Paraphysique de l'isonomie et du dressage

by Patrice Faubert Sunday, Oct. 12, 2014 at 2:18 AM

Fausse isonomie des miroirs qui nous mirent...

C'est le dressage
Qui fait tous les carnages
C'est l'éducation du dressage
Le dressage de l'éducation
A l'école, à l'usine, au bureau, au lycée
Au stade, en prison, au piano, à l'université
En voiture, en avion, en train, en bateau
Nous sommes dressés
Femmes, hommes, enfants, c'est notre totalité
Par notre environnement
Par notre conditionnement
Ce que nous lisons
Ce que nous entendons
Ce que nous voyons
Ce que nous croyons
De la façon
Dont notre cerveau est codé
Comme un système dynamique
Propre à cette mathématique
Analyse des probabilités
Probabilités des analyses
Dressage de l'équation
L'équation du dressage
Des modèles de la probabilité
De la probabilité des modèles
Ici en langage philosophique
Que pourrait traduire la mathématique
Violence de la transformation
Transformation de la violence
Comme davantage de travail
Et donc plus d'argent
C'est le mensonge qu se ment
Contre cela, pas d'éventail
Les gens veulent de l'argent
Pour se loger, manger, se soigner
Les gens ne veulent pas de travail
Mais l'argent du travail
N'est que le travail de l'argent
De l'argent qui nous raille
Si au moins
Les transports, tous les transports
Devenaient gratuits, dans le monde entier
Pour tous et toutes, pouvoir enfin se déplacer ou voyager
De ville en ville, de port en port
Après tout
Nous transportons nos 206 os avec nous
Notre 1, 5 kg de microbes avec nous
De tous les jours, c'est notre roue
Des idées bien dressées
Qui savent si bien nous diviser
Cela produit de la lutte des classes
Qui forcément, jamais ne se lasse
Comme les 3524 morts et mortes
De la guerre d'Irlande, de la sorte
Sans compter tous les chagrins mortels
De tous les eux, de toutes les elles
UVF, UDR, des loyalistes protestants
Avec l'armée anglaise, des riches partisans
Avec l'impérialisme britannique
Rien de religieux, mais une guerre politique
Car ici, ce sont les pauvres qui sont catholiques
Avec l'IRA, l'armée de la république
De 1968 à 1998, ce fut un éternel Titanic
Dont la construction débuta à Belfast
C'était en 1909, un vrai faste
Puis, ce fut la guerre, logique
Puis ce fut la paix, toute théorique
En 1998 par les accords de Belfast
Mais tout est si fragile
Quand les haines ne sont pas futiles
Même si toutes les guerres sont les mêmes
C'est la surpopulation, aussi, qui les sème !
Chair à profit, chair à canon
Dictature rime souvent avec surpopulation
Il faut une décroissance totale
Surtout dans le domaine natal
Plus aucun enfant ne devrait naître
Pour que l'humanité puisse renaître
Et comme partout, tout se privatise
La fausse conscience se modélise
La pensée séparée se prise
Elles sont devenues les façons de vivre
Le système à tous les domiciles, il les livre
C'est cela qui nous habille
C'est cela qui nous pense
C'est cela qui nous réfléchit
C'est cela qui nous nourrit
C'est cela qui nous construit
Comme le train, de plus en plus pourri
C'est de plus en plus cher, dans tous les pays
C'est l'autorité de la concurrence
La concurrence de l'autorité
Et des lignes TER si dangereuses
Que des cheminots les trouvent périlleuses
C'est pour les pauvres, pas d'entretien
C'est pas rentable, le capital est un vaurien
Et en France, en 2019, des opérateurs privés
La SNCF, qui fut fondée le premier janvier 1938
Risque ainsi d'être un jour, regrettée
Mais la privatisation, c'est déjà fait, à la vérité !
Payer, toujours payer
Pour se loger, pour se déplacer ou voyager
Pour manger, dormir, pour baiser
C'est toujours donnant donnant
Rien, ainsi, n'est gratuit, c'est navrant
Nous devons faire ceci ou cela
Pour en échange avoir ceci ou cela
Il faut faire sa parade
Et cela n'est pas une charade
Dans la vie de tous les jours
A la marchandise, il faut faire sa cour
Sinon, plus aucun bonjour
Il faut jouer le jeu
Il faut y aller de son feu
Pour du mâle, pour de la femelle
Pour un restaurant, pour un cinéma
Pour un ceci, pour un cela
L'humanité se cherche des querelles
Il faut avoir un travail
Que jamais la bouche ne baille
Il faut avoir des enfants
Il faut devenir des parents
Il faut être avidement
Une église, une secte, une idée, un parti, une patrie
Sinon, c'est l'horreur, c'est l'anarchie
Il faut se conformer à toutes les saloperies
Alors
Qu'il faudrait tout arrêter
Alors
Qu'il faudrait tout lâcher
Tout repenser, tout recommencer
Mais nos racines
Ce sont nos certitudes
Mais nos racines
Ce sont nos habitudes
Pas moyen de s'en défaire
Là, sont nos véritables fers !
Comme aussi
Toute expression, toujours toute faite
A laquelle, tout dressage se prête
Comme ne pas faire son âge
L'on fait toujours son âge
A défaut de faire son âge
Physiologiquement et surtout historiquement
Mais c'est plus ou moins évident
Si l'on a vécu 10 ans
Si l'on a vécu 20 ans
Si l'on a vécu 40 ans
SI l'on a vécu 60 ans
5, 20, 30 , 40, 60, 80, 120 ans
Dans le corps, cela s'inscrit
Dans l'esprit, cela s'inscrit
Après c'est de l'apparence
Qui est toujours de la fausse confidence !
Et en France, 31 pour cent
Des gens, en 2050, auront plus de 60 ans
Et adviendra, le monde de la voiture automatique
Pour des personnes fébriles, le tout robotique
L'organisation de la vie, si triste
Avec si peu de joie, si pessimiste
Cela fait le tourisme djihadiste
Des jeunes paumés y vont en vacances
Puis l'on y fait son lit, en permanence
Pour la gloire, l'aventure, l'émotion, la passion
L'amitié, l'attractivité, d'une vie en transition
Cela séduit plus que l'alibi de la religion
Psychologie du terrorisme
Ou terrorisme de la psychologie
Mais c'est le capitalisme
Qui contient et entretient tous les totalitarismes
Mais toute explication est forcément réductrice
Dans ce monde où TOUT devient complice
Ipso facto, il faut se soumettre, obéir
Fausse isonomie, des miroirs qui nous mirent
C'est là, tout le dressage
Le capital, partout, ravage
Comme le virus Ebola, comme le virus sida
De la prostitution de Kinshasa
1920 Ebola, 1984 sida, avant et déjà
C'était le colonialisme au Congo
Tintin au Congo, c'est pas beau
Tout se propage, tout se mondialise
Chacun, chacune, y porte sa valise
Dressage des mentalités
Mentalités du dressage

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité " hiway.fr "

It is raising
Who makes all carnages
It is the education of raising
The raising of education
At the school, the factory, the office, the high school
At the stage, in prison, with the piano, the university
In car, plane, train, boat
We are drawn up
Women, men, children, it is our totality
By our environment
By our conditioning
What we read
What we hear
What we see
What we believe
Way
Whose our brain is coded
Like a dynamic system
Clean with this mathematics
Analysis of the probabilities
Probabilities of the analyses
Raising of the equation
The equation of raising
Models of the probability
Probability of the models
Here in philosophical language
What could translate mathematics
Violence of the transformation
Transformation of violence
As more work
And thus more money
It is lie qu is lied
Against that, not of range
People want money
To place themselves, eat, look after themselves
People do not want work
But money of work
Is only the work of the money
Money which scoffs us
So at least
Transport, all transport
Became free, in the whole world
For all and all, power finally to move or travel
Of city downtown, port in port
After all
We transport our 206 bones with us
Our 1.5 kg of microbes with us
From the every day, it is our wheel
Well drawn up ideas
Who can divide us so well
That produced of the class struggle
Who inevitably, never does not weary himself
Like 3524 deaths and dead
War of Ireland, kind
Not counting all sorrows mortals
Of all them, of all they
UVF, UDR, of the Protestant loyal supporters
With the English army, rich person in favour
With the British imperialism
Nothing monk, but a political war
Because here, they are the poor which are catholic
With IRA, the army of the republic
From 1968 to 1998, it was a Titanic eternal
From which construction began in Belfast
It was in 1909, a true ostentation
Then, it was the war, logic
Then it was peace, very theoretical
In 1998 by the agreements of Belfast
But all is so fragile
When hatreds are not futile
Even if all the wars are the same ones
It is the overpopulation, also, which sows them!
Flesh with profit, cannon fodder
Dictatorship often versifies with overpopulation
Is needed a total decrease
Especially in the native field
More no newborn should be born
So that humanity can reappear
And like everywhere, all is privatized
The false conscience is modelled
The separate thought taken
They became the ways of living
The system in all the residences, it delivers them
It is that which equips us
It is that which thinks us
It is that which reflects us
It is that which nourishes us
It is that which builds us
Like the train, rotted more and more
It is increasingly expensive, in all the countries
It is the authority of competition
The competition of the authority
And of the so dangerous lines FOR THE THIRD TIME
That railwaymen find them perilous
It is for the poor, not maintenance
It is not profitable, the capital is a good-for-nothing
And in France, in 2019, of the private operators
The SNCF, which was founded the first January 1938
Risk thus to be one day, regretted
But privatization, it is already made, with the truth!
To pay, always pay
To place themselves, to move or travel
To eat, sleep, for kissing
It is always giving giving
Nothing, thus, is free, it is disturbing
We must do this or that
Exchanges some to have this or that
Its parade should be made
And that is not a riddle
In the everyday life
With the goods, its court should be made
If not, more no hello
The game should be played
It is necessary to go there from its fire
For male, female
For a restaurant, a cinema
For one this, one that
Humanity seeks quarrels
It is necessary to have a job
That never the mouth bucket
It is necessary to have children
It is necessary to become parents
It is necessary to be greedily
A church, a sect, an idea, a party, a fatherland
If not, it is the horror, it is anarchy
It is necessary to conform to all the filths
Then
That it would be necessary all to stop
Then
That it would be necessary all to release
All to reconsider, all to start again
But our roots
They are our certainty
But our roots
They are our practices
Not average to demolish itself some
There, are our genuine irons!
As too
Any expression, always done everything
Which, any raising lends itself
Like not making its age
His age is always made
Failing to make its age
Physiologically and especially historically
But it is more or less obvious
If one lived 10 years
If one lived 20 years
If one lived 40 years
IF one lived 60 years
5,20,30, 40,60,80,120 years
In the body, that is registered
In the spirit, that is registered
After it is appearance
Who is always of the false confidence!
And in France, 31 percent
People, in 2050, will have more than 60 years
And will occur, the world of the automatic car
For feverish people, the robot-like whole
The organization of the life, if sad
With if little joy, so pessimistic
That makes tourism Jihadist
Young people lost there go on holiday
Then one made his bed there, permanently
For glory, the adventure, the emotion, passion
Friendship, the attractivity, of a life of transition
That allured more than the alibi of the religion
Psychology of terrorism
Or terrorism of psychology
But it is capitalism
Who contains and maintains all totalitarianisms
But any explanation is inevitably reducing
In this world where ALL becomes accessory
Ipso facto, it is necessary to be subjected, obey
Distort isonomy, mirrors which reflect us
It is there, all raising
The capital, everywhere, devastates
Like the Ebola virus, the virus AIDS
Prostitution of Kinshasa
1920 Ebola, 1984 AIDS, before and already
It was colonialism in Congo
Tintin in Congo, it is not beautiful
All is propagated, all spreads throughout the world
Each one, each one, carry its bag there
Raising of mentalities
Mentalities of raising


Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest “hiway.fr”