" Prévoir plusieurs coups à l'avance ? A quoi bon ? Moi, je n'en prévois qu'un seul, mais le bon ! "
José Raùl Capablanca ( 1888-1942 ) champion du monde des échecs, de 1921 à 1927
Et voici, que l'on oublie
Cette étrange épidémie
Un taux de suicide
De la culpabilité des homicides
De la guerre d'Irak et d'Afghanistan
8000 par an, 23 par jour, chez les vétérans
C'est comme le grand bond
En avant, de 1958 à 1961, en Chine
Réaction en chaîne de cette grande famine
36 millions de morts et de mortes
Mais, faut pas le dire, oh non !
Mao, était le vassal de Staline
Et sa politique ne fut pas câline !
C'est la richesse
Qu'il faut partager
Et non pas
Celui qui ne travaille pas
Ne mange pas
Comme pour les fascistes
Comme pour les stalinistes
Comme pour les gauchistes
Et même pas pour les capitalistes !
Tous les systèmes politiques
Sont des monstruosités frénétiques
Tous leurs chefs
Sont des cinglés
Ce sont des réactionnaires
Ce sont des psychopathes tortionnaires
Il faudrait pouvoir s'en débarrasser
Avant qu'ils ne puissent ravager
Mais tous leurs forfaits
Avec le temps, s'effacent
Ce sont eux qui écrivent l'histoire
Par leurs historiens et historiennes, qu'ils font boire
Stalinistes, fascistes, gauchistes, capitalistes
Partout, sur la Terre, on peut les voir
De leurs guerres, aux soldats éventrés, amputés
Traumatisés, lobotomisés, falsifiés
Le maoïsme fut une abomination
Pour le communisme et pour la civilisation
Pour l'humanité
Ce fut une pierre tombale
Pour la civilisation
Ce fut une contrefaçon
Comme les fausses gratuités
Des transports publics en France
Pour les gens sans la finance
Mais seulement dans sa région, et donc, assigné à résidence
La vraie gratuité pour voyager
Pour tous les sans, de la pauvreté
En France et dans tous les pays
C'est partout dans le monde, et non simplement, là ou ici
Le pauvre qui voyage un peu
Doit payer les transports
Hors de chez lui, c'est pas mieux
Sinon, le policier contrôleur, lui jette un sort
Nous voulons les transports publics
En toute gratuité, même pour l'Amérique
Pour chaque être humain de la Terre
C'est du simple bon sens civique !
Et au moins
Dans un premier temps
Et pas de loin en loin
Pour toutes les précaires et tous les indigents
Et même pour tous les gens !
Mais l'infâme tyrannie
De l'extrême gauche du capital
A l'extrême droite du capital
Professe les effets d'annonce, ô gabegie
Aux fausses promesses, toujours banales
Allocations sociales au rabais
Papiers à remplir, toujours mauvais
Droit à ceci
A condition de tout cela
Tout est fait
Pour nous décourager, voilà !
Le monde est une administration
Avec ses fonctionnaires de la mesquinerie
Surtout si l'on habite une petite ville
Où tout avantage social, se défile !
De ce côté, l'on est mieux loti
A Paris, que dans une ville, riquiqui !
Là, où il n'y a rien
Vous n'avez le droit à rien !
La domination fragmente et argumente
Ses injustices, tous ses vices
Pour une division qui augmente
La force de tous ses caprices
Partout, les gens sont divisés
Les individus contre les individus
Les organisations contre les organisations
Les partis contre les partis
Cela est flagrant, dans nos manifestations
Où sans hypocrisie, s'épanouirait la foire aux gnons !
Personne n'aime personne
Même si faussement, l'amour sonne
Les commerciaux de l'humanitaire
Sont tout, sauf des révolutionnaires
Aussi, le capitalisme reconnaît leur utilité
Et souvent, les promeut, de ceci ou cela, chevaliers
Aucune charité, le monde, ne peut transformer
C'est une farce à l'égalité déguisée
Et de la gloire, plus encore, pour certaines célébrités
Si tout le monde, partout
Voulait vraiment la paix
L'égalité, la fraternité, la liberté, cela serait !
Mais nous aimons donner et prendre des coups
Et puis
Nous ressemblons à nos ennemis
Et puis
Les humains naissent dans le même nid
C'est l'apprentissage de la violence
C'est l'apprentissage de la suffisance
C'est l'apprentissage de l'indifférence
Qui sont les trois mamelles, de l'ignorance
Et c'est en permanence
Que nous sommes irradiés, par cette composante
Elle s'affiche chez elle, dans toutes les obédiences
Personne ne pense la même chose
C'est ce qui fait toutes les guerres
Et ce dans toutes les sphères
Surtout dans les coulisses, ailleurs, on prend des poses !
La compétition nous nourrit
C'est notre quotidien, notre bol de riz
Aussi, en vain, nous cherchons des amis
Car pour paraphraser, feu le lettriste psychogéographe ( 1933-1998 ) Ivan Chtcheglov
Je suis d'un autre pays
Et en vérité, tout est dit !
Pour ne pas participer
A toutes nos mesquineries
Il fut un temps, pourtant
Oh ! il y a bien longtemps
Où les sociétés furent matrilinéaires
Certes, l'on connaissait forcément la mère
Mais jamais ou rarement, le père des enfants
Le charme des sociétés égalitaires
La rêverie des sociétés sans l'esprit militaire
Oui, il y eut des sociétés
D'un type libertaire
Sur Terre, il y a plusieurs milliers d'années
Feu ( 1921-1994 ) Marija Gimbutas
En des travaux qui fouillent les crevasses
De la phallocratie, et honneur à la gynocratie
Jamais, à l'école, on ne le dit
Mais tout, ne fut pas toujours, mépris
Il y eut sur Terre, mais oui
A une certaine époque, un peu d'anarchie
Car, il n'y a aucune frontière, en géographie naturelle
Comme feu ( 1830-1905 ) Elisée Reclus
Nous le fit comprendre, d'une écriture si belle
Mais la propriété matérialisa la géographie artificielle
Et alors, tout fut perdu !
Patrice Faubert (2012) puète, peuète, pouète, paraphysicien (
http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
"Plan several moves in advance? What for? I do not foresee one, but good!"
José Raúl Capablanca (1888-1942) of world chess champion from 1921-1927
And here, that we forget
This strange epidemic
A suicide rate
The guilt of homicide
The war in Iraq and Afghanistan
8000 year, 23 per day, for veterans
It's like the big leap
Front, from 1958 to 1961, China
Chain reaction of this great famine
36 million dead and dead
But, do not say, oh no!
Mao, Stalin was the vassal
And its policy was not cuddly!
Is wealth
That must be shared
And not
He who does not work
Do not eat
As the fascists
Like the Stalinists
As the leftist
And not even for the capitalists!
All political systems
Are frantic monstrosities
All their leaders
Are crackpots
They are reactionary
They are psychopathic torturers
We should be able to get rid of
Before they could ravage
But all their packages
Over time, disappear
They are the ones who write history
By their historians and historians, they do drink
Stalinists, fascists, leftists, capitalists
Everywhere on Earth, we can see the
Their wars, gutted soldiers, amputees
Traumatized, lobotomized, falsified
Maoism was an abomination
For communism and for civilization
For humanity
It was a tombstone
For civilization
It was a forgery
As false freebies
Of public transport in France
For people without finance
But only in its region, and therefore, under house arrest
True free to travel
For all without, poverty
In France and in all countries
It is everywhere, not just, here or here
The poor who travels a bit
Must pay transportation
Away from home, it is not better
Otherwise, the police controller, casts a spell
We want public transport
In all free, even for America
For every human being on Earth
It is simple common civic sense!
And at least
Firstly
And not at long
For all insecure and needy all
And even for all people!
But the infamous tyranny
The extreme left of capital
On the extreme right of capital
Professes the effects of announcement, O mismanagement
False promises, always banal
Social allowances discount
Paperwork, always bad
Right to this
Provided all
All is done
To discourage us, here!
The world is an administration
With its staff of pettiness
Especially if you live in a small town
Where any social benefit, runs away!
On this side, one is better off
In Paris, in a city, riquiqui!
There, where there is nothing
You did the right thing!
The domination fragmented and argues
Its injustices, its vices
In a division that increases
The strength of her every whim
Everywhere, people are divided
Individuals against individuals
Organizations against organizations
Parties against parties
This is evident in our events
Where without hypocrisy, would flourish frequently asked panions!
Nobody likes people
Even if false, love rings
Commercial humanitarian
Are anything but revolutionary
Also, capitalism recognizes their usefulness
And often promotes them, this or that, knights
No love, the world can not turn
It is a farce disguised equality
And glory, even more, for some celebrities
If everyone, everywhere
Really wanted peace
Equality, brotherhood, freedom, that would be!
But we like to give and take hits
And
We resemble our enemies
And
Humans are born in the same nest
It's learning violence
It's learning the sufficiency
It's learning indifference
Who are the three breasts, ignorance
And it is constantly
We are irradiated by this component
She appears with her in all denominations
Nobody thinks the same
This is what makes all wars
And in all spheres
Especially in the scenes, moreover, one takes the poses!
The competition feeds us
This is our daily life, our rice bowl
Also, in vain, we look for friends
For to paraphrase the late psychogéographe Lettrist (1933-1998) Ivan Chtcheglov
I am from another country
And in truth, all is said!
For not participating
To all our pettiness
There was a time, yet
Oh ! a long time ago
Where societies were matrilineal
While the mother is necessarily knew
But never or rarely, the children's father
The charm of egalitarian societies
Reverie societies without military spirit
Yes, there were companies
From a libertarian kind
On Earth, there are several thousand years
Fire (1921-1994) Marija Gimbutas
In the works that delve crevices
The machismo and honor the gynocracy
Never, at school, we say no
But everything was not always, contempt
There was on Earth, but yes
At one time, a bit of anarchy
For, there is no border in natural geography
As the late (1830-1905) Reclus
We made him understand, a beautiful writing
But property materialized artificial geography
And then all was lost!
Patrice Faubert (2012) puète, peuète, pouète, paraphysicien (
http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat told the guest on "hiway.fr"