

Le monde de l'économie hystérique

Au moins feu ( ?-1338 ) Akhénaton

N'adorait que le soleil, c'est plus joli

Que le monothéisme de feu Isaï

Anabase des batailles de la domination

Comme en 1882, les petits enfants soldats

A l'école en France, on marchait au pas

Cela défilait avec des fusils en bois

A moins de 5 ans, c'était pas l'enfant roi

La défaite de 1870, il fallait venger

Ô douce France, pour l'allemand, le manger

Pour la guerre préparer les esprits

Le même qui plus tard fera le nazi

Et tous les maux des mots, que la patrie chie !

De nos jours, l'argent remplace parfois le fusil

Il est devenu la vie

Comme 20 millions de personnes

Qui prostituent leurs corps dans le monde

C'est la misère sexuelle qui gronde

C'est le business qui tonne

Le mot de tous les records

Qui est de tous les bords

Et qui sur internet est le plus sollicité

Est le mot sexe avec 594 millions de réponses

300 sites pornographiques, chaque jour, créés

Souvent le sexe est conservateur

Dans la sphère publique, l'église et ses valeurs

Et plus déluré dans la vie privée

Privée de tout, en réalité

Parfois la prostitution est légalisée

Comme à Berlin, la cuisse en chaleur

Avec ses 700 maisons spécialisées

En France, c'est l'hypocrite business généralisé

Où l'on teste même la fidélité

Et tous les sites de rencontres

Où contre la vie, tout est contre

Des marchandises peuvent s'échanger

Aucune affinité, juste de la sexualité

Et le plus souvent c'est d'ailleurs du vent

Pour au naïf, faire dépenser son argent

Sinon, une partie de baise

Mais le compte en banque à l'aise !

Organisation du mensonge

Mensonge de l'organisation

Le capital, tous les jours est immonde

Et de toutes ses prostitutions, il nous inonde !

C'est de la douleur chronique

Comme 15 millions de personnes en France

Sensorielle, émotionnelle, même romance

La douleur chronique dure de 1 jour à 3 mois

Pour l'aiguë, pas la même loi

Sur l'échelle de 0 à 10, du capital

Qui est douleur physique ou douleur morale

Des douleurs physiologiques

Des douleurs inflammatoires

Des douleurs neuropathiques

Des lésions neurologiques

Aux interactions multidimensionnelles

Et plus nous créons de nouveaux neurones

Dans cette paradoxale neurogenèse

Et plus s'effacent les anciens souvenirs

Et ainsi rien ne peut finir

Et ainsi tout peut finir

Pour que les atrocités réapparaissent ou se taisent

C'est le mystère de l'amnésie infantile

Pour toi, moi, eux, elles, ils

De toutes façons

En nous, tout s'inscrit, c'est prouvé

Les expériences ne sont jamais oubliées

Nos traces en sont les leçons

Et toujours des guerres, jamais nous n'évoluons

Comme en Syrie, déjà 100.000 défunts et défuntes

Tortures, viols, massacres, les mortelles étreintes

Il y a tant de ( né en 1965 ) de Bachar el-Assad, cette ordure

Avec le soutien de ( né en 1952 ) Vladimir Poutine, et d'autres raclures

A côté, nos poubelles sont propres, c'est sûr

A côté des tyrannies, à côté des pourritures

Et la surpopulation nourrit les tyrannies

Elles veulent de la chair à canon, de la chair à profit

Le capitalisme est un bordel, c'est pas l'anarchie

La contraception est une nécessité

Comme l'avortement, pour la rattraper !

Il n'y a pas d'instinct maternel ou paternel

Il n'y a que du conditionnement culturel

Et pour tous nos comportements les plus pathologiques

Nous avons toujours, pour les justifier, des discours logiques

Et tous les gens en marge

Qui crient en vain leur rage

Sont pourtant, de la société, les véritables sages

Car c'est pareil à tous les étages

Organismes bientôt génétiquement augmentés

Organismes génétiquement modifiés

La génétique n'est pas intelligente, c'est de la technicité !

Les marchés sont dans le monde, en Europe

Le capital est interlope

Comme les méduses

Qui jamais ne s'usent

Pullulation, gélification, régénération

Et plus mortelles que les requins

50 décès par an, méduses, 10 décès par an, requins

Ce que risque vraiment l'être humain

Et moins de tortues pour les manger

La méduse c'est pourtant 98 pour cent d'eau

Quelques millimètres à plusieurs mètres, froid ou chaud

Pas les mêmes espèces, elles prolifèrent, aucune solution

Elles nous piquent, de toutes façons

Le capital est une méduse, c'est pas bon !

A la recherche de nos vies absentes

L'industrie des animaux de compagnie

Substituts affectifs, aux panoplies conséquentes

Il n'y a pour l'être humain qui vit

De langage poétique ou artistique

Car son langage est déjà en soi-même

Un art naturel où se pose la valeur des mots

Seulement l'essentiel quand vraiment l'on aime !

Toute guerre est ennemie de l'humanité

La guerre n'a que la guerre pour alliée

Comme les bombardements des alliés de 1940/1945, c'est oublié

Qui ont fait 420.000 victimes au Japon

Qui ont fait 420.000 victimes en Allemagne

Qui ont fait 60.000 victimes en France

En France, donc, c'était les alliés

Du travail d'ivrogne, sans précision, bâclé

Les bourgeoisies partaient

Le peuple, lui, restait

Et comme d'habitude, c'est lui qui trinquait !

Les cibles étaient les civils

Car cela n'était jamais dans le mille

Et du maxiton pour les aviateurs

Qui se savaient devenir des tueurs

100.000 furent tués d'ailleurs

Bavures et dommages collatéraux

Que le langage militaire est beau

Les chefs militaires sont des salauds !

Le gauchisme est la roue de secours du capitalisme

Et elle le sait bien l'idéologie capitaliste

Je n'ai rien à aménager ou à ménager

Je n'ai pas d'ambition, aucune vraie prétention

Inutile de me flatter, de me critiquer

Ma bouche n'aime que les nichons

Je suis l'homme invisible, un passe-muraille

Dans ce monde où tout fait aïe, aïe, aïe

Il faut provoquer un peu de réflexion

Car TOUT est en prison

Et pour renverser tous les rois

Il faut aussi écrire contre soi !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "



And even if I pass, of the cock to the donkey

Really that is not a valve

And even if I do not need encouragements

Because I cannot write differently

I receive some from OverBlog, it is astonishing, but gratifying

Who scandalizes my censures on Indymédia Grenoble

But I am, neither blue-collar worker, neither middle-class man, nor noble

But OverBlog finds my titles strange

It is true, of dadaism, I swaddle them

And also of the texts without any paragraph and too long

I admit it, am not also idiot

But I do what I can

My breathing needs a failure!

And then it is the guinness of the records

Texts refused at Indymédia Grenoble, I make extremely

I expect approval, still thank you, any wrong!

Dadaism, lettrism, paraphysic

All is an obvious result

With which that really likes, no criticism

Nothing is dictatorial any more

That a society project

By liberal Fascism, imposed

Then some surveys to legitimate it

Always for, of against, it is banal

Of great skill are people of the capital!

For areas, departments

For this, that, all kinds of events

All people become the tyrant

It is an ideological monotheism

Whose new fire (v8 v64) Paul de Tarse, is the money

And more fire (37-68) Néron to decapitate it

The world of the hysterical economy

At least fire (? - 1338) Akhénaton

Adored only the sun, it is prettier

That the monotheism of fire Isaï

Anabase of the battles of the domination

As in 1882, the small children soldiers

To the school in France, one walked to the step

That ravelled with rifles out of wooden

With less than 5 years, it was not the child king

The defeat of 1870, it was necessary to avenge

Soft Ô France, for German, to eat it

For the war to prepare the spirits

The same one which later will make the Nazi

And all evils of the words, that the fatherland shits!

Nowadays, the money replaces sometimes rifle

It became the life

Like 20 million people

Who prostituent their bodies in the world

It is the sexual misery which thunders

In fact the business thunders

The word of all the records

Who is of all the edges

And which on Internet is requested the most

Is the word sex with 594 million answers

300 pornographic sites, each day, created

Often the sex is preserving

In the public sphere, the church and its values

And more woken up in the private life

Deprived of all, actually

Sometimes the prostitution is legalized

As in Berlin, the thigh in heat

With its 700 specialized houses

In France, it is the hypocritical generalized business

Where even fidelity is tested

And all meeting places

Where against the life, all is against

Goods can be exchanged

No affinity, just of sexuality

And generally it is wind besides

For with naive, to make spend its money

If not, part of kisses

But the bank account at ease!

Organization of the lie

Lie of the organization

The capital, the every day is unclean

And of all its prostitutions, it floods us!

It is chronic pain

Like 15 million people in France

Sensory, emotional, even romanticizes

The chronic pain lasts of 1 day in 3 months

For the acute one, not the same law

On the scale from 0 to 10, capital

Who is physical pain or mental pain

Physiological pains

Inflammatory pains

Neuropathic pains

Neurological lesions

With the multidimensional interactions

And more we create new neurons

In this paradoxical neurogenèse

And more the old memories are deleted

And thus nothing can finish

And thus all can finish

So that the atrocities reappear or keep silent themselves

It is the mystery of the infantile amnesia

For you, me, them, they, they

In any case

In us, is very registered, it is proven

The experiments are never forgotten

Our traces are the lessons

And always of the wars, never we do not evolve

As in Syria, already 100,000 late and late

Tortures, rapes, massacres, hugged mortals

There is such an amount of (born in 1965) Bachar el-Assad, this refuse

With the support of (born in 1952) Vladimir Poutine, and other scrapings

At side, our dustbins is clean, it is sure

Beside tyrannies, beside the rots

And overpopulation nourishes tyrannies

They want cannon fodder, flesh with profit

Capitalism is a brothel, it is not anarchy

Contraception is a need

How the abortion, to catch up with it!

There is no maternal or paternal instinct

There is only cultural conditioning

And for all our most pathological behaviors

We always have, to justify them, of the logical speeches

And all people in margin

Who shout their rage in vain

Are however, company, the true wise ones

Because it is similar on all the floors

Organizations soon genetically increased

Genetically modified organisms

The genetics is not intelligent, it is technicality!

The markets are in the world, in Europe

The capital is shady

As jellyfishes

Who never do not wear

Pullulation, gelation, regeneration

And more mortals that sharks

50 deaths a year, jellyfishes, 10 deaths a year, sharks

What risk really the human being

And less tortoises to eat them

The jellyfish it is however 98 percent of water

A few millimetres with several meters, cold or heat

Not the same species, they proliferate, no solution

They prick us, in any case

The capital is a jellyfish, they are not good!

In search of our lives absent

The industry of the pets

Emotional substitutes, with the consequent panoplies

There is not to it human being which lives

Of poetic or artistic language

Because its language is already in oneself

A natural art where the value of the words is posed

Only essence when really one likes!

Any war is enemy of humanity

The war has only the war for allied

Like the bombardments of the allies of 1940/1945, it is forgotten

Who claimed 420,000 lives in Japan

Who claimed 420,000 lives in Germany

Who claimed 60,000 lives in France

In France, therefore, they were the allies

Work of drunkard, without precision, skimped on

The bourgeoisies left

The people, it, remained

And as usual, it is him who clinked glasses!

The targets were the civilians

Because that was never in the thousand

And of the maxiton for the aviators

Who could themselves become killers

100,000 were killed besides

Burs and collateral damages

That the military language is beautiful

The military chiefs are bastards!

The leftism is the spare wheel of capitalism

And it knows it well the capitalist ideology

I do not have anything to arrange or spare

I have ambition, no true claim

Useless to flatter me, to criticize me

My mouth likes only the tits

I am the invisible man, a pass-wall

In this world where very fact have, have, have

A little reflection should be caused

Because ALL is in prison

And to reverse all the kings

It is also necessary to write against oneself!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”

Original: Dadaïsme, lettrisme, paraphysique