La société du mépris généralisé...
Ainsi
A notre ère de vitesse
Qui seule semble provoquer l'ivresse
Le faucon pèlerin ( Falco peregrinus ) est pourtant plus rapide
Que le TGV, que lui, encore plus speed
Le faucon pèlerin c'est jusqu'à 389 km/ heure
De environ 150 km/heure à peut-être plus de 400 km/heure
Du monde animal, c'est le plus véloce
Pour la vitesse, c'est lui le vrai boss
Il voit cinq à huit fois mieux que nous
Et la technologie copie la nature, c'est tout !
Tant de régions du monde
Tant de lieux du monde
Là, ici ou ailleurs
Mais tout s'oublie si vite, ô malheur
Ainsi, partout, sur la planète Terre
Affichée, répétée, cachée, déviée, c'est la guerre
Et où que vous alliez
Et quoi que vous fassiez
Partout des horreurs enfouies
Dans chaque région, dans chaque pays
Le conflit de toutes les hiérarchies
Toutes les hiérarchies sont du conflit
Vivre est devenu un métier
Il faut remplir des papiers
De la naissance à la mort, il faut payer
Impossible de se désabonner
A moins de se suicider
C'est comme pour l'administration
Sous le capital, la vie est sans la moindre solution
Tout est toujours à double sens
Comme une fausse confidence
C'est ainsi
Que le 11 novembre 1940, en France
Manifestèrent contre l'occupation allemande
Des lycéens du lycée Rollin, à Paris
Une résistance avant l'heure, aux nazis
Mais avant tout une manifestation nationaliste
Donc, de tous bords politiques, qui fut une réussite
Des jeunes de 15 à 17 ans
Pour les nazis, l'on était fusillable à 17 ans
Et par la suite, tous les mineurs
Qui résistèrent, considérés comme des meneurs
Furent souvent déportés
Et aussi souvent fusillés
Ils pleurèrent leur jeunesse
Mais pas leurs actes, donc sans détresse
Hélas, la tyrannie
Est contestée de façon séparée
Hélas, la tyrannie
N'est jamais ou si peu contestée dans sa totalité
C'est ce qui lui permet de se renouveler
C'est ce qui lui permet de se régénérer !
Ainsi, une tyrannie chasse l'autre
Et chaque individu en est l'apôtre
Tout en est l'intime
Tout en est la victime
Depuis des temps reculés
Les sociétés humaines sont des charniers
L'apprentissage de la propriété
De tout vouloir comparer
De très vite se moquer
De tout le temps nous humilier
Comme
Des gens qui ne savent ni lire ni écrire
Ce qui ne les empêche pas de pouvoir dire
Et un terme qui peut les blesser
Assez péjoratif, finalement, celui d'illettré
Ce terme date des années 1970
Pourtant, trois millions de personnes en France
Ne savent ni lire ni écrire
De toutes façons, qui sait lire ? qui sait écrire ?
Puisque rien ne change jamais
L'être humain toujours aussi niais
Nous ne savons pas mêler le faux du vrai
Comme
Feu ( 1918 - 1985 ) Jean-Marie Loret
Fils caché de feu Hitler, qui le savait
En 1916, lors d'une permission, Hitler aurait
Lutiné avec feu ( 1898 - 1951 ) Charlotte Lobjoie
Pourtant pas une fille de joie
Mais étant trop pauvre pour son rejeton, l'assumer
Elle l'aurait fait adopter
Certes, il y a des doutes
Certainement une fausse route
Nonobstant
Cela pourrait être plausible
Sans pourtant péter un fusible
Ou alors une mythomanie d'origine
Qui rend route étude crétine !
L'étonnement n'est pas l'acquiescement
A toutes affaires qui dépassent l'entendement
Le vrai mélangé au faux
Le faux est mélangé au vrai
Tout est un peu vrai
Tout est un peu faux
Le capital navigue entre deux eaux
Pour se féconder, il doit faire le beau
Tout ainsi, le réconforte
Tout ainsi, le conforte
Il nous devient indispensable
Tout se perpétue dans du jetable
C'est la fausse contestation
C'est la fausse révolution
De nouveaux habits pour le fascisme
De nouveaux habits pour le capitalisme !
Et puis, il faut bien le constater
C'est évident pour qui sait observer
La pensée réactionnaire est majoritaire
A ce qui ne lui ressemble pas, c'est la guerre
La pensée réactionnaire regarde les mêmes journaux télévisés
La pensée réactionnaire lit les mêmes journaux, les mêmes répétitions
La pensée réactionnaire me regarde de travers
Comme aussi la personne en marge, le révolutionnaire
Tout ce qui dérange les habitudes
Tout ce qui dérange les certitudes
Voilà pourquoi, à la pensée réactionnaire, l'anarchie
C'est sa terreur, sa pire ennemie
Plus aucune autorité
Plus aucune propriété
Plus aucune célébrité
Aucun juge, aucun avocat, aucun policier
Sur les portes, plus aucune clef
Enfin, chaque être humain, respecté
Plus aucune frontière pour pouvoir circuler
Pour cela, une totale mutation de la mentalité
Que la vie, enfin, puisse vraiment s'affirmer
Pour l'instant
C'est l'enfer sur Terre, l'épouvante, la mort
Depuis le patriarcat, un funeste sort
En vérité, nous sommes mortes, nous sommes morts
Nous sommes la mort !
Nous pourrions être la vie
Qui toujours commence, jamais ne finit
Faire en sorte que l'autre soit bien
Car son devenir est lié au mien
Plus les autres sont épanouis
Forcément, je le suis aussi
Moins les autres sont épanouis
Forcément, je ne le suis pas aussi
Si nous utilisions nos cerveaux
Non pas à des trucs idiots
Mais pour la recherche de l'harmonie universelle
Que l'anarchie serait belle !
Après d'autres, je le redis
Tout est à imaginer
Après d'autres, je le redis
Tout est à réaliser
L'anarchie doit devenir la réalité
Et ainsi contre son mur ne plus se fracasser !
Certes
Il y a beaucoup de fascisme dans les têtes
Il y a beaucoup de capitalisme dans les têtes
Et donc dans toutes les fausses fêtes
Mais c'est comme un jeu de cartes
Mettre la domination en échec et mat
Le jeu du capital n'est finalement distribué
Que par quelques privilégiés
Il faut secouer le cocotier pour s'en débarrasser
Tout pourrait
Se distribuer généreusement
Tout pourrait
Se faire gratuitement
Le plaisir sans égal de la gratification
Gratification de la distribution
Simplement
Pour le plaisir de le faire
La gratification est donc révolutionnaire
Et finalement
Bien plus que compromettante
Toute étiquette est immobilisante et aliénante !
De toutes façons
Et c'est là une généralisation
La propagande du capital s'affiche
Partout, l'on voit ses niches
Pas seulement chez les riches
Et nous valons tous et toutes, tant du capital
Sans même le bien ou le mal
Nous sommes ce que nous possédons
Des maisons, des propriétés, des cloisons
Tout s'y écrit, tout s'y lit
C'est cela que nous appelons la vie
Tout y est de la corporation
Tout y est de la fraction
Avec sa propre culture
Avec sa propre écriture
Avec sa propre politique
Avec sa propre critique
Qui n'en fait pas partie, est une crétine, un crétin
Forcément une niaise, un niais, une vilaine, un vilain
Plusieurs mondes dans un seul monde
Pourtant en réalité un unique et même monde !
Le capital veut tout uniformiser
Dans un faux différencié
Ôtér à tous et toutes, l'envie de se révolter
Pour les pauvres, manger de la bouffe pour chiens
Et même de trouver cela bien
Oui, vraiment
Le capital
Est une castration mentale
Et à propos des chiens
C'est en poursuivant un lapin
Que Robot, le chien de feu ( 1923 - 1995 ) Marcel Ravidat, se promenant
Découvrit la grotte de Lascaux, fortuitement
C'était le 8 septembre 1940, la guerre allait venir
Et bien d'autres grottes ou faits fossiles restent à découvrir
Comme en Afrique du Sud, Homo naledi
Forme primitive d'Homo erectus
Ou un autre australopithécus de plus
Selon qui le dit
Dans chaque interprétation, cela varie
Dans la religion, dans la politique, aussi
Il n'y a donc que l'anarchie
Qui jamais ne se contredit
Ni gauche, ni droite, ni centre, ni religion, ni idéologie
Ni haut, ni bas, sans jugement, mais l'osmose, mais l'empathie
Tout est vraiment à faire pour que commence enfin la vie !
Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
So
In our era of speed
Which alone seems to cause intoxication
The Peregrine Falcon (Falco peregrinus) is faster yet
The TGV, that he, more speed
The peregrine falcon is up to 389 km / hour
From about 150 km / hour may be more than 400 km / hour
The animal world, it is the most swift
For speed, he is the real boss
He sees five to eight times better than us
And technology copying nature, that's all!
So many areas of the world
So many places of the world
There, here or elsewhere
But everything is forgotten so fast, oh woe
Thus, everywhere on planet Earth
Displayed, repeated hidden, diverted, this is war
And wherever you go
And whatever you do
Everywhere buried horrors
In every region, in every country
The conflict of all hierarchies
All hierarchies are conflict
Living has become a profession
It should be filling out paperwork
From birth to death, you have to pay
Unable to unsubscribe
Unless suicide
It is like the administration
Under the capital, life is without any solution
Everything is always two-way
Like a false confidence
Thus
That November 11, 1940, France
Demonstrated against the German occupation
High school students from the Lycee Rollin in Paris
Resistance early, to the Nazis
But first a nationalist demonstration
So across the political spectrum, which was a success
Youth 15-17 years
For the Nazis, it was fusillable to 17 years
And then, all minors
Who resisted, regarded as ringleaders
Were often deported
And as often shot
They mourned their youth
But not their actions, so without distress
Alas, tyranny
Is contested separately
Alas, tyranny
Is never or hardly challenged in its totality
This is what allows it to renew
This is what allows it to regenerate!
Thus, another tyranny hunting
And each individual is the apostle
Everything is intimate
While the victim
Since ancient times
Human societies are mass graves
Learning the property
From all want to compare
Very quickly mock
From humble ourselves all the time
As
People who can neither read nor write
This does not stop to say
And a term that can hurt
Rather pejorative ultimately that of illiterate
This term dates from the 1970s
Yet three million people in France
Can neither read nor write
Anyway, who can read? who can write?
Because nothing ever changes
The human being always silly
We do not know the false from the true mix
As
Fire (1918 - 1985) Jean-Marie Loret
Hidden son of the late Hitler, who knew
In 1916, while on leave, Hitler would
Frisky with fire (1898 - 1951) Charlotte Lobjoie
Yet not a prostitute
But being too poor to her offspring, assuming it
She would have passed
Admittedly, there are doubts
Definitely a wrong
Notwithstanding
This could be plausible
But without blow a fuse
Or an original mythomanie
Making road study moron!
The surprise is not acquiescence
In all cases that are beyond comprehension
The true mixed with false
The false is mixed with true
Everything is somewhat true
Everything is a little false
The capital is sailing between two waters
To fertilize, it must do so beautiful
Just so, the comforts
Just so, reinforces the
We become indispensable
Everything is perpetuated in disposable
This is the false contestation
This is the false revolution
New clothes for fascism
New clothes for capitalism!
And then, you have seen well
It is obvious to see who knows
Reactionary thinking prevails
So that does not like him, this is war
Reactionary thinking looks the same TV news
The reactionary thought reads the same newspapers, the same repetitions
Reactionary thinking looks at me askance
As also the person on the sidelines, the revolutionary
Anything that disturbs the habits
Anything that disturbs the certainties
Therefore, the reactionary thought, anarchy
This is her terror, her worst enemy
No more authority
No more property
No more celebrity
No judge, no lawyer, no police officer
On the doors, no further key
Finally, every human being respected
No more borders to be able to circulate
For this, a total change of mentality
That life finally can really assert
At the moment
It's hell on Earth, terror, death
Since patriarchy, a doom
In truth, we are dead, we are dead
We are the dead!
We could be life
Which always begins, never ends
Ensure that the other is good
Because its future is tied to mine
Plus other flourished
Inevitably, so am
Less other flourished
Obviously, I am not too
If we used our brains
Not for idiots tricks
But the search for universal harmony
That anarchy would be nice!
After others, I repeat
Everything is to imagine
After others, I repeat
Everything is to achieve
Anarchy must become reality
And against his wall and not shatter!
Certainly
There are a lot of Fascism in heads
There are plenty of capitalism in the heads
And therefore in all the false celebrations
But it's like a game of cards
Put domination checkmate
The game of capital is ultimately distributed
Only by a privileged few
We must shake the coconut tree to get rid
Everything could
Be distributed generously
Everything could
Be free
The unrivaled pleasure of gratification
Gratification distribution
Simply
For the fun of it
Gratuity is revolutionary
And finally
More than compromising
Any label is immobilizing and alienating!
Anyway
And this is a generalization
The propaganda of capital appears
Everywhere one sees its niche
Not just for the rich
And we are worth everyone, both capital
Without even good or evil
We are what we own
Houses, properties, partitions
While writing it, it just reads
This is what we call life
Everything is of the corporation
Everything is the fraction
With its own culture
With his own writing
With its own policy
With its own review
Who does not belong, is an idiot, a moron
Necessarily stupid, a fool, a bad, a bad
Many worlds in one world
Yet in reality one and the same world!
Capital wants to standardize everything
In a differentiated false
Remove all and all, the desire to revolt
For the poor, eat the dog food
And even find it good
Yes really
The capital
Is a mental castration
And speaking of dogs
It is pursuing a rabbit
That Robot, fire dog (1923 - 1995) Marcel Ravidat, walking
Discovered the Lascaux cave by chance
It was September 8, 1940, war was coming
And many other caves and fossil facts remain to be discovered
As in South Africa, Homo naledi
Primitive form of Homo erectus
Or another Australopithecus more
According says so
In each interpretation, this varies
In religion, in politics, too
So there is anarchy
Who never contradicted
Neither left nor right nor center, no religion, no ideology
Neither high nor low, without judgment, but osmosis, but empathy
Everything is really to go before finally starting life!
Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat told the guest on "hiway.fr"
Original: Shopping du bashing