Anational

by Patrice Faubert Thursday, Jun. 28, 2012 at 7:40 PM

Tout est faux, rien n'est vrai, car rien n'est faux, tout est vrai...

Les idéologies fragmentent
Les enfants, les hommes et les femmes
Les religions séparent
Les enfants, les hommes et les femmes
Tout cela oppose
Tout cela sépare
Tout cela divise
Très peu l'ont dit
Sauf, feu Jiddu Krishnamurti, et feu Henri Laborit
Et si nous l'avions compris
Plus aucun livre, nous ne lirions
Plus aucun film, nous ne verrions
Plus aucun discours, nous n'écouterions
De tout ceci, nous n'aurions plus aucun besoin
La vie, de tout cela, serait si loin
Tant de livres contre la guerre
Et c'est toujours la guerre
Tant de films contre la pollution
Et partout, c'est la pollution
Tant de discours contre la compétition
Et c'est en toutes choses, la compétition
Et aucun animal humain ne rencontre un autre animal humain
Dans de telles conditions
Tous nos efforts restent vains
Ce sont les prisons de l'aliénation
Qui sont l'aliénation de toutes les prisons
La technologie n'est pas la civilisation
Et nous n'avons plus aucune attention
Pour nous-mêmes et pour les autres
Et dans les guerres, tout le monde, se vautre
Il ne faut plus aucun chef, aucun gourou, aucun leader
Chacun , chacune, doit-être sans frontière
Chacun, chacune, doit-être sa propre lumière
Ni international ,ni national, mais anational!
La seule option qui ne fait pas mal
De plus en plus, les gens deviennent savants
Et après? le monde est de pire en pire, dément!
La vraie connaissance n'est pas culturelle
Car cela est une connaissance, toujours purement intellectuelle
Aussi, nous sommes des ignorants
Ainsi, nous sommes des charlatans
Sans cesse, dans la torture de l'argent
Et tout est payant, payant, payant
Et plus aucune vie, pour nos enfants
Plus aucune idée dans le fleuve de la vie
Plus aucune lumière dans la nuit
Encore celui-là, qui nous taquine
Toujours désespérant, avec ses humeurs malignes
Salut les fachos
Salut les bolchos
Vous allez encore me mettre zéro!
Et nous sommes tous et toutes
Plus ou moins , fachos et bolchos
C'est souvent une même route
Le livre de l'historien Zeev Sternhell, le dit bien haut
Sur la droite révolutionnaire
Et du socialisme national héréditaire
Salut les fachos
Salut les bolchos
Vous allez encore me mettre zéro!
Non que cela me décourage
Pas plus que cela m'enrage
Mais c'est si grotesque, si idiot
Que je peux en rire, dans ma nage
Ne comptez pas sur moi, pour vous donner la clef
Je ne suis ni concierge, ni geôlier
Je suis le destin, je vais, je viens
Tout est faux, rien n'est vrai
Et souvent, je m'en vais
Tous les mots sont des pets
A quand, enfin, la vie sur Terre
A quand, enfin, pour nous plaire
Salut les fachos
Salut les bolchos
Vous allez encore me mettre zéro!




Patrice Faubert (2012) puète, peuète, pouète, paraphysicien, Pat dit l'invité sur "hiway.fr"


The ideologies split up
Children, men and women
The religions separate
Children, men and women
All that opposes
All that separates
All that divides
Very little said it
Except, fire Jiddu Krishnamurti, and fire Henri Laborit
And if we had understood it
More no book, we would read
More no film, we would see
More no speech, we would listen
Of all this, we would not have more no need
The life, of all that, would be so far
So many books against the war
And it is always the war
So many films against pollution
And everywhere, it is pollution
Such an amount of speech against the competition
And it is in all things, the competition
And no human animal meets another human animal
Under such conditions
All our efforts remain vain
They are the prisons of alienation
Who are the alienation of all the prisons
Technology is not the civilisation
And we do not have any more any attention
For ourselves and the others
And in the wars, everyone, wallows
One needs any more any chief, no guru, no leader
Each one, each one, must-being without border
Each one, each one, must-being its own light
Neither international, nor national, but anational!
The only option which does not make not bad
More and more, people become erudite
And afterwards? the world is of worse into worse, lunatic!
True knowledge is not cultural
Because that is a knowledge, always purely intellectual
Also, we are ignoramuses
Thus, we are charlatans
Unceasingly, in the torture of the money
And all is paying, paying, paying
And more no life, for our children
More no idea in the river of the life
More no light in the night
Still that one, which teases us
Always despairing, with its malignant moods
Hello the fascist ones
Hello bolchos
You still will put zero to me!
And we all are and
More or less, fascist and bolchos
It is often the same road
The book of the historian Zeev Sternhell, says it well high
On the revolutionary line
And of hereditary national socialism
Hello the fascist ones
Hello bolchos
You still will put zero to me!
Not that discourages me
Not more than that flares up me
But it is so grotesque, so idiotic
That I can laugh at it, in my stroke
Do not count on me, to give you the key
I am neither caretaker, nor jailer
I am the destiny, I go, I come
All is false, nothing is not true
And often, I from go away
All the words are farts
With when, finally, life on Earth
With when, finally, to like to us
Hello the fascist ones
Hello bolchos
You still will put zero to me!




Patrice Faubert (2012) puète, peuète, pouète, paraphysician, Stalemate says the guest on “hiway.fr”