Névroses et psychoses expérimentales

by Patrice Faubert Monday, Mar. 14, 2016 at 12:21 AM

Administration de la misère, mière de l'administration...

Et de feu (1958-1988) Johan Kastenberger
Dit pumpgun-Ronnie, champion marathonien
De ce braqueur autrichien
Qui aujourd'hui, se souvient ?
Les administrations ont des listes noires
De gens qu'il faut maltraiter
De gens à tuer
Avec tout le personnel complice
Et des consignes mensonges à respecter
Cela va du pôle emploi
Pour vous exclure de vos droits
Au monde de la prison
Où du maton, vous serez la proie
Mais ce sont des instructions
Qui viennent de si haut
Qu'en cas de contestation
Vous mangez votre chapeau, personne ne vous croit !
Pas même, en France, " Le canard enchaîné "
Qui aura d'autres chats à fouetter !
Si cela a bien été fait
Vous passerez toujours pour un niais
Car l'administration du fascisme libéral
Prévoit tous les cas de figure
Si pour elle, cela tournait mal !
Elle est aux ordres, il faut briser, il faut exclure
L'administration a toujours raison
C'est toujours sa parole qui prime, au fond !
Car vous passerez pour paranoïaque
Personne ne vous croit, vous êtes un maniaque
La politique de l'administration
Est l'administration de la politique
Et les ennemis du système
Femmes et hommes, sont fichés, repérés, signalés, forcément listés
Personne ne les aime
La tyrannie veut les éliminer
Par tous les moyens, sans aucune légalité !
De tous temps, il en va ainsi
Comme la délation, qui toujours fleurit
Qui jamais, ne peut avoir le moindre ami
A part peut-être, madame haine ou madame jalousie !
La ville tutrice de la campagne
C'est depuis 1200 environ, seulement
Avant, tout dépendait du paysan
Le plus grand seigneur, en était dépendant
Certes, ce que j'écris, n'est pas militant
Je ne veux dépendre d'aucun camp
Car le militantisme
C'est le stade suprême de l'aliénation
A 62 ans, je connais le feuilleton !
Du parti a toujours raison
L'organisation a toujours raison
L'administration a toujours raison
Si nous la connaissons, la chanson !
Feu (1920-1979) Robert Boulin, un politicien
Assassiné par l'Etat français
Aurait du dire publiquement
Et ouvertement, ce qu'il savait
Il aurait ainsi, sauvé sa peau, tout simplement
Il avait des dossiers secrets
Sur des gens du gouvernement, de son temps
Dire qu'il ne comptait pas se suicider
Et adresser les documents à des journaux, du type "Le canard enchaîne"
S'il avait fait ceci, il eut été sauvé !
Il faut tout rendre dehors
La vérité encore plus honteuse
En la livrant au public
Qu'ainsi, elle devienne frénétique !
Car c'est toute une mathématique
Où absolument tout, est politique
Surtout ce que j'écris, nouvelle alchimie
La prétention d'être sans prétention
L'abîme se repeuple, on touche le fond
Sans cesse, de plus en plus, profond
Comme le dernier soupir
De quelqu'un qui va bientôt mourir
Comme la magie du chiffre 7
Dont la racine septième, ô féerie
De cinquante 7
Est 13,404.946
Le chiffre 7 est une miss
Dans la symbolique, aux autres, est une éclipse
Comme à l'époque, en France
Où le paysan, dans la pomme, d'Adam et Eve
Croyant dans cette fève
En 1381, la révolte des paysans, en transe !
La paraphysique est un langage codé
Pour des coquillards d'aujourd'hui, de rares initiés
Chaque pays a son " Front National "
Et ce qui fait vraiment mal
C'est que ses idées
Sont depuis un certain temps, en train de gouverner !
Tout le reste, c'est de la mise en scène
Avec pour le dire, de belles sirènes
Et chaque année, les mêmes étrennes
Cette poésie sera surannée, écrite en vain
Quand tout cela sera devenu faux, c'est pas pour demain !
Les années 2000
Sont sans réelle curiosité
Les années 2000
Sont sans réelle générosité
Les années 2000
Sont sans réelle solidarité
Et la folie de la marchandise, est institutionnalisée
Qui fait passer pour fou, l'homme révolté
L'homme toujours chômé
Qui ne veut participer
Et ce le moins possible, à la société aliénée
Celui qui ne se réclame que de l'expression libérée
De la liberté d'expression totalement camisolée !
De toute organisation, est le réprouvé
De toute machination est la victime désignée
La hiérarchie est partout
Quand elle est cachée, surtout
C'est encore plus pervers, plus flou !
C'est moins évident dans le milieu dit "révolutionnaire"
Et plus flagrant, dans la mouvance réactionnaire
Mais, toujours le même mensonge répété
De quatre fragments du capitalisme, opposés
Et qui en fait, sont intégralement liés
Extrême gauche, gauche, droite, extrême droite
Ont fait le serment, de la vie étroite
De peur, toujours moite
Sont une seule et même chose
A la vie, veulent les mêmes doses
De mort, comme tout, ce qui dorénavant, paraît à la télévision
C'est la grande famille de la réaction
Et ce, sans la moindre exception
Aux oubliettes, vous êtes, sinon !
Les administrations de la misère
Qui contre le fiché, sont en guerre
Sont des laboratoires
Pour des névroses expérimentales
Pour des psychoses expérimentales
Elles font tout, pour nous rendre fous !
Subtilement ou manifestement, elle donne des coups
Personne n'y échappe, c'est la foire
C'est l'insécurité sociale
L'administration de la pauvreté, à la révolte, fait mal !

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


And fire (1958-1988) Johan Kastenberger
Said pumpgun-Ronnie, marathon champion
This Austrian robber
Who today remembers?
Administrations blacklists
People need to maltreat
People kill
With all staff accomplice
And lies instructions to follow
This ranges from the employment center
To exclude your rights
World prison
Where the prison guard, you will be the prey
But these are instructions
Who just so high
In case of dispute
You eat your hat, nobody believes you!
Not even in France, "The Duck chained"
Who will have other fish to fry!
If this has been done
You always pass for a fool
Because the administration of the Liberal Fascism
Provides all cases
So for her, it went wrong!
She's orders, must be broken, exclude
The administration is always right
It is always his word that premium, basically!
Because you will spend for paranoid
Nobody believes you, you are a maniac
The policy of the administration
Is the administration of policy
And the enemies of the system
Women and men are stuck, spotted, reported, necessarily listed
Nobody likes
Tyranny wants to eliminate
By all means, without any legality!
At all times, this is so
As informers which flourishes
Who can ever have any friend
Except perhaps, Ms. or Mrs. hate jealousy!
The campaign guardian city
It is since about 1200, only
Before, everything depended on peasant
The greatest lord was dependent
Certainly, what I write is not militant
I would not depend on any camp
For activism
This is the highest stage of alienation
At 62, I know the series!
The party is always right
The organization is always right
The administration is always right
If we know the song!
Fire (1920-1979) Robert Boulin, politician
Assassinated by the French State
Should have said publicly
And openly what he knew
It would thus saved his skin, just
He had secret files
People on the government of his time
Saying that he did not commit suicide
And send the documents to newspapers, like "Duck connects"
Had he done this, he would have been saved!
Everything must go outside
The truth even more shameful
By delivering to the public
Thus, it becomes frantic!
For it is a mathematical
Where absolutely everything is political
Mostly what I write, new alchemy
Claim to be unpretentious
The abyss is repopulated, the bottom is key
Constantly growing, deep
As the last breath
Someone who will die soon
As the magical number 7
Whose seventh root, O fairyland
Fifty seven
is 13404.946
The number 7 is a miss
In the symbolic, the other is an eclipse
As then, France
Where the peasant, the apple of Adam and Eve
Believing in this bean
In 1381, the revolt of the peasants in a trance!
The paraphysics is coded language
For coquillards today, rare insider
Each country has its "National Front"
And what really hurts
Is that his ideas
Are for some time, trying to govern!
Everything else, this is the stage
With to say, beautiful mermaids
And every year, the same New Year's gifts
This poetry is outdated, written in vain
When all this becomes true, it's not for tomorrow!
The 2000s
Are no real curiosity
The 2000s
Are no real generosity
The 2000s
Are no real solidarity
And the madness of the goods is institutionalized
Who passed for a fool, the Rebel
Man always busy
Who will participate
And as little as possible to society alienated
Whoever does not claim that the released phrase
Freedom of expression totally camisolée!
In any organization, is the reprobate
In any machination is the intended victim
The hierarchy is everywhere
When it is hidden, especially
This is even more perverse, more blur!
It is less obvious in the middle says "revolutionary"
And most obvious, the reactionary movement
But still the same lie repeated
Four fragments of capitalism, opposed
And in fact, are integrally linked
Far left, left, right, far right
Have vowed to close the life
Fear, always moist
Are one and the same
A life, want the same doses
Death, like everything, which now seems on TV
This is the family of the reaction
And, without exception
Forgotten, you are, otherwise!
The Administrations of misery
That against the stuck, are at war
Are laboratories
For experimental neuroses
For experimental psychoses
They do everything for us crazy!
Subtly or obviously, she kicks
No one escapes, it is fair
This is social insecurity
Administration of poverty, rebellion, hurts!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway.fr"