L'anarchie contre l'idéologie

by Patrice Faubert Monday, Jul. 17, 2017 at 5:51 AM

L'idéologie contre l'anarchie...

" Notre cerveau a non seulement la capacité, en fonction des expériences que

nous vivons, de modifier, de reconfigurer durant toute notre existence, les réseaux

de connexions entre les cellules nerveuses qui sous-tendent notre mémoire et nos

activités mentales, il a aussi la capacité de renouveler une partie au moins des cellules

nerveuses qui le composent. "



Jean-Claude Ameisen ( né en 1951 ) " Sur les épaules de Darwin , les

battements du temps " Ed : Babel



Quand les hommes

Seront festifs et non plus sportifs

Quand tout soi sera moi

Quand tout autre sera soi

Et pourtant si différents

Dans les câlins, enfin savants !

Les seins des femmes

Toutes les rondeurs

Toutes les saveurs

Petits, moyens, gros

C'est si doux sur la peau

Je suis un obsédé sexuel

Toutes les femmes sont belles

Certes, très peu nous correspondent

Dans les fantasmes qui nous inondent

J'aime les parfums de cocotte

A mon cerveau reptilien, cela botte !

Mais à tout, je suis hors contexte

Si tout est lié, pourtant, c'est le texte

Le capital, c'est une thésaurisation des déchets

Cela s'affiche partout, tout le monde le sait

Au moins un million de tonnes de déchets toxiques

Sous la mer, les océans, les armes chimiques

Une bombe à retardement

C'était un secret

Même pas, pour les niais

Comme les peurs alimentaires

Qui sont elles, réactionnelles, et pas réactionnaires

Comme les couleurs qui ont une histoire

Selon les époques, une sacrée foire

Et le drapeau noir

Et le drapeau rouge

Et le drapeau blanc

Une sensation rétinienne

Que la politique fait sienne

Tout est une convention

Selon les cultures, selon les affections

Les couleurs sont des signalisations

Qui sont socialement une signification

Les paysans et le visage bronzé

Les aristocrates et le visage enfariné

Jadis, du moins

De nos jours, tout est mélangé

C'est beaucoup plus dilué

Pour s'y retrouver, il faut être malin !

Comme tous les prétentieux

Des rois de la picole

Des rois de la bricole

Les rois de ceci, de cela, pauvres fous

Ceux et celles qui savent tout sur tout

Les moi que voilà, les gros bras

Nous en connaissons tous et toutes ,ils et elles sont partout !

Toujours forts et fortes avec les faibles

Et souvent à s'écraser devant la richesse ou la hiérarchie

La base du fascisme, du populisme, le sida de la vie

Ce sont des grandes gueules

Sur tout ce qui est beau, cela dégueule

Et cela vote pour la répression

Cela participe à toutes les oppressions

Certes, erreur est toute généralisation

Le fascisme est dans nos têtes

Partout, tout lui fait fête

Fascisme subtil ou fascisme bête

Tout y participe

Tout l'émancipe

Nos relations secrètement hiérarchisées

Selon nos salaires, nos propriétés

Et surtout selon nos idées

De supériorité et donc d'infériorité

Moi, toi, eux, ils, elles

Personne n'échappe à cette ribambelle

Et après

Que nous importe

Les 715 exoplanètes

D'un seul coup, découvertes

Dont 4 seraient en zone habitable

Cela ne rend pas notre monde plus supportable

Et qui rendra la vie

A tous les millions d'oiseaux

Oui, c'est pas beau

Qui s'écrasent contre les baies vitrées, les fenêtres

Et c'est fini

Il y a déjà les chats

Vraiment pas besoin de cela !

C'est sur notre planète Terre

Que cela se passe, rien à faire

Par ailleurs, nous faire rêver, nous faire taire

Et une femme sur 22 environ

Du cancer du sein, mourra

C'est notre monde d'inhumanité, voilà !

75 pour cent des enfants

25 pour cent des adultes, des parents

Les pourcentages des maladies rares

Par ailleurs, la réalité n'est jamais avare

Nous avons beaucoup de livres

Mais nous ne savons pas vivre

La pensée séparée

S'affiche ABSOLUE, dans toutes les activités !

Je ne suis pas lu

Je ne suis pas cru

Forcément, la réflexion

Depuis longtemps est en prison

Le fric, le fric, le fric

Le flic, le flic, le flic

Les patrons, les médias, les multinationales

Et tout le personnel politique, qui propage le mal

Et qui est le représentant de commerce du capital !

Pour protéger la domination

Pour entretenir la crétinisation

Et les transports en commun

La foire des bestiaux, la foire des humains

Quand de ce monde totalement merdique

Riches ou pauvres, même misère psychologique

Des bras de fer, et c'est permanent

Des rapports de force, et pour tous les gens

Tirons la chasse de ce mal

Et vive la casse du capital

Quand les femmes

Auront les cuisses ouvertes

Quand les femmes

Auront les vulves offertes

Non plus à la richesse, à la violence

Mais à la gentillesse

Mais à la révolution du silence

Non plus à la sécurité

Et son corps, au plus sécurisant, prostituer

Mais au partage, à la globalité

Non pour avoir des enfants

Non pour devenir des parents

Mais pour la communion sexuelle

Sans possession, fugitif ou éternel

Le ciment de la pensée idéelle

Pour cela, plus de pensée séparée

Pour cela, toutes nos idées sont à jeter !

C'est cela la vraie création

Qui n'a plus besoin de représentation

Le plus beau tableau

A la réalité est toujours un faux

Le plus beau poème

A la vie n'est pas bohème

Quand les hommes ne seront plus sportifs ou artistes

Des ceci ou des cela, et même des anarchistes

Mais simplement des hommes

Sans aucun premier tome

Sans aucune comparaison

Sans aucune compétition

Et peu importe

Que le micron soit un gros

Face au nanomètre qui fait le beau

Que la chimie prébiotique

Des archéobactéries à nos mimiques

Du zircon, anode graphite lithium

De nos batteries de téléphone, le summum

Du besoin de 17 muscles pour pouvoir rire

De l'action de 43 muscles pour froncer les sourcils

Moi, toi, eux, elles, ils

De la tectonique et du métamorphisme

Il faut congédier tous les dogmatismes

Donc, toutes nos idées, toujours reçues, nos formalismes

Toujours la vie, jamais la mort, de la sorte

L'anarchie est pour cela, la seule porte !



Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "



“Our brain has not only the capacity, according to the experiments that

we live, to modify, reconfigure during all our existence, the networks

connections between the nervous cells which underlie our memory and our

mental activities, he has also the ability to renew a part at least of the cells

nervous which composes it. “



Jean-Claude Ameisen (born in 1951) “On the shoulders of Darwin, them

beats of time “ED: Babel



When men

Will be festive and either sportsmen

When all oneself is me

When very other is oneself

And yet so different

In tender, the finally erudite ones!

Centres of the women

All roundnesses

All flavours

Small, average, large

They is so soft on the skin

I one am sex maniac

All the women are beautiful

Admittedly, very little corresponds to us

In the phantasms which flood us

I like the perfumes of casserole

With my reptilian brain, that puts boots on!

But with all, I am except context

If all is bound, however, it is the text

The capital, it is a hoarding of waste

That is displayed everywhere, everyone knows it

At least a million toxic tons of waste

Under the sea, the oceans, the chemical weapons

A bomb with delayed-action

It was a secrecy

Even not, for denied

Like the food fears

Who are they, reactional, and not reactionaries

As the colors which have a history

According to the times, one crowned fails

And the black flag

And the red flag

And the white flag

A retinal feeling

That the policy endorses

All is a convention

According to the cultures, the affections

The colors are indications

Who are socially a significance

Peasants and the bronzed face

Aristocrats and the covered with white powder face

Formerly, at least

Nowadays, all is mixed

It is diluted much more

To find itself there, it is necessary to be malignant!

Like all the pretentious ones

Kings of boozes

Kings of the trifle

Kings of this, that, the insane poor

Those and those which know all about all

Ego that here, the large arm

We know all of them and all, they and they are everywhere!

Always strong and strong with the weak ones

And often to be crushed in front of the wealth or the hierarchy

The base of Fascism, the populism, the AIDS of the life

They are large mouths

On all that is beautiful, that throws up

And that votes for repression

That takes part in all oppressions

Admittedly, error is very generalization

Fascism is in our heads

Everywhere, all makes him festival

Subtle Fascism or stupid Fascism

All takes part in it

All emancipates it

Our secretly hierarchical relations

According to our wages, our properties

And especially according to our ideas

Of superiority and thus of inferiority

Me, you, them, they, they

Nobody escapes this long string

And afterwards

That we imports

715 extrasolar planets

At a stretch, discovered

4 would be in livable zone

That does not make our world more bearable

And which will return the life

All the million birds

Yes, it is not beautiful

Who are crushed against bay windows, the windows

And it is finished

There are already the cats

Really not need for that!

It is on our planet Is in hiding

That that occurs, nothing to make

In addition, to make us dream, us to make conceal

And a woman on approximately 22

Breast cancer, will die

It is our world of inhumanity, here!

75 percent of the children

25 percent of the adults, the parents

Percentages of the uncommon illness

In addition, reality is never miserly

We have many books

But we do not know to live

The separate thought

Is displayed ABSOLUTE, in all the activities!

I am not read

I am not raw

Inevitably, the reflection

For a long time is in prison

The money, the money, the money

The cop, the cop, the cop

Owners, media, multinationals

And all the political staff, which propagates the evil

And which is the sales representative of the capital!

To protect the domination

To maintain the cretinisation

And public transport

The fair of the cattle, the fair of the human ones

When of this completely shitty world

Rich person or the poor, even psychological misery

Arm wrestling, and it is permanent

Power struggles, and for all people

Let us draw hunting from this evil

And the break-in of the capital lives

When women

Will have the open thighs

When women

The vulvas offered will have

Either with the wealth, violence

But with the kindness

But with the revolution of silence

Either with the security

And its body, with more making safe, prostituer

But with the division, globality

Not to have children

Not to become parents

But for the sexual communion

Without possession, fugitive or eternal

Cement of the idéelle thought

For that, more separate thought

For that, all our ideas are to be thrown!

It is that true creation

Who does not need more representation

The most beautiful table

With reality is always a forgery

The most beautiful poem

With the life is not Bohemian

When the men are not sporting any more or artists

This or that, and even of the anarchists

But simply of the men

Without any first volume

Without any comparison

Without any competition

And it does not matter

That the micron is large

Vis-a-vis the nanometer which makes the beautiful one

That prebiotic chemistry

Archeobacteries with our mimicry

Zircon, anode graphite lithium

Of our batteries of telephone, height

Need for 17 muscles to be able to laugh

Action of 43 muscles to wrinkle the eyebrows

Me, you, them, they, they

Tectonics and metamorphism

All dogmatisms should be dismissed

Therefore, all our ideas, always received, our formalisms

Always life, never death, of the kind

Anarchy is for that, the only door!



Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”

Original: L'anarchie contre l'idéologie