Real humans ou la pensée conditionnée

by Patrice Faubert Friday, May. 27, 2016 at 8:30 AM

Du conditionnement des comportements...

Machines réelles
Humains machines
Voici encore un placet
Comme toujours, à quiconque ne plaît
Devant l'aspasie artificielle
Ravies, je peux imaginer nos mines
Real humans, c'est du réchauffé
De l'ancien très amélioré
Les automates
De feu (1709-1782) Jacques de Vaucanson
Cela n'était pas du bidon
L'automate dit turc mécanique
De feu (1734-1804) Wolfgang Von Kempelen
C'était mieux que la sirène
Fameux joueur d'échecs
Réutilisé par feu (1772-1838) Johann Maelzel
Inventeur du métronome, sacré mec
Et le sublime, feu (1809-1849) Edgar Allan Poe
En fit une nouvelle, avec ses mots
" Le joueur d'échecs de Maelzel "
Feu Edgar Allan Poe qui fut assassiné
En étant, de force, saoulé à mort
Par des agents électoraux, pour un politicien, pour qui voter
La poésie, des fleurs, doit parler
Et surtout, ne jamais rien dater
La misère et la corruption
Jamais, il ne faut dénoncer !
Mais moi, je ne joue pas ce jeu
Et sur moi, l'indifférence, fait son feu !
Tant pis ou tant mieux
A la vérité, cela m'importe peu !
Donc, les robots, tels les hubots
A venir, sont en fait, déjà là
Et sont programmés par nos cerveaux
Avec des programmes sots
Et c'est assez idiot, nous sommes des hubots
Car les êtres humains sont eux-mêmes des robots
Aux faits et gestes mécaniques
Sans penser à rien, tout est automatique
Le robot est sans liberté
L'être humain est sans liberté
Une seule pièce aux deux mêmes faces
Même conditionnement et même farce !
Mais le robot
Est sans affectivité
Son conditionnement est électronique
Alors que l'être humain
A une affectivité
Son conditionnement est psychologique
Mais tout pourrait changer
Avec une mémoire artificielle
D'une affectivité implantée où se mêle le sexuel
Mais si l'être humain
Peut fabriquer et programmer le robot à son image
Les circuits électroniques
N'ont pas de sang, ils ne sont qu'une réplique
Cela pourrait être une circulation quantique
Et non pas, comme l'être humain, une circulation chimique !
Quoi qu'il en soit, la pensée est toujours conditionnée
Qu'elle soit naturelle ou artificielle
Par tous ceux et toutes celles
Qui sur la planète Terre, un jour, sont nés
Plus ou moins cent milliards
D'anciennes vies, à nous, sont mélangées
Tout se reproduit, tout est imité
En nous
Sont des milliards de morts et de mortes
Sont des milliards de vivants et de vivantes
Tout est dans tout, de la sorte !
La pensée non conditionnée
Est sans passé, sans présent, sans futur, sans âge
Elle est simultanée et perçoit tous les mirages
Elle n'appartient à personne
Ni riche, ni pauvre, ni tout, ni rien, elle étonne !
C'est le dernier niveau d'organisation
Que l'on ne peut jamais atteindre
Simplement l'envisager, pour l'étreindre
Les animaux non-humains
Sont nos esclaves , nos peluches animées
Pour nous amuser ou être mangés
Calmer nos comportements névrotiques
Remplir nos estomacs tyranniques
A leur encontre, nous justifions nos forfaits
En disant qu'ils sont bêtes, nous sommes laids !
Certes, ils n'ont pas de langage
Pour tuer, dépecer, manger, ce rusé bagage
De l'humain qui met tout en cage
Il faut évanouir la culpabilité
Pour l'animal non-humain, dévoré !
Nonobstant, nous ne volons
Pas, comme les oiseaux
Cependant, nous ne nageons
Pas, comme les poissons
Nous sommes si bêtes !
Comme les singes
Aux arbres, nous ne savons grimper
Comme les chauves-souris
Qui perçoivent les ultrasons
A cela, nous sommes dans la surdité
Nous sommes si bêtes !
Si les bêtes le savaient
Sans hésiter, elle nous mangeraient
Oui, elles sont si bêtes !
De plus, certaines bêtes savent compter
Comme les Cacatoès et les chimpanzés
Et la pie, dans le miroir, peut s'identifier !
Tout pourrait être différent
Sans aucun conditionnement, du conditionnement
De savoir, que justement, tout est conditionnement !
De ce fait, toute croyance
Est le résultat d'un apprentissage et d'un conditionnement
Il en va ainsi pour toutes les choses
Comme pour les plus belles roses
La lucidité est conditionnée
La prétendue objectivité est conditionnée
L'invention de la domination
Est la domination de l'invention
Ce qui est conditionné
Ne correspond jamais à la réalité
Sinon à la réalité de ce qui est conditionné
Et qui conditionne donc notre perception de la réalité
Toutes les politiques des gouvernements
Sont de la pensée conditionnée, qui forcément, ment !
Nos cerveaux
Sont programmés, engrammés, conditionnés
Par des apprentissages, dès la naissance, dès le berceau
Par la langue d'un pays, ou de plusieurs pays
Par les coutumes d'un pays
Par l'histoire d' un pays
Ce qui fait un nationalisme
Ce qui fait un racisme
C'est déjà une guerre
Dans tous les pays, il en va ainsi !
Tout le monde s'utilisant pour son profit
Ne pas le faire, c'est de l'anarchie
Qui des horreurs, fait fi !
Comme l'église catholique
Toujours en colique
Du côté du plus fort
Et qui a toujours tort !
Comme avec son pape François
Devant la torture, jamais en émoi
Et qui fut l'ami de feu (1925-2010) le général Eduardo Massera
En Argentine, des tortionnaires militaires et de leurs ébats
Ils se font oublier, mais sont toujours là !
La bête immonde et son produit
Est partout présente, qui se tapit !
C'est la propriété, la compétition, le profit, la religion
L'église, la rivalité, l'idéologie, la tradition
Et à la vie, ce sont des bandits
Que toutes les atrocités marient
Voter est un acte complice
A tous ces maléfices !
Le monde est nazi
Le monde est fini
Partout des pleurs dans les tombes
Et des squelettes qui pleuvent en trombe !

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "



real machines
human machine
Here is a petition
As always, anyone pleases
Before artificial Aspasia
Delighted, I can imagine our mines
Real humans, it's warmed
From the very old improved
Automatons
Fire (1709-1782) Jacques Vaucanson
This was not the can
The controller said mechanical Turkish
Fire (1734-1804) Wolfgang Von Kempelen
It was better than the mermaid
Famous chess player
Reused by fire (1772-1838) Johann Maelzel
Inventor of the metronome, holy man
And the sublime, fire (1809-1849) Edgar Allan Poe
Made him a new one, with his words
"The chess player Maelzel"
Fire Edgar Allan Poe who was murdered
Being, strength, drunk to death
By election officials for a politician who to vote
Poetry, flowers, must speak
And do not ever date
Poverty and corruption
Never, do denounce!
But I do not play this game
And me, indifference, makes his fire!
Too bad or good
In truth, it matters little to me!
So, robots, such as hubots
Coming up, are in fact, already there
And our brains are programmed by
With fools programs
And it's pretty silly, we are hubots
Because human beings are themselves robots
The facts and mechanical gestures
Without thinking about anything, everything is automatic
The robot is without freedom
The human being is without freedom
One piece with the same two faces
Same packaging and same farce!
But the robot
Is without affectivity
Its packaging is electronic
While the human being
A affectivity
His conditioning is psychological
But everything could change
With an artificial memory
In implanted affectivity where sexual meddle
But if the human being
Can make and program the robot in his image
Electronic circuits
Do not have blood, they are only a replica
This could be a quantum circulation
And not, as humans, chemical circulation!
Anyway, the thought is always conditioned
Whether natural or artificial
For all those and all those
Who on Earth one day are born
Roughly one hundred billion
Ancient lives, we are mixed
Everything happens again, everything is imitated
In US
Billions of dead and dead
Billions of living and live
Everything is in everything, that way!
The unconditioned thinking
Is no past, no present, no future, no age
It is simultaneous and collects all mirages
It belongs to no one
Neither rich nor poor, all or nothing, she surprised!
This is the last level of organization
We can never reach
Simply consider it, to hug
Non-human animals
Are our slaves, our animated stuffed animals
For fun or be eaten
Calm our neurotic behavior
Fill our stomachs tyrannical
A against them, we justify our packages
Saying they are stupid, we're ugly!
Certainly they have no language
To kill, dismember, eat, cunning luggage
The human who makes every cage
Must vanish guilt
For the non-human animal devoured!
Notwithstanding, we fly
Not like birds
However, we are swimming
Not like fish
We are so stupid!
Like monkeys
Trees, we know not climb
As bats
Who perceive ultrasound
To this, we are in deafness
We are so stupid!
If the animals knew
Without hesitation, she would eat us
Yes, they are so stupid!
In addition, some animals can count
Like Cockatoos and chimpanzees
And the pie, in the mirror, can relate!
Everything could be different
Without any conditioning, packaging
To know that precisely, everything is packaging!
Therefore, any belief
Is the result of learning and conditioning
This is true for all things
As the most beautiful roses
Lucidity is conditioned
The alleged objectivity is conditioned
The invention of domination
Is the domination of the invention
Which is conditioned
Do not correspond to reality
If not the reality of what is conditioned
And who determines our perception of reality
All government policies
Are conditioned thought, which necessarily lies!
our brains
Are programmed, engrams, packaged
By learning from birth, from the cradle
By the language of a country or several countries
For the customs of a country
For the history of a country
What makes nationalism
What makes a racism
This is already a war
In all countries, it is true!
Everyone is using to his advantage
Do not do it, it is anarchy
Who horrors, ignored!
As the Catholic Church
Still colic
The side of stronger
And that is always wrong!
As with the Pope Francis
Before the torture, never in turmoil
And who was the friend of the late (1925-2010) General Eduardo Massera
In Argentina, the military torturers and their antics
They are forgotten but are still there!
The vile beast and its product
Is everywhere, that lurks!
It is the property, competition, profit, religion
The church, rivalry, ideology, tradition
And life, these are bandits
All the atrocities marry
Voting is a knowing act
To all these curses!
The world is Nazi
The world is finite
Everywhere tears in graves
And skeletons raining down with a bang!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway.fr"